Chapitre 1er

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Je suis assise sur cette chaise, dans le petit vestiaire attenant à la salle de consultation, attendant patiemment et ne portant rien d’autre que la blouse en papier que l’infirmière m’a donnée. La sensation du papier un peu rêche contre ma peau douce n’est pas très agréable, d'autant plus que j’ai maintenant la chair de poule... Alors que je relis une affiche sur les maladies cardiaques pour la troisième fois, j'entends frapper la porte.

"Bonjour madame, mes excuses pour vous avoir fait patienter un peu…”

Le médecin m’a demandé de le suivre Il a environ 35 ans, bronzé, élégant, les épaules carrées, il m’inspire confiance, je me surprend même à penser qu’il est plutôt à mon goût. Il m'accueille avec un grand sourire et son regard me met en confiance. Il se présente puis m’écoute lui expliquer la raison de ma visite, puis m’explique le déroulement de l’examen. En l'écoutant, je pose mon regard sur ses mains, veineuses et particulièrement musclées. Il porte une alliance. Mais pourquoi je regarde ça moi !!! c’est mon médecin, ressaisis toi me dis-je !

«… alors nous allons procéder ainsi : je vais d’abord faire un examen général et ensuite nous planifierons un suivi avec un spécialiste. Cela vous va ? »

Mes yeux de biche s'écarquillèrent alors que j'acquiesce. En réalité je ne l'écoute que d’une oreille, perdue dans mes pensées et un peu troublée par son beau sourire. Il semble intelligent et très professionnel, heureusement pour moi car dans un autre contexte, j’aurais déployé tous mes atours pour le séduire.

«Je vois dans votre dossier qu’il n’y a pas d’examen mammaire récent. nous allons commencer par ça. Pourriez-vous vous allonger sur la table, avec le bras au-dessus de la tête. Vous pouvez retirer la moitié supérieure de votre blouse»

C’est toujours un peu gênant de se découvrir devant un inconnu, et je sens que mes joues sont en train de devenir écarlates. Je laisse tomber la moitié supérieure de la blouse pour révéler mes petits seins. Mes petits mamelons roses sont légèrement durcis par la fraicheur de la pièce. Le médecin arbore un sourire poli. Je me penche en arrière contre le dossier du fauteuil d’examen, brr... c’est froid !!! Puis je relève mon bras, posant ma tête sur mon avant-bras et cambrant légèrement le bas du dos pour faire ressortir ma poitrine.

«Oh, il est gaucher», me dis-je alors qu'il commence à m'examiner. Sa main est chaude et le contact de ses doigts chaud efface comme par magie la chair de poule apparue sur mes deux petits monts. Il commence par palper mon aisselle, je suis un peu chatouilleuse, il faut que je reste concentrée pour ne pas rire.... Il me palpe du bout des doigts au début, puis il augmente la pression en massant les tissus avec ses deux dernières phalanges, il descend ensuite vers ma poitrine.

Son approche est très clinique, il déplace ses mains autour de ma poitrine cherchant consciencieusement une éventuelle anomalie, soudain son alliance, beaucoup plus froide touche ma peau, me redonnant en un instant la chair de poule. Je rougis, ne sachant pas s'il a remarqué que mes mamelons ont durci durant la palpation.

