Chapitre 12  Passades lesbiennes (4) – Marc (2)

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NDA : Vu le succès de l’épisode précédent je continue sur la même histoire d’un Marc qui se reprend et qui est « maîtrisé » par une mystérieuse Sarah !

Carmen par contre presque divorcée de Jean, lui propose un nouveau jeu !!

### Marc ###

Ma journée au bureau fut chaotique ! Je ne cessais de penser à Sarah et la merveilleuse soirée. Aucune de mes collaboratrices ne trouvait grâce à mes yeux, alors que d’habitude je flirtais assez ouvertement et qu’elles me trouvaient parfois un peu lourd !

J’appris que Thérèse était en congé maladie depuis notre entrevue, ce qui m’arrangeait bien car je ne voyais pas comment l’affronter !

Je ne fis pas une seconde de plus après l’heure officielle de fin de journée, pour me rendre au domicile de Sarah.

Je fus accueilli froidement, à mon étonnement, sans explication elle m’ordonna :

– Bonjour, enlève tes vêtements, garde ton boxer !

Je m’exécutais sans retard et restais debout dans son salon en attendant ses ordres. Elle s’approchait vêtue d’une nuisette transparente qui ne cachait rien ! Elle fit même le geste de se caresser les seins et de passer un doigt dans son intimité, doigt qu’elle présentait à ma bouche.

– Suce mon doigt !

J’obtempérais à son ordre et profitai pour sucer son doigt longuement ! Elle était chaude de m’attendre, mais ne montra aucun sourire. La succion de son doigt, lui fit juste émettre un gémissement très discret ! Je me demandais quels seraient ses ordres aujourd’hui.

Ma bitte tressautait déjà dans mon boxer et elle passa une main très légère sur ma bosse. Je restais immobile sans rien dire…

Je la regardais avec envie, hier je l’avais fait jouir en la caressant, quel serait le programme aujourd’hui ?

Je n’eus pas long à attendre, elle alluma la TV et inséra un DVD dans le lecteur. C’était un film porno où deux femmes prenaient leur plaisir ensemble !

– Regarde bien me dit-elle, regarde bien les caresses qu’elles se donnent car après tu devras me les faire comme elles avec tes mains et ta bouche ! Tu as compris ?

– Oui Sarah !

– Et ne t’avise pas à te masturber en regardant !

– Je ne me masturberai pas, comme tu le demandes, Sarah.

Elle se coucha dans le divan, j’avais donc vue sur la TV et Sarah couchée, elle se masturbait doucement en regardant l’écran, tout en jetant de temps à autre un regard sur moi pour me surveiller. De sa main libre elle malaxait ses seins puis passant avec ses ongles sur ses aréoles et titillait ses tétons. Ma pine ne faisait que gonfler et suscita un petit sourire ironique dans son visage. Je ne sais ce qui m’excitait le plus, le film porno ou la vue de Sarah, la bouche ouverte, respirant fortement sous ses caresses et la vision de l’écran.

Quelle épreuve pour moi qui avait l’habitude de prendre mon pied en vitesse en plongeant mon bâton dans leur corps pour jouir sans me préoccuper de ma partenaire !

Maintenant je ne pouvais pas rompre la vision qui passait sur l’écran et Sarah qui maintenant se caressait de la main qui n’était pas plongée dans son vagin. Le corps de Sarah bougeait sous les secousses de sa masturbation. Je voyais le sein libre vibrer de désir et de plaisir combinés.

J’étais certain que ma verge laissait perler quelques gouttes, car mon short avait une tache à l’endroit où mon bâton pointait.

Enfin au moment où les actrices hurlaient leur jouissance, Sarah coupa le film et m’ordonna :

– