Chapitre 10 Passades lesbiennes (2)

14 minutes de lecture

### Carmen ###

Waouh ! Mon ex-mari (puisqu’il va signer les papiers du divorce) reste quand même un amant merveilleux…

Je sais qu’avec le temps, ma tendance bisexuelle penche de plus en plus vers les femmes, mais Jean reste l’homme avec lequel j’aime jouer au sexe ! J’ai bien dormi après cette longue partie de jambes en l’air et je sais qu’il reviendra. Lui n’a jamais été monogame et je ne lui en veux pas mais mon objectif maintenant c’est Sylvie, la belle rousse Thérèse et la tout aussi belle et tout aussi rousse Rita.

Je ne m’explique pas comment je peux flasher à ce point sur les deux sœurs rousses ? Dans mes aventures sexuelles avec des femmes, je n’ai jamais baisé des rousses ! Pourquoi soudainement maintenant ?

Tout a commencé lorsque j’ai vu la photo de Rita que Sylvie a découverte dans la messagerie de son mari (Marc) et qu’elle m’avait transmise pour son dossier de divorce. Rita était dans une pose provocante une blouse fort décolletée où les seins étaient apparents. La qualité de la photo était de très bonne résolution et on distinguait aisément jusqu’au bord des aréoles qui étaient intactes. Donc les seins n’étaient pas refaits !

Je n’aime pas le toucher de seins refaits par la chirurgie, d’abord parce qu’on sent immédiatement la poche de silicone et ça me coupe mes effets. Dans mes rencontres, j’en ai connu des copines de jeu avec des seins refaits et ça ne fonctionnait pas. Et puis avec tout ce qu’on entend sur les fuites des poches de silicone, je ne veux pas d’accident avec mes amantes. Sylvie et Thérèse ont des seins d’origine et ils me plaisent, je peux les caresser, les pétrir, tirer sur les tétons c’est du cent pour cent naturel ! Et ces seins sont en général plus réactifs aux caresses !

Je n’ai rien dit à Sylvie sur le moment, lorsque j’ai vu Rita en photo car je mouillais et puis lorsque je l’ai vue lors de la rencontre, j’ai vraiment dû serrer mes genoux et garder la tête froide pour défendre les intérêts de Sylvie et de Thérèse !

J’ai téléphoné ce matin avec Sylvie qui m’a confirmé que Thérèse dormait encore chez elle. Elle me fit comprendre que leur étreinte avait été chaude. Elle me parla de ses seins déjà sensibles par sa future maternité ! Je ne pouvais pas attendre !

Je signalais à Sylvie que je déposais le dossier au bureau de mon avocat, qui était aussi mon employeur, c’est moi qui préparais les dossiers de divorce et donc le dossier que mon patron reçut était déjà mis en page selon ses désirs.

Comme c’était mon jour de récupération (RTT) je filais illico chez Sylvie, pour revoir mes deux fantasmes.

En arrivant chez Sylvie, celle-ci m’accueillit en disant :

– Avant que je l’oublie, Carmen je te remercie pour ton intervention. Je n’oublierai jamais ces vacances où non seulement tu m’as fait découvrir l’amour mais en plus tu m’as ouvert les yeux et grâce à ça, je me débarrasse de Marc !

– Sylvie, c’est normal on était amies avant ces vacances, maintenant on est amantes ! Tu sais, hier je suis rentrée pour clore le dossier de mon divorce avec Jean et je n’ai pas résisté à une séance de sexe ! Il baise tellement bien on a convenu de rester amis et partenaires sexuels de temps à autre. Je te le présenterai bientôt, tu verras c’est un bon amant qui te fera découvrir comment un homme peut vraiment te faire jouir.

– Quand tu veux Carmen, tu viendras aussi ?

– Bien sûr, c’est un de mes fantasmes. Une femme qui est baisée par Jean et moi en même temps ! Comment va Thérèse ?

– Avant que tu n’arrives elle dormait encore ! Le stress d’hier n’est pas encore évacué !

