Chapitre 4 Vacances lesbiennes. (1)

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NDA : cette séquence relativement longue sera divisée en plusieurs parties pour le format Scribay.

Les personnages : Sylvie timide et inexpérimentée ; Carmen jouisseuse à tendance bi-.

Les deux amies se connaissaient depuis longtemps mais n’avaient jamais eu l’occasion d’organiser une échappée sans leurs maris respectifs qui coïncidence, se trouvaient à l’étranger pour des raisons professionnelles pour plus d’une semaine. Comme la saison était belle, elles eurent vite fait de jeter quelques fringues dans leurs valises et de partir vers le sud. Il était convenu que Sylvie conduirait vu qu’elle avait une puissante voiture sport décapotable alors que Carmen avait une citadine certes confortable mais moins adaptée aux grands trajets sur les autoroutes.

Le soir de leur première étape elles eurent vite fait de trouver un hôtel confortable et prirent leur dîner en tête à tête dans le restaurant. Le repas était succulent et comme la conversation avait tourné sur leurs vies respectives une deuxième et une troisième bouteille de Chablis furent consommées sans problème. La conversation était sérieuse au départ et tournait autour de leur vie professionnelle et celle de leurs maris respectifs. À la fin, le restaurant était quasi désert et elles comprirent qu’il était temps de monter dans la chambre. La marche vers l’ascenseur était un peu hésitante et une fois dans l’ascenseur Carmen notait brusquement l’odeur capiteuse du parfum de Sylvie. Elle approcha donc sa tête du cou de Sylvie pour sentir au plus près le parfum et était-ce une secousse ou une simple perte d’équilibre ses lèvres virent s’appuyer longuement dans le cou de son amie et esquissaient un baiser, ce qui entraînait un fou rire des deux amies qui ne finissait pas lorsque les portes s’ouvraient à leur étage. Les femmes se mirent donc à leur aise et commençaient à se préparer à dormir.

Au déballage de leurs vêtements Sylvie fut à nouveau pris d’un fou rire alors qu’en sous-vêtements, elle réalisa qu’elle avait oublié de prendre un vêtement de nuit, Carmen lui répondit qu’elle n’avait qu’à dormir à poil et pour qu’il n’y ait pas de jalouse elle ferait la même chose. Carmen se mit donc au lit ne gardant que son slip. Sylvie plus timide tentait de sortir de la salle de bains avec un bras recouvrant ses seins et l’autre main masquant son intimité. Carmen toujours un peu excitée par l’alcool riait de plus belle sortit des couvertures et pris le bras de Sylvie pour admirer sa poitrine. Elle passa sa main sur un sein ce qui déclencha un frisson chez Sylvie qui garda l’autre main entre ses jambes. Carmen à qui la vue des aréoles de Sylvie donnait de plus en plus d’excitation se pencha brutalement et prit un téton entre ses dents.

