Fugue de noël

Je crois que je suis un inutile pour Victoire. Je ne sais même pas pourquoi elle m’a toléré autant à ces cotés et qu'elle me toléré encore ? Je ne lui n'ai jamais servi à que ce soit. Je suis juste un bon toutou qui l'amuse de temps à autre, qui la tient compagnie, qu'elle cajole de temps à autre et qui lui fait parfois oublier sa solitude.
Dire que moi pour la faire sourire en un jour de noël, je me dois d’être le plus inventif du monde. Et que lui, il arrive à la mettre de bonne humeur, juste en souriant tout en lui parlant de tout et de rien. Florent a un don pour la faire rire. Il a aussi le don de me rappelait combien j'ai été inutile au côté de ma gagnante et combien je lui ai fait perde son temps.
Tien, je me fais chier à cette fête de noël. J'en ai marre de regarder et d'écouter ces deux-là rire, de plus je ne sers pas à grand-chose.
Si j’allai faire ma marche annuelle de noël plus tôt ? Elle ne diffère en rien de mes balades nocturnes, elle est juste plus longue. Je partis donc de cette fête qu'organiser Florent, en fait je fuis mon inutilité.

Larguer sur la neige

Ma ballade m'a mené en premier lieu, sur la colline. Cette même colline où Victoire me donna un baiser et décida de m'emmener en escapade loin de cette ville. Mais surtout le premier endroit où, j'ai pris conscience de combien le monde est grand.
Sur cette colline nous pouvons voir toute la ville. J'ai hâte de la voir brillait de mille feux et alors que la neige la recouvre.
Mais je dû me cacher dans des buissons, car il a des gens au bout de la colline. Il n'a pas de lumière en haut de cette colline. Mais les lumières de la ville donner une vision assez claire de ce qui pouvait se passer à ses extrémités.
De plus les gémissements qui me firent me cachés éclairent suffisamment la situation. D’habitude je n'aurai pas accordé plus d'importance que ça à la scène et attendu qu'ils ou du moins qu'elles finissent un peu plus loin. Mais je reconnus l'une des deux femmes, c’est Dina. Ce cordon bleu passait un bon noël, à ce que je vois.
Elles en ont fini. Ça semble tournée à la cata, je n'entends pas bien ce qui se passe. Mais la concubines de Dina semble rompre avec elle et la laisse en plan. La métisse, ne fait rien, elle se met à pleurer, ne prenant même pas la peine de se rhabiller.
Décidément, je ne sais pas voir les filles en état de détresse. Je vais la voir et la recouvre avec mon blouson. Elle regarda qui a fait ça, Dina est déçue que ce ne soit pas l'autre brune partie sans la regarder. Mais elle arrête de pleurer et ce rhabille. Je me retourne quand elle me rendu ma veste. Tant mieux parce que je commence à me les geler !
—Tu dois me prendre pour une hystérique. À chaque fois que je te revois, je suis dans tous mes états.
—Non, ça me donne encore plus envie de faire ta connaissance.
Lui répondis-je, elle me sourit. Au moins elle j'arrive à la réconforté légèrement dans son mal être, pour Victoire je l'en ai à peine distrait. Cette pensé me rend mélancolique, la métisse le remarque malgré ça détresse et elle essaye de me réconforter :
—Soit pas triste c'est noël ! Allez viens je t'emmène voir Margueritte !