– Je t’avoue que ce matin, je voulais la voir ! Cette rousse et sa sœur Rita me font mouiller rien qu’en y pensant. Je ne te l’ai encore jamais dit mais lorsque j’ai vu la photo de Rita j’avais noté que ces seins magnifiques étaient naturels car la photo montrait des aréoles intactes. En fait je n’aime pas du tout des seins refaits, tes seins sont naturels, je les adore et Thérèse c’est pareil !

– Ah c’est ça que tu adores me palper, me sucer mes seins, toi et tes caresses… c’est divin. Carmen rien que d’en parler, je mouille !

Je ne résistai pas, je plongeai entre les pans de son peignoir et mis ma main dans son intimité, en effet c’était très humide, je n’hésitais pas et enfonçai mes doigts dans son antre ! Sylvie poussa son bas-ventre en avant en gémissant.

– Du calme Sylvie, allons voir notre future maman, il est temps de la réveiller pour un jeu à trois !

Nous entrâmes dans la chambre où Thérèse émergeait de son sommeil et sourit en nous voyant entrer.

Pendant que Sylvie s’allongeait à côté d’elle, je me dévêtis en triple vitesse et rejoignis les deux femmes. Dès que je touchais les seins de Thérèse, celle-ci gémissait de plaisir et en pinçant je constatais qu’un liquide perlait de ses tétons.

– Mais Thérèse, tu as déjà du colostrum ! Tu es enceinte depuis combien de mois ?

– Un peu plus de trois mois, pourquoi ce n’est pas normal ?

– Si, c’est normal dis-je, j’ai eu une copine qui était enceinte de quatre mois dont les seins perlaient quand on les pressait ! Parles-en à ton médecin mais ma copine à l’époque avait reçu l’information de son médecin.

– On va juste éviter de te sucer, faudrait pas que tu aies une montée de lait maintenant, même si ça me fait fantasmer.

– Mais caressez-moi, j’ai quand même besoin de caresses sur mes seins !

– Viens dans nos bras, on va te chouchouter ajouta Sylvie.

Sylvie colla son torse contre celui de Thérèse, les tétons des deux femmes se touchaient et Sylvie fit un mouvement de va-et-vient de telle sorte que les aréoles étaient caressées de bas en haut et de haut en bas par les tétons de Sylvie.

Pendant ce temps, je glissais ma tête entre leurs jambes pour atteindre avec ma langue alternativement le clitoris de Sylvie et celui de Thérèse. Je ne devais pas y mettre de ma salive car la cyprine coulait des deux orifices. Chaque toucher de ma langue faisait gémir la femme dont je titillais l’intimité. Pour les faire jouir, j’avais trois vibros à portée de main. Je souriais intérieurement pour savoir à qui j’allais en mettre un et qui recevrait les deux autres !

Finalement j’en mis un dans le vagin de Thérèse et pour Sylvie dont je savais qu’elle aimait le contact anal, j’en mis un dans son vagin et je crachais sur sa rosette pour introduire très lentement le troisième vibro dans son con.

Thérèse réagissait très rapidement aux vibrations dans son intimité. Sylvie fut moins rapide pour sentir les vibrations dans son vagin mais hurla sa jouissance lorsque j’activais le troisième vibro. Ses seins ne pouvaient plus continuer le massage sur le torse de Thérèse et je pris le relais avec mes mains pour exciter les seins de Sylvie et Thérèse en les massant à tour de rôle.

Le hurlement de Sylvie se termina dans des sanglots tellement son orgasme éclatait en force. Elle eut encore la force de stopper les deux engins et de les retirer de ses orifices. Son corps vibrait comme pris de convulsions et s’écartait de Thérèse. Je fus surprise de sentir soudain mon vagin envahi par un engin et le second fut présenté devant mon cul. Ce dernier glissa sans trop de problèmes à l’intérieur à ma grande surprise, je ne savais pas par quoi il était lubrifié ! Les vibrations eurent bien vite raison de ma résistance et je perdis toute notion durant mon orgasme sauf que je sentais le corps de Thérèse secoué par sa jouissance.