Sylvie soudainement dessoûlée cria un « non ! » mais ne fit rien pour arrêter le geste de Carmen qui continuait en mettant une main sur l’autre sein et excitait le téton qui pointait sous la caresse. Les deux femmes se regardaient intensément, Sylvie à son tour passa une main sur le sein de Carmen tout en constatant que celle-ci avait les seins un peu plus fermes alors que les siens prenaient déjà plus la forme de poires. Sa bouche se rapprochait des lèvres gonflées de Carmen qui ouvrait la bouche pour laisser le passage de la langue qui pénétra avec violence. Pendant de longues minutes les deux femmes toujours debout croisaient et décroisaient leurs langues tout en parcourant de leurs mains le corps de l’autre. L’excitation montait toujours les gémissements plus bruyants et Carmen finit par mettre la main sur la chatte de Sylvie sans pénétrer mais en massant l’extérieur des lèvres. Puis en prenant appui dans son entrejambe elle fit basculer Sylvie sur le lit. Aussitôt Carmen fit peser son corps sur le corps de sa partenaire et frottait ses seins contre les seins de Sylvie. Ce jeu continua pendant de longues minutes chauffant le désir des deux femmes. Sylvie finit par entrer dans le jeu et glissa une main entre les deux corps pour atteindre le clitoris de Carmen qui était tout trempé. Le jeu devenait plus intense et on entendait le gémissement de plus en plus fort, Carmen s’agitait de plus en plus mais rompit soudain le contact et mit le nez entre les jambes de Sylvie. Celle-ci réagit comme tout à l’heure lorsque Carmen voulut voir ses seins, son « oh non ! » était moins prononcé quand même et Carmen parvint à ses fins. Elle constata en introduisant sa langue dans le vagin que Sylvie dégoulinait d’excitation et que le suc lui semblait délicieux. Finalement Sylvie mit ses mains sur la tête de Carmen pour la forcer à pénétrer plus en avant ce qui lui donnait encore plus de jouissance. La langue de Carmen pénétra aussi loin que possible se faufilant entre les grandes lèvres, titillant le clitoris et s’enfonçait dans le vagin, Sylvie gémissait de plus en plus sous la jouissance et puis ce fut le feu d’artifice, son corps se tendit en un arc secoué par un violent orgasme. Carmen garda encore un moment sa bouche sur la chatte de Sylvie se délectant du jus qui coulait du vagin jusqu’à ce que Sylvie s’apaise.

***

« Je n’ai encore jamais joui comme cela » déclara Sylvie en attirant Carmen et en l’embrassant. Carmen encore tout excitée et qui essayait de se masturber mais Sylvie bloqua sa main sur celle de Carmen en lui disant qu’elle voulait lui donner cette caresse mais lui avoua également qu’elle ne savait pas comment. Carmen tout étonnée lui demanda alors si elle ne s’était jamais masturbée et Sylvie avoua tout de go que non et que les rares fois où elle avait fait l’amour avec son mari, elle n’avait jamais connu de grands frissons de jouissance. Carmen ne répondit rien mais l’embrassait passionnément sur la bouche et guida la main de Sylvie vers son clitoris. Les caresses au départ un peu timides et maladroites devinrent rapidement plus intenses ; Carmen se laissa faire tout en caressant les seins de sa partenaire. Sylvie s’excita à son tour et finit par donner plus de vigueur à sa caresse ce qui déclencha un orgasme assez discret chez Carmen.

Les deux femmes restèrent dans les bras l’une l’autre sans s’endormir ; Carmen finit par demander si son mari ne s’intéressait pas au sexe ce à quoi Sylvie répondit que de temps à autre son mari la prenait sans avertissement enfonçait sa verge dans son vagin ou son cul selon son envie, jouissait en quelques coups et se retourna de son côté du lit. Depuis quelque temps le mari de Sylvie ne faisait aucun effort pour donner du plaisir à sa femme au point que celle-ci se demandait s’il ne connaissait pas une autre femme et qu’il ne se satisfaisait avec Sylvie que lorsqu’il n’était pas avec sa maîtresse. Par contre pendant la journée, il était charmant et entretenait des relations verbales normales. Il lui prodiguait de temps à autre des baisers dans le cou ou des caresses sur son visage mais pas plus.

Carmen ne fit aucun commentaire à l’histoire de Sylvie se contentant de caresser doucement le corps de son amie. En finale les femmes finirent par s’endormir dans les bras l’une de l’autre.

Le lendemain matin elles se réveillèrent en s’embrassant et sans aucune gêne devant leur nudité mutuelle. La douche à deux fut relativement chaste, leur savonnage mutuel était sage sans vraiment insister sur les seins et entre les jambes. Après le déjeuner et leur bagage fait, elles reprirent la route vers leur destination.

