Chapitre 7
La voix de la sorcière était emplie de satisfaction qui mettait des frissons à Michael, il le savait, tout comme elle.
La maîtresse de maison avait connaissance de sa venu
Michael resta figé sur le seuil, son cœur résonnait dans sa poitrine mécanique, chaque battement plus lourd que le précédent.
— Enfin… te voilà, murmura-t-elle.
Sa voix, basse et suave, glissa sur lui comme une caresse empoisonnée.
Il franchit un pas, puis un autre. Le bois du sol craqua sous ses semelles. Ses doigts frôlèrent inconsciemment son dos, là où sa lame était dissimulée, invisible mais prête.
— Tu as parcouru bien du chemin, plus que je ne l’aurais cru.
Elle se pencha légèrement vers lui, ses yeux plongeant dans les siens. Michael l’observa se lever venans face à lui, adosser contre son bureau
— Mais dis-moi, Michael… Pourquoi es-tu revenu ?
Le silence pesa un instant, épais, suffocant. Michael serra les poings, incapable de détacher son regard du sien. Oui, il savait la raison, elle étreignait ses organe mécanique au point ou il cliqueter.
— Je suis venu accepter votre proposition.
Finit il par dire, le regard determiner.
La sorcière éclata alors d’un rire mauvais, emplie de satisfaction, comme si tout était prévu depuis le début.
— Très bien, tu as enfin compris où était ta place Valet de pique.
Ricana elle, la femme tendi alors la main en direction de Michael, affin de lier cette promesse. Le jeune garcon saprocha alors prêt à faire ce qu'il aurais du faire depuis le début, il tendit la main prêt à serrer celle de son ennemi juré, quand soudains un crie de douleur sechapa des lèvres de la maitresse de maison, celle ci écarta sa main pour baisser les yeux sur la dague plantée dans sa anche.
Michael avait profité de cette ouverture, pour lui planter aussi profondément que lui etais possible ses muscles d'acier, la retirant brutalement faisant jaillir des volutes de sang qui commença rapidement a teinté le sol. Le crie guturale que poussa la femme en secartan n ‘etais qu’une douce melodis au oreille du jeune garcon, il observa un instant la lame blanche, qui etais dorénavant teinté du liquide pourpre.
— Toi. murmura la maîtresse de maison, la voix tremblante mais chargée d’une fureur glaciale. Comment oses-tu ?!
Hurla elle alors que d’un geste sec, elle tendit la main vers un pan de mur sculpté. Comme si le manoir lui-même avait enttendu son ordre muet, un compartiment invisible s’ouvrit dans l’encadrement, dévoilant une rapière d’un noir d’encre. La lame fine et élégante semblait absorber la lumière, exhalant une aura venimeuse.
— Tu crois pouvoir me défier avec un vulgaire couteau ?
Souffla-t-elle, la voix rauque mais vibrante d’une fierté indomptable.
Ses doigts fins se refermèrent sur la poignée ouvragée, et dans un bruissement métallique, elle dégaina l’arme. Le son, aigu et clair, trancha l’air comme une promesse de mort.
Michael raffermit sa prise sur sa dague encore poisseuse de sang. Sa respiration saccadée se calma peu à peu, remplacée par une concentration glaciale, chaque muscle de son corps tendu attendait l’assaut.
Le bureau, autrefois silencieux, semblait maintenant se resserrer autour d’eux, comme si les murs eux-mêmes retenaient leur souffle. Les flammes de la cheminée vacillèrent, projetant sur le parquet des ombres folles qui dansaient comme des spectres.
La sorcière leva la pointe de sa rapière et la dirigea vers lui, son sourire déformé par la douleur mais encore imprégné d’une cruauté jubilatoire.
— Viens, mon valet… montre-moi si tu es digne de me trahir.
Un silence bref, insoutenable. Puis elle chargea, sa lame noire fendant l’air avec la vitesse d’un serpent prêt à mordre. Sa rapière décrivant un arc noir qui siffla près du visage de Michael. Il recula d’instinct, sa dague levée trop tard pour bloquer complètement l’attaque. Le métal effleura son l’épaule, une brûlure cuisante traversant aussitôt ses chairs factice. Il grimaça, mais ne céda pas.
Le choc fit vibrer l’air, et même les flammes de la cheminée se plièrent sous la violence de l’assaut. Les murs du bureau craquèrent, comme si le manoir se réjouissait de cette lutte, impatient d’en savourer l’issue.
Michael contre-attaqua, se jetant vers l’avant. Sa dague décrivit une trajectoire sèche, visant le flanc découvert de son ennemi. La sorcière pivota avec une grâce surnaturelle, son voile noir volant autour d’elle comme des ailes de corbeau. Sa rapière heurta la lame courte dans un tintement clair, et le choc résonna jusque dans les os du garçon.
— Pitoyable, souffla-t-elle, le souffle chargé de mépris.
Mais derrière ses yeux brillait la douleur de sa plaie encore béante à la hanche. Son corps n’était plus intact, et chaque mouvement trahissait une légère hésitation. Michael le vit, il s’accrocha à ce détail comme à une bouée dans la tempête.
Il feinta une attaque frontale, levant sa lame haute. La sorcière leva sa rapière pour parer, mais le garçon se laissa tomber en avant, glissant sur le parquet ciré, et entailla son poignet. Un cri rauque jaillit de la gorge de la maîtresse, qui lâcha presque son arme.
La pièce semblat se tendre davantage, chaque meuble, chaque ombre les observant. Dans le reflet des vitres, Michael se vit lui-même, non plus un enfant, mais une poupée enragée, l’œil bandé de dentelle, sa lame tachée d’un rouge sombre.
