Idrinya dans le néant
- Idrinya dans le néant -
Idrinya s’était une nouvelle fois retrouver dans un autre monde. Elle se trouvait en pleine guerre, tout en ignorant sur quelle planète elle avait atterri. Elle se cacha derrière un rocher. Soudain, elle vit un homme s’écrouler à côté d’elle en hurlant « Mort à la dynastie Quing ». Idrinya faisait face à une terrible guerre. Puis, elle sorti de là où elles s’étaient cachées en veillant à ne pas se faire toucher par une balle ou un boulet de canon. Elle aperçut brusquement Saralone. Et instantanément, toutes les scènes de guerres se statufia. Il ne resta que quelques secondes pour que le monde disparaissait. Elles furent toutes seules dans l’obscurité.
- Nous voici toutes les deux. Tu te demandes comment j’arrive à être à la foi présente avec toi. Et présente à Karuka.
La magicienne gonfler par l’oxygène de la terreur, beugla.
- Qu’est-ce qui se passe. Pourquoi sommes-nous dans le noir. Réponds-moi !
- Tu voulais te battre ? N’est-ce pas ?
- Ce n’est pas une réponse !
- Pour moi si ! Battons-nous !
Saralone transforma son sceptre en arc. Elle pointa son arc sur la magicienne.
- C’est un arc à flèche magique. Une flèche te touche. Et ton âme sera détruite à jamais.
*
Aluna fusilla Saralone du regard. La sorcière contemplait son sceptre avec fierté.
-Tu vois ma petite fée. Grâce aux pouvoirs que je confère à mon sceptre de saphir. Je peux dupliquer mon âme, et voyage dans d’autres monde tout en restant ici.
- Délivrez ! Idrinya réclama Aluna. Et nous partirons de cette ville. Après tout, nous ne sommes que de passage ici. Saralone tourna les yeux de son sceptre. Elle scruta ses ongles et dit.
- Crois-tu que cela est aussi simple ?
Elle retira son regard sur sa main. Elle visionna la faible lumière de la fée puis dit.
- Je vais lui faire payer ses blasphèmes.
*
Les guildes se prépara après avoir planifié comment combattre efficacement Saralone. Messalina devait soutenir les pouvoirs d’eau d’Alua-Zénia. Esank et Sakuri devaient rester grouper, en formant un duo, pareille aux deux magiciennes. Les dragons de Méssalina serviraient de montures à Esank et Sakuri.
Tandit qu’Alua-Zénia et Méssalina monterait sur Elianian.
- Dis-moi dit Esank à Messalina, comment voudrais-tu appeler la guilde ?
- Je ne sais pas encore dit-elle, en montant sur le pégase. On verra plus tard comment nous appellerons notre guilde.
Ils partirent au château.
*
Idrinya croyait à sa fin. Or, son père lui disait souvent qu’une jeune femme comme elle devait être forte. Elle devait sans cesse relever, dans des situations pénibles et dans les sentiments des joies. Elle revoyait les souvenirs d’elle avec son père. Dans son enfance et perdant son adolescence. Les larmes coulaient sur ses joues. Les yeux confronter à l’obscurité. La maléfique présence de Saralone ne la préoccupait plus. Elle chercha dans ses souvenirs un conseil, un sourire, une émotion, un acte qui pourront remplacer le mana en une force. Une force pour qu’elle reprenne espoir. Elle était à genou devant Saralone. La sorcière n’attendait que la déférence et l’adoration.
- Pas besoin de te menacer on dirait. Tu comprends enfin. Adore-moi. Et tu connaîtras la félicité.
- Je suis fatigué, imbécile ! Ce n’est que de la fatigue.
La sorcière rigola.
- Pour l’instant… Tu m’offriras ta fidélité lorsque je t’aurais envouté.
Idrinya eut un rire nerveux.
- Maintenant tu changes d’objectif ! Tu souhaites m’envouter à défaut de me tuer. Quelle plaisanterie !
Saralone perdit sa constance. Idrinya ne souhaitait visiblement pas lui jurer fidélité.
Elle transforma son arc en glaive manique. La lame projetait une lumière verte. Elle bondit sur Idrinya, voulant lui donner un coup, mais la magicienne esquiva son attaque. Idrinya n’avait plus de mana. Elle sort son pistolet et tira sur la sorcière. Les balles de l’arme fondirent avant même qu’elles ne puissent heurter sa peau. L’énergie maléfique de la sorcière était puissante. Une forte envie de résignation draguait le cœur d’Idrinya. Mais l‘espoir était vif dans l’âme d’Idrinya. Saralone avait le dessus.