Le soleil étant de la partie le trajet se fit en décapotable et Carmen remarqua que Sylvie avait mis un chemisier assez décolleté et qu’elle ne portait pas de soutien car de temps à autre ses seins se balançaient lorsque la voiture passait sur un trou. À mi-journée elles firent un arrêt dans une aire de service pour faire le plein et de manger un bout dans un self-service. Les rares clients à table suivaient du regard les jolies femmes qui se servaient au buffet avant de s’asseoir un peu à l’écart. Carmen ne pouvait pas détacher son regard de la poitrine de son amie qui finit par lui demander ce qu’il y avait ; Carmen finit par lui avouer qu’elle avait envie de la prendre dans ses bras et de l’embrasser. Sylvie écarquilla ses yeux et lui dit d’une voix enrouée que depuis le matin elle était troublée de ce qui s’était produit la veille et qu’elle n’avait qu’une hâte de se retrouver dans ses bras lorsqu’elles seraient arrivées à destination, elle cherchait de la tendresse en compagnie de Carmen. Le trajet de l’après-midi fut relativement court et une fois à destination dans l’intimité de la chambre les deux amies se firent un gros câlin ; les vêtements volèrent à travers la pièce et les femmes dénudées se jetèrent sur le lit en s’embrassant sur tout le corps. Carmen qui était restée sur sa faim la veille finit par lui demander si elle avait envie de remettre cela avant d’aller manger et à la réponse affirmative de Sylvie elle lui demanda tout de go de calmer les désirs de Carmen en la caressant entre les jambes. Mais cela ne satisfaisait pas Carmen : « lèche ma chatte » supplie-t-elle et elle prend la tête de Sylvie pour la rapprocher de son sexe. Puis se souvenant de l’inexpérience sexuelle de Sylvie lui expliqua d’insérer sa langue dans le sexe en passant sur le petit bouton qui pointait entre les lèvres « oh oui ! » gémissait Carmen « plus vite, plus fort ! » Comme Sylvie s’était tournée vers les fesses de Carmen, celle-ci parvint à glisser son doigt dans le cul de son amie et commençait à la caresser frénétiquement. Sylvie ne tarda pas à continuer les caresses buccales et finalement Carmen explosa libérant toute la cyprine dans la bouche de Sylvie, qui d’abord surprise goûta le liquide puis le trouvant agréable suça tout le jus qui coulait d’entre les jambes de Carmen. « Je vais te rendre la pareille » gémissait Carmen en l’embrassant sur la bouche et goûtant avec délice le suc qu’elle avait produit en jouissant. Joignant le geste à la parole elle tourna Sylvie sur son dos pour mieux atteindre le sexe de son amie. Carmen voyant la broussaille autour du sexe de Sylvie « tu ne te rases pas le sexe ? » celle-ci répondit qu’elle n’y avait jamais pensé. « Rappelle-moi de te nettoyer tout cela » dit Carmen ce à quoi Sylvie répondit : « pourquoi pas maintenant ? » Ni une ni deux, les voilà dans la salle de bains et Carmen pêche son rasoir dans sa trousse de toilette et sous la douche lui applique le savon sur son mont de vénus en ne négligeant pas de passer régulièrement sur son clitoris. Une fois les poils bien enduits Carmen entama le délicat rasage en lui demandant : « Tu veux que je rase tout comme moi ou tu désires garder un peu de poils ? » Sylvie lui répondit qu’elle voulait le rasage total. En douceur Carmen passa le rasoir sur tout le sexe de son amie en prenant bien soin de ne pas trop insister sur les lèvres recouvrant son clitoris. À la fin de l’opération Sylvie se regarda dans le miroir et fut toute joyeuse en comparant son ventre à celui de Carmen. Celle-ci regardant l’heure lui signalant qu’il était grand temps de descendre au restaurant car l’heure du dîner était déjà bien entamée. « Avant d’y aller, je t’applique quand même une lotion calmante » déclara-t-elle et appliqua généreusement la lotion sur toute la surface sans négliger les parties plus intimes. Au restaurant après avoir choisi le menu Carmen remarqua le visage heureux de Sylvie et lui demanda pourquoi elle paraissait si contente ; Sylvie lui répondit qu’elle était bien en compagnie de son amie et qu’elle n’avait pas mis de slip sous sa jupe ! et que cela lui procura des sensations nouvelles. Leur table étant un peu à l’écart et à l’abri du regard des autres consommateurs, Carmen se déchaussa le pied droit et délicatement passa sous la jupe de Sylvie pour vérifier et sentit effectivement la nudité du sexe de sa compagne de table. Elle souriait tout en gardant ses orteils presser le sexe de son amie et remarqua que les tétons de Sylvie pointaient dur à travers le chemisier au contact de son pied. Carmen sentait la tension monter et sentit qu’elle commençait à mouiller provoqué par l’excitation provoquée chez Carmen et à la pensée de ce qu’elle comptait faire une fois dans la chambre.

