Chapitre 7 Vacances lesbiennes (4)

8 minutes de lecture

NDA : petit rappel : nos deux personnages principaux Sylvie et Carmen viennent de passer une semaine assez chaude ensemble, pendant que leurs maris, Marc (mari de Sylvie) et Jean (mari de Carmen) étaient en voyage professionnel. À son retour Marc s’est retrouvé à la rue. Nouveau personnage : Thérèse enceinte de Marc et sœur de Rita maîtresse de Marc.

- Oh le salaud, c’est ma sœur !

Sylvie et Carmen se regardent étonnées ; Sylvie mit un moment pour avaler cette affirmation :

– Hé bien mon salopard, tu m’en diras tant, coucher avec deux sœurs et oublier de mettre une capote ! Moi qui croyais qu’il me baisait que par raison hygiénique pour vider ses couilles !

– Mais non, répliqua Carmen, Sylvie, il te baisait seulement quand il n’était pas avec ses rousses !

– Mais j’ignorais totalement qu’il avait une liaison avec ma sœur ! dit Thérèse. Je me souviens, ils se sont vus à une réception dans l’entreprise il y a quelques années, où j’avais emmené ma sœur. Et quoi ? Ils se sont à peine parlé, et moi j’étais silencieusement amoureuse de lui !

Carmen regardait Thérèse intensément, Sylvie crut y voir de la pitié mais non c’était plutôt du désir ! Carmen s’empara d’une main de Thérèse pour la serrer très fort, puis en finale la prit dans ses bras pendant que Thérèse pleurait discrètement.

– Sylvie, je propose qu’on monte chez toi, on ne va pas se donner en spectacle ici.

– D’accord, répliqua Sylvie, venez Thérèse on va chez moi, pour discuter d’une stratégie.

Les 3 femmes quittèrent le café et montèrent dans l’appartement de Sylvie. En entrant dans l’appartement Thérèse vit toutes les photos aux murs de Marc et Sylvie ensemble : leur mariage, des scènes de vacances, des souvenirs et des moments de bonheur maintenant flétri.

Carmen et Thérèse s’assirent dans le grand canapé, pendant que Sylvie proposait des boissons. Carmen voulait bien un whisky et Thérèse aussi. Sylvie en finale se dit qu’elle ferait bien la même chose. Une fois les boissons servies Carmen reprit la parole :

– Tu vas faire quoi maintenant Thérèse ? Garder l’enfant, accoucher sous X ?

– Franchement je n’en sais encore rien, je suis célibataire, mais je ne tiens pas à vivre avec lui, car ce n’est pas un exemple de fidélité ; une femme et deux maîtresses ! Et Dieu sait combien de liaisons qu’on ignore.

Sylvie resservit les boissons, Carmen et Thérèse burent rapidement leur dose. Thérèse se détendit avec cette boisson et Carmen en profita pour se rapprocher de Thérèse pour la consoler.

– Thérèse, dit Carmen, avant de prendre une décision concernant l’enfant, il faudra certainement mettre Marc devant ses responsabilités. As-tu les coordonnées de ta sœur ?

– Bien sûr, répondit Thérèse, je pourrai lui téléphoner !

– Oui, mais on a le temps, répliqua Carmen, en l’embrassant sur la joue.

Carmen était manifestement attirée par la rousse, et l’embrassa à nouveau dans le cou, Thérèse se laissa faire, même quand le baiser suivant atterrit sur sa bouche. Carmen força le passage entre ses lèvres et l’alcool aidant il s’ensuivit un ballet de langues. Thérèse prit goût à cette étreinte et gémissait sous l’emprise de Carmen de sa bouche. Carmen était attirée par la rousse et par son petit ventre qui se dessinait déjà légèrement.