Je ne savais plus bouger, ma tête reposait sur un sein de Thérèse où je sentis son cœur qui battait à un rythme incroyable. Je refis surface en voyant Sylvie qui serrait ses seins pour récupérer.

– C’est trop fort dit elle,

– Pour moi aussi dis-je

– Pareil dit Thérèse, je demande une pose ajouta-t-elle.

Je ne sais pas combien de temps passait, mais on s’est endormies dans les bras l’un de l’autre…

On fut réveillées par la sonnerie d’un portable, après quelques recherches on découvrit que c’était celui de Thérèse : il affichait un appel manqué de Rita.

### Thérèse ###

Je fus réveillée par la sonnerie de mon GSM, mais pas moyen de mettre la main dessus. Finalement, je le retrouvais sous le lit et je vis un appel manqué de ma sœur Rita.

Je montrais l’écran à Carmen et Sylvie qui suggéraient toutes deux de rappeler ma sœur. Ce que je fis :

– C’est moi, bonjour Rita !

– Bonjour sœurette, je te téléphone pour te dire que j’ai viré ce matin Marc avec armes et bagages ; je n’ai pas du tout apprécié son attitude envers toi et moi ! Et je voudrais qu’on fasse la paix…

– Je suis vraiment contente que tu me dises cela ! On s’est toujours bien entendu avant l’arrivée de Marc dans notre vie. Et Sylvie et Carmen qui nous écoutent pensent également qu’on devrait se réconcilier. Je suis chez Sylvie pour le moment, si tu veux viens nous rejoindre !

– Donne-moi l’adresse et je pourrai me libérer dans une heure, le temps de jeter les affaires que Marc n’a pas emporté !

– D’accord, c’est juste au-dessus du bar où on s’est rencontré hier !

– Ok à toute !

### Carmen ###

Comme prévu Rita s’annonça un peu plus d’une heure plus tard, elle avait mis une blouse assez sexy, qui montrait le haut de ses seins et je notais immédiatement qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Mon penchant lesbien refaisait surface à une vitesse supersonique !

Les deux sœurs s’embrassèrent longuement avec quelques larmes de part et d’autre, puis Rita embrassait Sylvie et lorsque ce fut mon tour, elle me regardait droit dans les yeux et m’embrassait sur mes lèvres fermées. Ce baiser fit vibrer mon bas-ventre et j’étais certaine que le prochain baiser serait en profondeur dans ma bouche ! Tout portait à croire que le message d’hier était bien passé et que mon désir était partagé…

On s’installa dans le salon et je me retrouvais à côté de Rita dans le divan ! (je ne pouvais pas croire au hasard !) Et je pris donc la parole :

– Puisque Rita a rejoint notre camp, on peut donc parler librement ! Rita raconte nous ce qui s’est passé entre vous depuis la fin de notre entrevue !

– Ce n’est pas compliqué, durant l’entrevue, j’avais trouvé l’attitude de Marc dégoûtante. Bon, j’étais la première consciente que Marc était un mari volage et infidèle et même si au début je trouvais que notre relation avait du piment à cause de la relation cachée par rapport à Sylvie, sa réaction de refus par rapport à ma sœur était inacceptable ! Il traitait Thérèse de salope (je me sentais classée dans la même catégorie) et une attitude pareille vis-à-vis d’une relation passée, m’ouvrit les yeux en pensant que je serais rapidement traitée du même qualificatif ! Je lui signifiais que le lendemain (donc aujourd’hui) il devrait dégager. Et en fait, je fus surprise, il fit sa valise sur-le-champ et une heure plus tard il claquait la porte sans un mot !

– Ça, c’est du Marc tout craché ! dit Sylvie, quand il n’a pas ce qu’il veut, il râle tout de suite !

– Et ce matin, j’ai jeté tout ce qu’il n’a pas emporté !

– A-t-il dit où il comptait se rendre ? demandais-je

– Non, il ne m’a plus adressé la parole après que je lui ai signifié son congé ! Je suppose qu’il s’est cherché un hôtel, à moins qu’il ait encore une autre relation féminine !