La sorcière, haletante, recula d’un pas. Son sourire tordu s’élargit malgré la douleur.
— Alors… tu crois pouvoir me tuer, Michael ? Tu crois pouvoir tuer ta propre créatrice ?!
Il ne pus répondre à temps, la rapière noire se dressa de nouveau, plus vive que jamais, et le duel reprit dans une pluie d’étincelles, chaque coup résonnant comme le glas d’une cloche invisible
Il pensa à Aria, a la porcelaine brisée, au regard immobile qui l’avait maintenu humain quand tout le restait voulait le faire basculer. Il pensa aux abysses, aux visages rafistolés qui avaient cru en lui.
La flamme de sa colère se transforma en une certitude froide.
— Oui
Sa voix était rauque, changer, elle n'était plus celle de l’enfant de seize ans qu’il était au commencement de sa fuite. Michael n'était plus, il avait laissé place à un tout autre être, dont la colère et la soif de vengeance ne pouvait se finir que dans un bain de sang et non pas de débris.
La sorcière ricana, abandonnant toute élégance. Sa rapière vint encore rapidement former un trait d’encre noire.
Michael absorba le premier assaut, le choc du métal lui faisant vibrer les épaules. Il pivota, glissa sous l’ombre de l’arme, et la contre-attaqua, pas par force, mais par précision. Une entaille au flanc qui la fit vaciller, et une autre, plus basse, qui fit choir un flot de sang sur le parquet ciré.
La pièce semblait se tordre, les livres sur les étagères frémissaient, certains en tombairent même, les portraits inclinèrent leurs têtes comme pour mieux assister au supplice du maître. La Maîtresse cracha un juron, les doigts cherchant la rapière qu’elle tenait encore. Sa respiration saccadée transformait son visage en masque de rage et de panique.
Michael n’hésita plus. Il feinta à gauche, fit semblant d’offrir sa gorge, attira son attention et soudain, planta la lame avec toute la force que ses charnières pouvaient donner. La rapière noire tintait au loin quand il la repoussa, et la dague blanche entra, profonde, là où même la parole ne peut plus soigner.
Un cri déchira la salle, aigu, suraigu. Puis plus rien qu’un bruit sourd, le corps de la sorcière qui s’effondra au sol fus rapidement rouer de cou en plain coeur, toute la haine toute la rage jaire tel le sang de la femme qui ne pu qu’emetre un son de gargouillement, etouffer par le sang dans sa gorge.
Michael observa, la respiration haletante, le corps inerte sous le sien. Son visage, ses mains, tout son corps était couvert du sang encore chaud de la dorénavant ancienne maîtresse de maison, le jeune homme observa alors les yeux grand ouvert mais vide de la sorcière, celle-ci ayant perdu son masque en cours de route. Le brun pouvais encore apercevoir les dernier fragment de la rage et de la terreur de cette femme qui l’avais ten fait soufrire.
Il se releva alors , essuyant le sang de son visage grâce à l’une de ses manches intactes.
Autour de lui, le bureau semblait différent. Les flammes dans la cheminée vacillaient, projetant des ombres immenses qui se déformaient sur les murs. Les portraits, autrefois si imposants, semblaient vides, dénués de toute présence. Même le manoir paraissait retenir son souffle.
Michael fit un pas en arrière. Son cœur battait trop vite, sa poitrine le brûlait. Et soudain, une question, implacable, le frappa de plein fouet,
Et maintenant ?
Il baissa les yeux vers le cadavre. La sorcière ne respirait plus, mais son corps exhalait encore une chaleur, comme si l’endroit tout entier refusait de la laisser partir. Une odeur métallique et âcre emplissait l’air, se mêlant au bois brûlé de la cheminée.
Michael détourna le regard, ses poings se serrant. La victoire avait un goût amer, presque insupportable. Car si elle était morte, il restait encore le manoir. Et le manoir, lui, vivait.
Un craquement résonna soudain, sec, venant du plafond. Puis un autre, plus grave, depuis les murs. Le jeune homme se raidit. La demeure réagissait, comme blessée dans sa chair. Chaque pierre vibrait, chaque planche gémissait, et Michael comprit que la mort de la maîtresse n’était pas la fin, mais seulement le commencement.
Michael éclata alors d’un rire sinistre, il avait compris ce qu'il devait faire, claquant des doigt pour se conforter que cela était bien ce à quoi il penser, et en effet, un gouffre se crea devant lui, avalant le corp de la sorcière ainsi que de son arme, le brun en profita pour jeter sa propre lame à l'intérieur de l'abîme dans lequel il avait sombrer. Dorénavant, il serait à son tour le maître de ce lieu morbide, ou reigner, mort et désolation, il était devenu comme celle qu’il haïssait depuis tant de temps, a présent il était le monstre de ce bâtiment funeste. Tout en sachant ça, il se promettait de ne jamais tomber dans les méandres de la folie qui avait touché la sorcière. Sant un mot il saprocha de la bais vitrée, sortant sur le balcon, l’air y était bon.
Posant ses mains sur la balustrade, il observa les bois qui entouraient le manoir, d’une certaine façon, il avait réussi sa fuite, il était dehors, mais à quel prix.
La vue du lever de soleil lui paru bien fade sens sa compagne et amie Aria, mais il se promit face à la beauté du paysage, que plus aucune poupée ne vivrais ce que la pauvre jeune fille avait vécu, elle tout comme les poupée des abyss, qu’il se promettait de remonter et de réparer lui même si il le falais.

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