Pendant ce temps Sylvie, se rapprochait également de Thérèse et avait compris l’intention de Carmen. Elle défit lentement les boutons du chemisier de Thérèse et découvrit ainsi son soutien-gorge où les seins débordaient. Sylvie eut rapidement le sein droit dans sa paume et excitait l’aréole et le téton, pendant que Carmen continuait son bouche-à-bouche. Les seins de Thérèse étaient déjà plus sensibles par sa maternité future et Sylvie trouvait cela très excitant de titiller les tétons et de pincer les aréoles. Thérèse se laissait faire et commençait à gémir sous le traitement de Sylvie. Carmen surveillait du coin de l’œil les agissements de Sylvie et passa une main sous la jupe de Thérèse. Elle atteignit sans problème son entrejambe et constata que Thérèse était à point ! Elle mouillait sa petite culotte ! Carmen arracha la barrière et n’hésita pas, elle introduisit directement deux doigts entre les grandes lèvres et fit des caresses dans son vagin en passant sur son clitoris.

Thérèse ne put retenir son plaisir et gémissait en criant « oh oui, encore ! » Il ne fallait pas longtemps pour que Thérèse se retrouve nue entre les mains des deux amies. Carmen dont les envies lesbiennes ne faisaient aucun doute, avait écarté les jambes de Thérèse et passait sa langue sur l’intimité rasée créant une onde de choc dans le corps de Thérèse. Elle aspirait de grandes goulées d’air pour calmer la tension et le désir montant.

Sylvie par contre était animée d’un désir de vengeance et voulait assouvir son envie en s’asseyant sur la bouche de Thérèse après s’être défaite de ses vêtements, obligeant celle-ci à enfoncer sa langue dans son vagin. Sylvie lui ordonna d’aller plus vite : « Vas-y salope, baise-moi pour me calmer de tout ce que mon mari ne m’a pas donné », disant cela elle triturait les seins de Thérèse en pinçant les tétons jusqu’à la douleur. Thérèse n’en pouvait plus, tout en léchant le clitoris de Sylvie, elle ne pouvait résister aux caresses de Carmen et finit dans un orgasme en criant de désir et de douleur combinés. Délaissant Thérèse nue sur le canapé, Carmen et Sylvie se mirent en ciseau sur le tapis se caressant mutuellement de manière sauvage. Les deux femmes faisaient glisser leurs intimités l’une contre l’autre en s’arcboutant pour que le contact fut maximal. Sylvie en profitât aussi pour exciter les tétons de Carmen pendant que celle-ci mit sa main dans l’entrejambe de sa partenaire pour augmenter le plaisir. On entendait plus que des halètements et des gémissements jusqu’à ce qu’elles jouissent ensemble d’un orgasme fulgurant !

Puis Carmen et Sylvie prirent Thérèse par la main et allèrent dans la chambre où Thérèse fut assaillie de caresses sur ses seins par Carmen qui avait mis sa fente sur la bouche de Thérèse. Sylvie, toujours agressive secouait sa main dans le vagin de Thérèse d’une façon brutale. Thérèse n’avait pas d’autre solution que de satisfaire en fouillant avec sa langue dans le vagin de Carmen jusqu’à l’orgasme. Puis Carmen masturba Sylvie qui était très agressive en laissant Thérèse insatisfaite avec des douleurs aux seins et dans son intimité. En la masturbant Carmen essayait de calmer Sylvie en lui murmurant des mots d’amour et de sa main libre lui caressait les seins et particulièrement les tétons et les aréoles. Elle rappelait à Sylvie les moments heureux sur la plage et lui dit :

– Lorsque tout cela sera terminé, on repartira en vacances nous deux, pour retrouver la joie des aventures de sexe avec d’autres hommes que l’on choisira en cours de route !

– Oh oui, fait moi jouir Carmen, je suis trop tendue avec cette histoire de Rita et sa sœur. Comment je n’ai pas soupçonné Marc plus tôt !

– L’essentiel Sylvie c’est que tu en seras débarrassé bientôt !

Carmen utilisa toute son expérience pour détendre Sylvie, en la cajolant et en titillant son clitoris, qui au départ était sec. Pour compenser le manque de cyprine, Carmen rassemblait sa salive dans sa bouche et la fit couler sur le vagin. Cette lubrification supplémentaire redonna plus de sensualité aux caresses prodiguées. Comme cela ne suffisait pas, Carmen mit sa bouche dans l’entrejambe de Sylvie et enfonça sa langue au plus profond de son vagin. Sylvie commençait enfin à sentir du plaisir. Pour corser la relation Carmen enfonça doucement un doigt dans l’anus de Sylvie et massait profondément en rythmant de concert avec sa langue. En finale Sylvie atteignit son orgasme libérateur.