– Bon, donc il n’a plus d’adresse légale, notre avocat va donc le contacter par téléphone pour lui communiquer les actions en cours et lui demander son nouveau domicile ou l’adresse où il peut être contacté. S’il prend un avocat, il pourra élire domicile chez son avocat.

– Et au cas où il refuse la transaction ? demanda Thérèse

– On lui a dit que sans réaction de sa part on le poursuivra au pénal pour viol et violence conjugale.

Je voulais passer à autre chose, le dossier juridique était lancé mais je voulais arriver à mon objectif : Rita ! Cette femme hantait mes fantasmes et je voulais la baiser ! Autant faire connaissance d’abord.

– Rita, je voudrais avoir quelques détails sur la relation que tu as eue avec Marc. Peut-être y a-t-il des informations qui pourraient nous aider dans la complétion du dossier de divorce de Sylvie ou pour la pension pour l’enfant de ta sœur.

– Oui, dit Sylvie, en fait on a découvert ta relation avec Marc par hasard en regardant sa messagerie dans son ordinateur qu’il n’avait pas verrouillé en partant à son « séminaire ». Puis en remontant dans son historique on a déduit qu’il te connaissait déjà depuis environ deux ans.

– Sylvie, je suis désolé mais au départ quand j’ai rencontré Marc je ne savais pas du tout qu’il était marié !

– Ah bon ? Comment ça ?

– Ben oui, je travaille dans un cabinet de consultants qui a la firme de Marc et Thérèse comme cliente et lors d’une réception où j’étais allée avec ma sœur, j’ai rencontré Marc. Il était charmant, étant célibataire on a flirté un peu et s’est promis de se revoir ! Lors des rencontres suivantes on a bu quelques verres, puis il m’a invité à manger. Enfin j’ai fait la connerie de l’inviter chez moi, ce que je regrette aujourd’hui car il m’a baisé dans le divan.

– Comment était-il ? demanda Sylvie

– Ce premier rapport n’était pas extraordinaire, je n’avais plus eu de relation avec un homme depuis plusieurs mois et il a eu son orgasme en quelques minutes après que je lui avais enfilé une capote. J’ai mis cela sur le compte d’une longue abstinence. Il est parti aussitôt après.

– Il t’a dit quelque chose ? demanda Sylvie.

– Non, je n’ai rien demandé non plus. Comme je viens de dire, je n’avais plus eu de relation avec un homme, ma relation précédente était avec une copine dont je me suis séparée après presque deux ans.

(Voilà une bonne nouvelle me disais-je, elle est bisexuelle. Je vais avoir ma chance !)

– Et ensuite ? demanda Sylvie

– Il m’a recontacté plusieurs fois, mais je ne voulais pas donner suite à cette relation, jusqu’au jour où il m’invita dans un hôtel de standing. J’ai su par la suite qu’il payait avec une note de frais, soi-disant « visite de client ».

– Ah c’est comme ça, qu’il n’a pas dépensé sur la cagnotte du ménage ! s’exclama Sylvie.

– En tout cas, il jouait le grand jeu, après un repas succulent et bien arrosé, il me déshabillait aussitôt dans la chambre, il mit un préservatif et direct il enfonçait sa bite dans mon vagin sans préambule. Et comme la fois précédente il éjaculait au bout de quelques mouvements !

– Décidément, il avait une éjaculation précoce avec tout le monde dit Sylvie.

– Non seulement mais quand je lui signalais que je n’avais rien senti, il ne réagissait pas mais recommençait à me pilonner car il n’avait pas débandé. En finale j’eus un léger orgasme mais lui ne parvenait pas à jouir. Sa verge me paraissait énorme en largeur et longueur et je le masturbais énergiquement sans obtenir de résultat. Je commençais à avoir des crampes au poignet et puis il me retourna et me prit en levrette. Il était très brutal, heureusement ma mouille lubrifiait mon vagin et sa brutalité ne me blessait pas. Enfin il eut une éjaculation bestiale, en criant de toutes ses forces.