Il s'éclaircit la gorge avant de faire le tour de la table pour examiner l'autre sein. Cette fois, il semble un peu moins... clinique... dans sa technique. Je remarque qu’il a abandonné la technique à trois doigts au profit d'un toucher plus doux et plus décontracté avec l’ensemble de ses doigts. A t-il conscience de ce qu'il fait ? Pourrait-il imaginer ce qui se trame dans mon esprit lorsque il agit ainsi ? Je crois que mes joues sont toujours aussi rouges que tout à l’heure... Il se concentre sur une petite tache de naissance sur le dessous de mon sein droit. Je lève courageusement les yeux pour voir son expression curieuse et incertaine. Avant que je ne puisse ouvrir la bouche pour lui demander si tout va bien, sa main entière saisit fermement mon sein, ouh, j’ai chaud !!! il soulage la pression pendant un moment pour me saisir à nouveau le sein plus fermement et finir l’examen mammaire. Je laisse échapper un petit bruit en me reculant alors que je sentais ma vulve se réchauffer franchement… en un instant, un million de pensées se précipitent dans ma tête : cette situation me met particulièrement mal à l’aise, c’est même carrément gênant. il va m’examiner et voir mon état, je vais mourir de honte ! Je peux sentir mon sexe devenir suffisamment humide pour que mon humidité dépasse de mes lèvres. Je regrette de ne pas avoir de culotte, ça m’aurait aidé à absorber ce désordre.

Le moment a duré un instant, quand il a relâché sa prise, il a relevé son front plissé et en haussant les épaules avec désinvolture m’a dit souriant: «Je pensais avoir ressenti quelque chose, mais non., rien d’anormal. Désolé si je vous ai inquiété. ».

"Oh non ! Pas du tout docteur, je vous fais confiance”.

"Eh bien," dit-il avec un sourire charmant, "continuons l’examen"

Il positionne les étriers du fauteuil d’examen. je me calme un peu, mon visage est moins rouge, et à la fois, j’ai toujours trouvé ces fauteuils d’examen très barbares. Je sais qu'il va voir que je suis humide. Je maudit mon corps en silence. La pièce est silencieuse, l’atmosphère est pesante. Je pose mon pied sur l'étrier métallique, brrr, c’est froid, puis le second et lève les yeux vers le médecin, mortifiée.

Il s’assoit sur son tablouret à roulettes pivote et vient s’installer entre mes mollets, “Hum, J'aurai besoin que vous vous rapprochiez du du bord de l’assise s’il vous plaît". joignant ses gestes à ses paroles. Bien que la situation soit plutôt gênante, je me laisse aller à penser que son sourire est particulièrement charmant, Je déteste toujours autant mon corps pour l’excitation subséquente à ces pensées. je ne peux pas m'échapper, il va tout voir !!!

Écoutant ses consignes, je rapproche mes fesses du bord de la table, et je réalise que le papier sur le divan d’examen est collé à moi. je le repousse rapidement avant, à contrecœur, de m’exposer à lui. Je fixe le plafond, me cache derrière mes genoux pour qu'il ne puisse pas voir mon visage. La pièce est toujours aussi silencieuse.

«Commençons» dit le médecin confiant, après un petit temps qui semblait être une éternité.

Je jette un coup d'œil et ne peut voir que ses sourcils et son front se plisser, Mon esprit s'emballe. Pense-t-il que je suis désespérée ? Pense-t-il que je suis une nymphomane ? Il est marié me dis-je, c’est son métier, je ne dois pas être la seule ! Il est marié oui mais qu’est-ce qu’il est mignon ! il faut que j’arrête de penser à ça, vraiment… non il ne faut pas. Mais au fait, que se passerait-il s'il le faisait ? s’il faisait quoi au fait, de quoi ai-je envie ? J'ai retenu mon souffle en attendant un signe de je ne sais quoi...

Soudain, je sens son doigt ganté travailler. Il s’insinue doucement entre mes grandes lèvres, les sépare, avant d'utiliser un deuxième doigt pour écarter mes petites lèvres et avoir mon sexe rose ouvert, devant lui. Je peux entendre mon humidité lorsqu’il effectue ce petit geste.

«Vous semblez un peu… excité», accusa-t-il avec un air amusé, en me regardant, par-dessus mes genoux, «j'espère ne pas avoir été trop agressif lors de votre examen.»

A ces mots, mon visage est redevenu écarlate, je fulmine. "Et donc ?" ai-je laché, énervée, humiliée et incapable de me défendre autrement: “Je pensais que vous étiez un professionnel, Docteur. Je m'attendais à un examen plus professionnel”.

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