Les deux femmes s’endormirent brièvement. Sylvie et Carmen enlacées, Thérèse nue dormait déjà emmitouflée dans les couvertures. Plus tard les femmes se réveillèrent et se demandaient comment se venger de Marc. Carmen se disait que la première chose à faire était de piéger Marc et Rita. Carmen proposait que Thérèse téléphone à sa sœur Rita pour inviter Rita et Marc à une réunion sans parler de Sylvie.

– Que dois-je dire à ma sœur ? demanda Thérèse

– Tu lui dis la vérité ! répliqua Carmen, tu lui dis que tu es enceinte de Marc et que tu désires un arrangement financier soit pour avorter à l’étranger où c’est encore possible, soit que Marc prenne en charge l’enfant ou à tout le moins les frais de l’enfant.

– Mais il ne voudra pas accepter ! déclara Sylvie

– Mais le but est de le saigner financièrement, déclara Carmen, toi Sylvie tu demandes à ton avocat de réclamer une rente de survie, suffisamment élevée pour l’empêcher de vivre la grande vie avec Rita. Ainsi Thérèse, il ne pourra pas entretenir trois femmes à la fois.

– Si les avocats mettent la pression, il laissera peut-être tomber Rita pour rester avec toi, Thérèse ! ajouta Sylvie.

– Non, répliqua Thérèse, il continuera à courir les femmes, il faut le mettre sur la paille de telle façon à ce que Rita le laisse tomber. Je n’aurai jamais plus confiance en Marc.

– On ne doit pas oublier Jean, dans toute cette histoire dit Carmen et d’expliquer à Thérèse que le mari de Carmen était encore en vadrouille avec sa maîtresse et que lui aussi devra payer son inconduite !

Il fut donc décidé que Thérèse téléphonait à Rita, mais pour éviter que la discussion tourne à l’aigre, Carmen proposait que Thérèse soit larmoyante et triste. Carmen prit donc en main les seins de Thérèse et pinça les tétons jusqu’à ce que Thérèse hurle de douleur. Cela provoqua chez Sylvie un désir sadique et elle enfonça deux doigts dans le vagin de Thérèse aussi loin qu’elle put en tordant ses doigts contre les parois. Les deux actions combinées firent jaillir des larmes dans les yeux de Thérèse et Carmen estimait que le moment était favorable pour que Thérèse en pleurs téléphone à sa sœur. Celle-ci décrocha rapidement et reconnaissant la voix de sa sœur demanda assez agressivement

– Qu’est-ce que tu veux ?

– Je cherche Marc, dit Thérèse en pleurant, Rita, sais-tu où il est ?

– Pourquoi veux-tu Marc ?

– Parce que je suis enceinte de lui !

– Quoi ! hurla Rita (comme la communication était sur haut-parleur les deux amies suivaient la conversation) Comment est-ce possible ?

– Parce que nous avons couché ensemble ! et Marc n’avait pas de capote ! répliqua Thérèse, toujours en larmes.

– C’était quand ?

– Il y a presque trois mois ! c’était au bureau, il doit s’en souvenir, il m’a couché sur la photocopieuse, un soir qu’on était seuls dans l’entreprise ! Je ne voulais pas mais il m’a prise presque de force ! Mais je me suis laissé faire, comme une idiote !

– Et pour quoi tu en parles seulement maintenant ? demanda Rita agressive.

– Parce que je ne m’en suis pas rendu compte ! Et puis je cherchais Marc, c’est sa femme qui m’a révélé qu’il était sans doute avec toi !

– Qu’est-ce que tu veux ?

– De l’argent pour avorter à l’étranger ! cria Thérèse.

– Je te rappelle ! et elle raccrocha.

NDA : On continue ? Si cela vous plaît toujours, un petit clic sur « j’aime » ! Merci

Annotations

Vous aimez lire Solo_x ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0