Pendant le repas elle parvint à garder la position de son pied autant que possible et dirigea la conversation sur les rapports de Sylvie dans son couple. Sylvie au départ n’eut pas fort envie de se remémorer de son mari mais les questions de Carmen devenaient plus pressantes qu’en finale elle cédait. Carmen lui demanda si elle avait déjà sucé la bite de son mari ou même songé à la sucer. Sylvie écarquilla les yeux en répondant qu’au début de leur mariage Marc, son mari, qui était le premier homme dans sa vie avait fait quelques allusions dans ce sens, mais n’avait pas insisté en voyant la réaction froide (si pas frigide) de Sylvie. Comme elle avait déjà raconté la veille, elle raconta que son mari se contentait de la prendre d’enfoncer sa bite dans son vagin ou son cul et jouissait rapidement au bout de quelques va-et-vient. Carmen lui demanda si Marc se caressait avant de la posséder pour qu’il conclût aussi rapidement, Sylvie répondit qu’elle n’en savait rien car souvent elle était prise dans son premier sommeil et qu’elle sentit seulement le sperme qui coulait dans son corps. Elle avoua aussi qu’elle prenait depuis longtemps la pilule ce qui lui évitait une grossesse non désirée. Elle n’avait jamais discuté avec Marc à propos de sexe, d’enfants et du futur de leur mariage, aujourd’hui ayant connu ces vibrations sexuelles avec Carmen, elle se demandait s’il ne valait pas mieux en rester là et divorcer. Sa profession et les revenus subséquents qu’elle percevait lui permettaient de s’installer dans un appartement et de profiter de la vie. Elle avoua à Carmen que la solitude dans un premier temps lui permettrait de réorienter sa vie intime.

Le repas tirait à sa fin et Sylvie sentit avec un certain regret que Carmen retirait son pied pour se rechausser. Au moment de signer la note, Sylvie demandait quand même une bouteille de Chablis supplémentaire que le serveur proposa de leur monter immédiatement en chambre. Sylvie fit un clin d’œil à Carmen en disant que cela valait mieux que de monter en chambre dans un état d’ébriété comme la veille.