- Nous sommes dans le chaos. Et je peux y rester avec toi pour l’éternité ? A toi de voir…
*
Aluna jouait la diplomate avec Saralone. Libérer Idriyna et rentrer à la maison. Oublier cette quête qui tournait au fiasco. Aluna, simple fée, désirait revoir sa famille. Elle ne pouvait plus soutenir la difficulté de la quête, elle et ces « deux idiotes », comme elle aimait souvent les appeler. Ce soir, le désir qui habitait en elle cherchait à déménager pour s’installer dans le chao. Saralone la regardait, avec ce regard fier et hautain. Aluna l’horripilait. Elle, et ses yeux brillants.
- Pauvre fée ! se moqua la sorcière. Ton ami ne sortira pas du chao. Tu devrais vraiment abandonner. Je sens un sinistre désespoir dans ton aura.
Saralone parla trop vite. Elle apercevait de loin, deux créatures dans le ciel, à l’horizon. La noirceur du ciel l’empêcher de le voir. Les yeux de la sorcière la trahissaient. Une armée de magicienne s’étaient déplacés pour la combattre. Saralone perdit la confiance qu’elle possédait. Sa rage brulait. La bataille était lancée. Elle poussa un épouvantable cri. Des ailes sortirent de son dos. Ses cheveux devirent des serpents rouges. Et sa beauté se changea en une effroyable laideur. Ses dents se transformèrent en dents de vampires.
Aluna prit peur, mais sa peur s’éloigna lorsqu’elle vit l’armée venir du ciel. Plusieurs aéronefs suivaient le pégase et le dragon. La fée se para d’espoirs. La fin de Saralone, c’était ce soir.
La sorcière, coincée par le stress. Poussa cris sur cris, hurlement sur hurlement. Elle faisait apparaître des papillons-harpies. Les créatures de l’enfer surviennent par milliers. Les magiciennes pourraient-elles craindre ces monstres ? Non, la vue de ces abominations ne les intimidait nullement. Elles s’étaient armées pour le pire. Cette révoltée elle l’avaient pensée depuis longtemps. A présent, combat finale avait eu lieu. Messalina, les yeux froids, considéra les harpies sans montrer une once de peur. Assis sur Elianian. Elle tourna la tête, vers Zénia.
- C’est bien ce que je pensais. Elle s’est changée en Furie. Ordonne aux aéronefs de tirer par canon.
- Je ne pense pas qu’il faille d’abord procéder à ce type d’attaque repris Alua-Zénia. Nous risquerons d’attaquer les habitations. Combattons les papillons-harpies en premier lieu.
- Tu as surement raison. Zénia tu possèdes les pouvoirs de l’eau. Mais arriveras-tu à communiqué par télépathie ?
- D’accord, acquiesça Messalina envoie un message par télépathie aux magiciennes. Dis-leur de rester en arrière. Et d’attaquer seulement lorsque je leur commanderais.
Esank frémit. Pour lui, les aéronefs ne pourraient pas rester dans l’air interminablement.
- Messalina ! Cela ne rime à rien. Je t’avais dit que pour une ennemie comme celle-là. Déployer des troupes était inutile.
- Ne sous-estimer pas Saralone. Nous allons avoir du pain sur la planche !
La bataille commença.
Esank et Zénia attaquaient Saralone, tandis que Sakuri et Messalina tuaient les papillons-harpies. Esank créa un nuage à tonnerres. Il s’agissait d’un sort terriblement puissant. Des grosses éclaires tombaient fatalement sur Saralone. Saralone riposta en criant plus fort. Un énorme serpent dragon sortie du jardin, dévastant toutes végétations sur son passage.
Les magiciennes se défendirent en créant des boucliers anti-feu. Le serpent dragon sortit ses longues pattes. Puis, ses ailes apparurent. Il s’envola en compagnie des harpies qui combattait sur le sol. Messalina, Sakuri et Zénia combattaient dans le jardin. Les papillons-harpies étaient nombreux. Zénia, confia à Esank la charge d’éliminer Saralone. Un seul devait se battre contre la sorcière, les harpies faisaient trop de dégâts.
L’objectif principale était de contenir la férocité des papillons-harpies. Pourvu qu’il ne rentre pas dans les maisons et les immeubles pensa Alua-Zénia.
Esank lança une boule de feu sur Saralone.
Saralone se dématérialisa instantanément en poussière de sable et s’infiltra dans les moteurs des aéronefs. Esank comprit vite ce qui se passait. Il envoya rapidement un message par télépathie aux magiciennes. « La sorcière s’est incrustée dans les mSoteurs des aéronefs, atterrissez immédiatement ». Les aéronefs se posèrent, écrasant les fleurs, et les buissons. D’autres aéronefs tombèrent dans les bassins.
Annotations
Versions