59. Apprentissage

13 minutes de lecture

PDV d'Ely

Il est vraiment con, je souffre positionnée sur le dos avec mes fesses meurtries ; je regarde une fois de plus l'heure, il est seulement 3 heures.

Pourtant, j'ai une sérieuse envie de dormir mais la douleur ne me laisse aucun répit. Ce qui est sûr, c'est que je me rappellerai des suites non prévues de cette fessée.

La porte s'ouvre, je venais seulement de réussir à m'endormir. Je suis dégoûtée, à croire qu'il se fait un grand plaisir à m'emmerder.

— Debout Ely, ta journée commence.

En deux minutes il défait les attaches qui me lient au lit. J'aimerai bien connaître le système de nœuds qu'il utilise, mais ce n'est pas pour cela que j'ouvre mes yeux, hors de question que je me lève, qu'il aille au diable, je finis ma nuit.

Je n'ai pas le temps de finir de formuler mes pensées que je suis aspergée d'eau glacée.

Je me lève à la hâte tellement l'eau est gelée, je frissonne.

— Tu as exactement 15 minutes pour t'habiller en tenue de sport, changer tes draps et amener ceux qui sont mouillés avec toi. Je t'attends derrière la porte !

Puis il sort, il avait une nouvelle fois tout prévu, le seau d'eau glacé, les draps secs.

Il me le paiera, c'est clair.

Je me dépêche de m'habiller et de changer mes draps pour le rejoindre, je n'ai pas besoin d'une punition supplémentaire aujourd'hui, je pense que la journée sera assez éprouvante comme ça pour mon corps.

— Bien Ely, tu m'as écouté. Suis moi !

Son ton me fait froid dans le dos, tellement il est sec. Il marche vite, ce qui fait que j'ai du mal à le suivre. Je ne sais pas ce que je dois faire de mes draps.

Nous ne marchons pas longtemps et nous arrivons dans une salle de bain. Étrange, que venons-nous faire ici?

— Je n'avais pas prévu cela au programme mais tu ne me laisses pas le choix. Pour que tu comprennes que, quand je te dis de te lever, tu ne dois pas rechigner, tu vas laver tes draps à la main. Ensuite, je te montrerai où les étendre et, lorsqu'ils seront secs, tu les repasseras sans un pli, il est hors de question que je les transmette à la blanchisserie et leur donner un travail supplémentaire, tout ça, à cause d'une petite fainéante qui refuse de se lever.

Je n'en reviens pas ! En plus, il reste derrière moi à tout contrôler pour que je le fasse bien. Il me tend de la lessive. Je n'en peux déjà plus, c'est une véritable corvée de laver des draps à la main.

Je viens de finir, il ne me laisse pas de répit et me donne une bassine pour que je les mette dedans.

— Suis moi !

J'exécute sans rien dire, nous nous retrouvons dehors, il me tend des pinces à linge et me montre du doigt un fil.

J'ai beaucoup de mal à les étendre, pas de risque qu'il m'aide. Il me regarde les mains dans les poches et avec un sourire qui montre sa satisfaction.

— Maintenant, tu as la journée d'hier à rattraper.

Je blêmis, c'est quoi cette histoire encore, on ne peut pas rattraper la journée d'hier.

Je le suis jusqu'à une porte que je n'avais jamais vue. Il me laisse entrer la première puis la ferme à clé, au moins il est sûr que je ne me sauverai pas. Car, oui, cette pièce fait vraiment peur.

— J'utilise cette pièce que très rarement, seulement pour les recrues de ton genre. Cette fois-ci, je l'ai spécialement faite aménager pour une soumise.

Je regarde autour de moi, je vois des fouets, des menottes, des cordes, des foulards, une croix mais aussi un étrange banc, une sorte de pilori, je ne sais pas trop à quoi ça peut servir. Je fixe cet objet un peu plus longtemps mais il m'interrompt dans ma réflexion.

— Je vois que tu regardes le pilori, ça tombe bien, c'est le premier objet que tu dois utiliser ce matin, mais avant, je vais te laisser une heure pour apprendre les bonnes manières d'une soumise, ensuite tu me les réciteras attachée au pilori, chaque erreur ou omission sera sanctionnée d'un coup de fouet.

Il me pointe le bureau, je me retrouve donc assise à essayer de retenir ce maudit règlement. Seulement ces foutues règles ne rentrent pas, il faut dire aussi que d'avoir le lieutenant à moins de 50 centimètres ne m'aide pas beaucoup à me concentrer.

L'heure vient de se terminer, il m'informe que je dois le rejoindre, mes pas se font lourds. Je sais que je vais prendre cher pendant cette récitation. Mon regard suit le sien pour apercevoir le fouet avec lequel il va me sanctionner en cas d'erreur. Il est constitué seulement d'un manche suivit d'une longue et unique lanière. Je me demande quelle douleur il peut provoquer mais connaissant le lieutenant, son utilisation doit être douloureuse.