Une fois dans la chambre, elles attendirent que le service de chambre apporte la bouteille avant de se mettre à leur aise. Les deux femmes mirent la robe de chambre mise à leur disposition par l’hôtel. Sans se concerter toutes deux étaient entièrement nues en dessous. Sylvie plus hardie après leur conversation au restaurant finit par demander à Carmen comment se déroulait son mariage. Carmen sans retenue lui raconta que Jean n’était pas un exemple de fidélité mais que leurs relations étaient harmonieuses. Sur le plan sexe, à maintes reprises Jean lui téléphonait qu’il avait des réunions tardives en inventant des budgets à présenter ou des plans de marketing à soumettre aux grands patrons. Un jour Carmen trouva que le sujet était un peu faible et prit sa voiture pour voir ce qu’il en était en réalité ; elle arriva pile au bureau pour voir Jean sortir du parking avec quelqu’un sur le siège passager. Elle suivit à quelque distance jusqu’à ce qu’il s’arrêtât devant un hôtel où il remit les clefs au voiturier tandis qu’ils étaient accueillis par le portier qui les saluait et laissa l’impression de bien connaître le couple. Carmen comprit aussitôt que ce n’était pas une première et retourna sur ses pas. Elle raconta à Sylvie que ce soir-là elle ne pleurait pas sur son sort mais qu’elle décida de prendre toutes les mesures pour qu’au cas où la passade deviendrait définitive qu’elle ne serait pas dépourvue. L’appartement était à son nom offert par ses parents bien avant son mariage, quoique situé dans les faubourgs de standing les charges fussent raisonnables. Côté patrimoine financier elle avait un beau pécule qui lui venait de sa famille et auquel elle ne touchait pas, d’autant plus que professionnellement elle avait de beaux revenus ce qui lui permettait de vivre raisonnablement. Côté sexe elle n’avait pas à se plaindre, comme elle ne voulait pas encore avoir d’enfants elle avait déclaré au début de son mariage qu’elle voulait que leurs rapports soient protégés et en catimini elle s’était fait prescrire la pilule par son gynéco, ainsi elle se sentait à l’aise si un jour il négligeait de mettre un préservatif (ce qui jusqu’à présent ne s’était jamais produit). Le lendemain de cette découverte elle se rendit quand même chez son gynéco pour un dépistage Sida qu’elle renouvela régulièrement par la suite. Sylvie écouta avec attention, étonnée elle demanda ce qui s’était passé ensuite. Carmen répondit que tout se passait presque comme avant. « Presque ? » -oui, j’ai juste changé quelques règles du jeu. Tant que Jean en restait là avec sa maîtresse, elle estimait que ce serait dommage de virer Jean qui était un bon amant, qui la faisait jouir régulièrement et qui la traitait avec tendresse. Elle expliqua à Sylvie qu’elle commençait le jeu sexuel par une brève position de missionnaire ce qui obligeait Jean à enfiler dès le départ un préservatif pour ensuite lui faire une cravate de notaire. Sylvie ne comprenait rien et Carmen lut dans ses yeux que cela méritait quelques explications. En souriant elle expliqua que la position du missionnaire était le rapport sexuel classique où l’homme se couchait sur la femme qui lui faisait face et enfonçait son pieu dans le vagin ; dans la cravate de notaire ou branlette espagnole l’homme où la femme serait ses seins ensemble et faisait glisser sa verge dans l’espace entre les seins, joignant le geste à la parole Carmen écarta les pans de la robe de chambre de Sylvie, elle coinçait les seins ensemble et de l’autre main passa entre les seins ce qui eut l’effet immédiat de faire pointer les tétons et de provoquer une tension dans son vagin. Carmen ajouta que la branlette permettait à la femme de toucher le pénis avec la bouche chaque fois que celui-ci sortait de cet écrin dans les mouvements de va-et-vient. Carmen ne put résister d’avantage à l’excitation naissante de Sylvie et planta sa bouche sur les tétons et commença une série de succions et de caresses de la langue qui firent gémir Sylvie, Carmen lui demanda si elle avait déjà pensé saisir la verge de Marc pendant qu’il la violait (Sylvie trouvait le terme trop fort) pour lui appliquer une masturbation vigoureuse, non, elle s’était toujours laissé faire et n’était jamais intervenue. Sylvie n’était pas d’accord sur le terme « viol » pour décrire l’action de Marc puisque affirma-t-elle il était son mari, Carmen se moquait gentiment en disant qu’elle serait étonnée de savoir combien d’hommes violaient leur femme dans des rapports sexuels non consentis.