– Il était pareil avec moi disait Thérèse, c’était une brute, sauf qu’il avait en plus oublié son préservatif ! Est-ce pour cela qu’il a pu jouir si facilement dans mon corps ?

– C’est possible ajoutai-je en mettant ma main sur la cuisse de Rita.

Celle-ci tourna sa tête vers moi avec un sourire timide tout en continuant son récit :

– J’étais loin d’être satisfaite et j’allais dans la salle de bains pour me masturber, pendant qu’il s’endormait repu. Après cette nuit-là on se voyait de temps à autre avec toujours le même scénario. Il me prenait en levrette et moi je me masturbais dans la salle de bains.

– Tu n’as pas pensé à aller voir ailleurs ? demandais-je en rapprochant ma main de son intimité.

– Non, répondit Rita en frissonnant sous ma manœuvre d’approche. Jusqu’au jour où il ouvrit la porte de la salle de bains pendant que je masturbais et qu’il exigea par la suite que je me masturbe en sa présence. Et chaque fois je voyais sa bite qui gonflait pour devenir très impressionnante. Au début, cette séance de voyeurisme lui donnait satisfaction, mais avec le temps il n’eut pas assez de stimuli et me baisait dans la bouche.

– Et pendant tout ce temps tu ignorais qu’il était marié ? demanda Sylvie qui voyait avec intérêt ma manœuvre d’approche.

J’avais glissé ma main sous ses fesses que Rita soulevait légèrement pour me permettre de glisser un doigt dans sa fente. Elle était mouillée ! c’est son propre récit qui la faisait mouiller ? Pourtant quand j’écoute le récit qu’elle fait de Marc, pour rien au monde je ne voudrais de cet homme.

– Oui c’est tout à fait par hasard, un soir il reçut un appel qu’il refusa mais j’eus le temps de voir le nom de l’appelant : « Sylvie », mais il ne disait rien. Quelques minutes plus tard il reçut un nouvel appel et il sortit de la pièce pour répondre. Malgré ses cachotteries, je l’entendis dire « oui, j’arrive bientôt ». J’étais abasourdie, il connaissait une autre femme ! Je lui demandais et il m’a dit tout de go que c’était sa femme !

– Tu as dû être choquée dit Sylvie, je lui téléphonais très peu, d’autant plus que je pensais qu’il était encore au bureau.

– Pardon Sylvie, je ne savais pas et cet appel m’a fait réfléchir à la nature de notre relation. Mais même s’il était bizarre, j’avais besoin de sexe et j’espérais que nos rapports se normaliseraient. Mais là je me suis trompée ! surtout quand j’ai appris qu’il baisait Thérèse au bureau.

Je sentais le vagin de Rita se crisper sur mon doigt, Sylvie me regardait et voyait mon manège et me fit un sourire malicieux.

Puis soudain Rita cria avec une voix rogue :

– Oh Carmen, continue ! fait moi jouir !

C’est à ce moment que Thérèse réalisa que sa sœur se masturbait sur mon doigt ! Elle vint s’asseoir de l’autre côté, l’embrassa sur la bouche en serrant un sein avec passion. Sylvie et moi on se regardait étonnées et je compris immédiatement que les sœurs avaient eu une relation lesbienne !

Ce fut le signal !

NDA : et comme dans les feuilletons à suspense, c’est l’heure de la réclame ! Ahaha, on n’est jamais si bien servi que par soi-même ! Certains · es savent déjà que je mène plusieurs récits de front. Je vous présente ici « Nuits africaines » C’est un cadre européen en mission au Congo qui fait des rencontres très érotiques

Voici un petit extrait du chapitre 3 : « Pierre se pencha sur moi embrassant mes épaules et goulûment sa bouche descendait sur mes seins, je sentais mon corps vibrer sous ses caresses sensuelles. Sa bouche descendait sur mon ventre en le parcourant de baisers et plongea dans mon intimité avec sa langue. » Pour lire le récit allez sur mon profil vous trouverez le récit.

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