Je me retrouve pliée, fesses en l'air, la tête et les poignets coincés par cet objet de torture. Il est hyper rapide, c'est la deuxième fois que je me fais avoir en deux jours. Il s'accroupit pour me donner la consigne d'un ton très autoritaire.

— Je veux que tu parles fort, que tu t'arrêtes à la fin de chaque règle et que tu attendes l'autorisation de reprendre ta récitation. Si je dois te fouetter, tu devras prononcer cette phrase à chaque coup : " Je vous remercie de me punir pour ma mauvaise récitation, Monsieur ". Tu peux commencer par la première règle.

Je suis mal, même hyper mal, je me demande comment je vais faire pour m'en sortir.

— Règle numéro 1 : Je dois appeler mon dominant par Maître, et les autres Monsieur.

— Bien Ely, sauf que pour le moment tu n'as plus le droit de dire Maître donc tu devras employer Monsieur pour tous les dominants.

Je soupire mais mon comportement ne lui a pas échappé, une brûlure violente prend possession de ma fesse droite, je couine, ce fouet est un vrai supplice.

— Tu viens de commettre une nouvelle erreur, surtout ne te donne pas la peine de me remercier.

— JE SOUFFRE ET JE DEVRAIS VOUS REMERCIER !

Je m'interromps, je viens de prendre conscience que j'ai parlé alors que je suis totalement à sa merci.

Il descend mon short ainsi que mon tanga.

— Excusez-moi je ne voulais pas, je....je...j'ai dit... sans...je sais

— Mais ma petite Ely, parler sans réfléchir devient une habitude un peu trop courante chez toi à mon goût. Une petite correction devrait t'aider à tenir ta langue la prochaine fois. Je vois que ce pilori est fait pour toi, tes fesses sont totalement offertes pour recevoir une punition bien méritée.

Je sais qu'il faut que j'acquiesce au risque de prendre 10 fois plus.

— Oui, Monsieur.

— Aucun son Ely ne doit sortir de cette bouche pendant ta fessée sinon elle durera jusqu'à ce que le silence règne.

— Oui, Monsieur.

Le premier coup tombe, ce n'est pas le fouet de tout à l'heure, on dirait que plusieurs lanières tombent en même temps avec je ne sais quoi au bout. Mais la douleur est à la limite du supportable, à ce rythme, c'est sûr que je vais devenir docile.

Les coups se suivent, j'ai perdu le fil au fur et à mesure des coups, puis plus rien, mes jambes sont à la limite de céder. Mais je reste debout, je ne veux pas lui faire ce plaisir. Malgré mes larmes, pas un son n'est sorti de ma bouche.

— Merci de me punir pour mon mauvais comportement, Monsieur.

— Je vois que ce chat à 9 queues t'aide à réfléchir intelligemment, je pense que je vais devoir l'utiliser plus souvent. J'espère que tu connais ton règlement par cœur car, vu les boursouflures qu'ont laissé les petits nœuds du fouet, les prochains coups seront très douloureux.

De toute façon, je n'ai pas le choix mais je m'abstiens de lui crier ce que je pense afin de ne pas attirer une nouvelle fois son courroux.

PDV du lieutenant

Ely n'en rate pas une, malgré ma sévérité elle continue à me défier.

Le soupir, après ma remarque m'horripile, je ne peux laisser cette impertinence sans conséquence. Du coup, je me saisis du chat à 9 queues, c'est un des fouets les plus redoutés des soumises. Les petits nœuds aux bouts des lanières sont très convaincants pour les soumises. En général, elles ne reproduisent pas deux fois la même erreur.

J'applique mes coups pour qu'elle ressente bien la punition mais je prends soins de ne pas la blesser, ce n'est pas le rôle d'un dominant.

Lorsque je vois Ely flageolante, je décide d'arrêter les coups. Pour une débutante, elle les a plutôt bien encaissés. Elle s'excuse comme j'aime que mes soumises le fassent, ce qui me satisfait. Ely, d'ici peu, tu seras une véritable soumise pour mon ami Fred.

Je lui laisse peu de temps pour se reprendre et lui demande de continuer sa récitation.

— Je dois le...le

Je lui cingle les fesses avec le fouet que j'avais prévu au début, elle n'a pas le droit d'hésiter. Ce qui m'agace le plus, elle bloque déjà sur la deuxième règle.

— Je ne sais plus.

Elle s'effondre en me disant qu'elle a oublié la deuxième règle, si elle croit m'amadouer avec ses larmes, elle peut toujours rêver.

Je lui envoie un deuxième coup, ce qui dessine deux traits bien distincts et rouges représentant une croix sur ses petits globes.