Carmen prit Sylvie dans ses bras en bloquant son dos contre elle, elle avait ainsi ses deux bras sur le corps de son amie en caressant ses seins et son ventre. Très rapidement les caresses se firent plus précises et Sylvie eut un orgasme avec un cri violent ; Carmen la maintint ainsi couvrant ses seins avec tendresse et les deux femmes s’endormirent.

***

Le lendemain au réveil Sylvie toujours blottie dans les bras de Carmen tourna doucement la tête et embrassa Carmen sur ses seins qui se réveillait en douceur et réclama encore plus de baisers. Carmen pendant ce temps prit la main de Sylvie pour la guider entre ses jambes et demanda une caresse et enfonça les doigts de Sylvie dans son vagin. Tout en maintenant les doigts bien en place Carmen agita son corps comme un simulacre de rapport et en quelques mouvements bien coordonnés atteignit un orgasme apaisant.

Après le petit-déjeuner elles repartirent rapidement en voiture dans la ferme intention d’arriver avant midi dans un hôtel situé en bord de mer dans le but de passer l’après-midi à la plage. Le temps était superbe et quoique la saison fût déjà bien avancée elles furent rapidement sur la plage de l’hôtel dans un coin tranquille à l’abri des regards des autres vacanciers qui étaient essentiellement personnes plus âgées et des jeunes couples avec ou sans enfants. Chacune enduisit son amante d’huile solaire en insistant sur les épaules, les seins et dans l’échancrure du slip de bain. Ce massage mutuel était relaxant et elles profitèrent bien des rayons de soleil qui réchauffaient leurs corps. Puis voulant se rafraîchir elles partirent en courant se jeter dans l’eau sous le regard des autres baigneurs qui admiraient le corps des deux femmes. Une fois dans l’eau jusqu’aux épaules Carmen prit Sylvie dans ses bras et la caressait discrètement, ce contact suscitait des frissons qui n’avait aucune relation avec la fraîcheur de l’eau. Sylvie encore très prude malgré les trois jours de sexe intense fit quelques brasses pour s’échapper des mains de Carmen. Celle-ci plongea sous l’eau et en quelques instants refit surface un peu plus loin dans un grand éclat de rire en montrant discrètement le slip de bain de Sylvie qui à voix basse réclamait en riant son vêtement. Carmen avec un grand sourire secouait la tête en disant qu’elle rendrait son trophée que contre un gage et Sylvie en suppliant répondit avec un grand sourire qu’elle ferait tout ce que désirerait son amie – « Tout ? » ricana Carmen – « oui, tout » - « alors c’est entendu, viens chercher ton slip, demain on ira sur la plage tu enlèveras le haut de ton maillot et tu te promèneras ostensiblement devant les hommes seuls, tu essayeras d’en aguicher un et tu l’attireras dans notre coin et ici tu lui feras une fellation. J’estimerai que la fellation sera réussie s’il éjacule. Je n’exige pas qu’il éjacule dans ta bouche sauf si tu y tiens » Sylvie n’en croyait pas ses oreilles et essaya de convaincre Carmen de trouver un autre gage. « Tu as dit que tu feras tout » répéta Carmen.

Le soir dans la chambre Sylvie en caressant Carmen essayait encore de la faire changer d’avis mais c’était inutile. Elle caressait Carmen sur les seins et voyait ses tétons gonfler, ces caresses se faisaient plus dures et déclenchaient des soupirs qui devenaient de plus en plus sensuels. Elle approchait sa bouche des seins et commençait des succions sur les aréoles au point que Carmen sentait son corps entrer en vibration, elle prenait une main de Sylvie pour la plaquer dans son vagin en criant de lui donner son orgasme. Sylvie avait un sourire de victoire en voyant Carmen partir à la dérive jusqu’à ce que tout son corps se cabrait et que son regard se voilait sous le plaisir intense.

NDA : est-ce que cela vous a plu ? N’hésitez pas à voter, cela m’encouragera pour la suite !

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