J’étais affamée et mentalement exténuée.

Très tendue lorsqu’il s’approcha de moi, instinctivement, je me reculai.

— Excuse-moi omri. J’ai déconné. Je… Je.. Je ne m’attendais pas à ça, c’est tout.

— …

Face à mon silence il avait alors prit mon visage dans ses mains et l’avait couvert de baisers. Cela m'avait réconforté et, sous sa tendresse, je me donnais de nouveau à lui.

J’avais fais le bon choix. Il m’aimait. Je l’aimais. Nous allons passer notre vie ensemble et ma famille finirait pas accepter cela.

Il ne pouvait en être autrement. C’était le destin.