— Ely, Ely, que vais-je bien pouvoir faire de toi ?

Je laisse un petit moment avant de reprendre.

— Règle numéro 2 : Je dois obéissance à mon Maître ainsi qu'aux autres dominants. Répète cette règle 5 fois.

Elle la répète sans se tromper, je lui envoie à chaque répétition un coup pour qu'elle ne recommence pas à négliger ce qu'on lui demande d'apprendre.

— Règle suivante Ely.

Je vois Ely complètement déstabilisée par l'assaut de mes coups, je vais devoir modérer les suivants si besoin.

— Règle numéro 3 : Je dois respecter mon Maître et le rendre fier.

— Bien Ely, poursuivons.

— Règle numéro 4 : Je dois ramener des résultats scolaires à la hauteur des attentes de mon Maître.

— Pour ce point, tu en es très loin mais je pense que ma nouvelle méthode de travail devrait te convaincre rapidement de te mettre au travail. Règle suivante, Ely.

PDV d'Ely

Mais bien sûr, il croit qu'en me fouettant il va obtenir tout ce qu'il veut de moi.

— Règle numéro 5 : Je dois satisfaire toutes les demandes de mon Maître sur le plan sexuel.

Celle-ci, je ne l'ai pas oubliée, rien que d'y penser je sens ma mouille couler le long de mes jambes.

— Règle suivante.

Il n'a pas fait de commentaire sur cette règle, bizarre.

— Règle numéro 6 : Je ne dois pas subir sans me plaindre toutes les punitions que mon Maître trouve nécessaires.

— Règle suivante !

Yes, j'avais envie malgré la situation difficile dans laquelle je me trouvais de modifier cette règle. Je n'ai pas reçu de coup de fouet, il n'a pas dû le remarquer. Je jubile intérieurement, le fait de prononcer cette phrase me réchauffe le cœur en montrant que je suis encore moi-même.

— Règle numéro 7 : Je ne dois pas contredire mon Maître. Aïeeeeeeeeeeeeeeee

Je crie toute la douleur du coup que je viens de subir. Je peux dire que c'est la première fois qu'il frappe aussi fort.

— En modifiant la règle numéro 6, tu as enfreint la règle numéro 7. Par conséquent j'ai décidé de changer de fouet pour te punir, ce coup doit te rappeler celui de ton insolence de tout à l'heure. Neuf petites lanières tressées qui se terminent par des nœuds devraient t'aider à arrêter ton insolence, je sais très bien que tu as modifié la règle 6 volontairement. D'ailleurs je viens de modifier la règle numéro 7 : Je ne dois pas contredire volontairement mon Maître ou tout autre dominant. Répète la 5 fois.

Oh mon dieu, je vais mourir cette fois, pourquoi mon impulsivité prend toujours le dessus sur ma bonne conscience. Je répète une première fois, le fouet vient claquer ma chair déjà chauffée par tous les coups que j'ai pris depuis tout à l'heure. Je ne maîtrise plus rien, la force des ses coups me rappelle que je l'ai bien cherché. Je crie à chaque nouvel assaut sur ma peau de ces 9 lanières, les larmes fusent. Je fais le compte rapidement, c'est comme si j'avais reçu 45 coups de fouet en 5 coups. Ely tu devrais réfléchir au lieu de toujours aller à l'affrontement surtout avec lui.

— Reprend le règlement depuis la règle numéro 6 !

Sa voix exprime son mécontentement ainsi que son agacement face à mon comportement.

— Règle numéro 6 : Je dois subir sans me plaindre toutes les punitions que mon Maître trouve nécessaires.

— Continue !

Sa colère n'est pas retombée, c'est ce qui m'inquiète le plus, nous sommes qu'au début de la journée.

— Règle numéro 7 : Je ne dois pas contredire volontairement mon Maître ou tout autre dominant.

— Tu vois ce n'est pas si difficile quand tu y mets du tien. Je te rappelle que je ne laisserai rien passer Ely. Maintenant, fais ce que tu veux mais tu devras en assumer les conséquences. Me suis-je bien fait comprendre ?

— Oui, Monsieur.

Oh, que oui. Je le déteste, je suis obligée de répondre à ses débilités au risque de subir une nouvelle sanction.

— Ensuite.

Après ce que je viens de subir, je cherche éperdument à quoi peut ressembler cette règle numéro 8. Concentre-toi Ely, tu vas trouver.

Il se racle la gorge, signe de son impatience.

Ah je crois que c'est la règle concernant la nourriture, c'était quoi déjà. Je tente en espérant ne pas me tromper.

— Règle numéro 8 : Je dois manger sans rechigner à tous les repas pour rester en bonne santé sauf si mon Maître décide de me priver de repas.

Il s'accroupit devant moi, me relève la tête en tirant sur mes cheveux.

— Cette règle est très claire, plus de grève de la faim, ni de rébellion face à un caprice sinon tu devras en subir les conséquences. Continue.

Le pauvre ! S'il savait le nombre de repas que j'ai sautés avant d'arriver ici, il en ferait une crise cardiaque.

Je me remémore comme je peux cette nouvelle règle, je ne veux pas prendre d'autres coups. La douleur depuis les derniers coups me lacère mais je reste forte, il est hors de question que je lui donne la satisfaction de m'avoir fait plier.

— Règle numéro 9 : Je ne dois prendre aucune décision sans le consentement de mon Maître.

— Ok, tu ne t'en es pas trop mal sortie au sujet de ta récitation, je voulais juste te signaler que, si tu souffres, c'est à cause de ton insolence. Je rajouterai les règles nécessaires à ton éducation au fur et à mesure de ton apprentissage. Tu devras me réciter ce règlement à genoux, fesses sur les talons et les mains posées sur les genoux paumes tournées vers le haut dès que je te le demanderai.

Un silence suit, à croire que c'est le roi du silence.

— Et bien, il aura fallu peu de temps pour que je rajoute une nouvelle règle. Règle numéro 10 : Je dois répondre à chaque fois que mon Maître m'adresse la parole sauf décision contraire. Je ne te punis pas pour cette nouvelle règle, mais la prochaine fois, je le ferai sans hésiter.

Je sens le bois qui maintenait ma tête ainsi que mes poignets se relever. Je ne bouge pas de peur de faire une nouvelle erreur.

— Je t'interdis de toucher tes fesses. Relève-toi et rhabilles-toi, nous partons en forêt.

Non, ce n'est pas possible, j'ai hyper mal, le frottement du tissu va être insupportable. En plus, chaque fois qu'il m'a emmené en forêt c'était pour me punir. J'y vais d'un pas nonchalant, je n'ai vraiment pas envie d'y aller. Et pour couronner le tout, il pleut des cordes, je vais attraper la crève sous ce temps.

— Ely, surtout ne te presse pas, on a toute la journée, seulement tu te coucheras ce soir plus tard et ne compte pas sur moi pour repousser l'heure du lever demain matin.

— Oui, Monsieur.

— Je pense que tu sais que tes actes d'hier ne peuvent rester sans punition. Par conséquent, une petite séance sportive chaque matin jusqu'à nouvel ordre devrait t'aider à te remettre dans le droit chemin. Pour le moment ce sera footing, je vois déjà ton sourire poindre mais à ta place je ne me réjouirai pas de trop, vu que tu es bonne en footing, tu vas devoir accélérer ta course. Du coup chaque matin, tu me feras le même parcours en l'améliorant d'une minute à chaque fois. En cas de non respect de cette consigne, tu recevras une punition.

Il est vraiment taré, effectivement il me met une contrainte juste pour que j'échoue. Ely, ne panique pas et cloue lui le bec, de toute façon aujourd'hui tu y vas doucement. Ensuite j'aurai seulement à accélérer un petit peu chaque jour, ce qui me laisse une grande marge par rapport à mes capacités.

— Bien entendu, j'ai déjà contrôlé le temps que tu mets à le faire lors de tes précédentes punitions, je ne suis pas né de la dernière pluie Ely. Aujourd'hui, tu as exactement 1 heures 09 pour faire le parcours rouge. Je t'attends à l'arrivée. Go !

Ce lieutenant est vraiment redoutable, je me demande parfois, si il n'a pas un décodeur pour lire dans mes pensées. Mon cerveau vient de réagir, parcours rouge, c'est le plus dur, celui avec des montées à pic et des descentes impressionnantes. Il a vraiment bien choisi la punition, enfin pour lui, pas pour moi. Je me remémore la dernière fois que je l'ai fait, c'était avec lui, il m'avait donné le tempo, j'avais eu beaucoup de difficulté à le suivre. Il me criait dessus pour que j'accélère dès que je décrochais, j'avais fini complètement sur les rotules.

Il vient de me dire d'y aller, je pars en petite foulée même si je sais qu'il va falloir que j'accélère pour améliorer mon temps. Le sadique ! Il ne vient même pas avec moi, pas étonnant il pleut, d'un autre côté je pourrai m'abriter en attendant qu'il décide à venir me rejoindre au moins je ne serai pas la seule trempée jusqu'au os au risque de subir une nouvelle punition.

Mais d'un autre côté, je ne peux subir plus que ce matin et dans ce cas je supporterai cette nouvelle sanction. Ma bonne conscience me dit "Ely réfléchit : Es tu prête à subir une nouvelle sanction?" Ma mauvaise conscience répond "Pourquoi pas, ce serait drôle de voir ce lieutenant trempé, et si seulement il pouvait attraper la crève, ce serait l'apothéose."

Annotations

Vous aimez lire SOHO5367 ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0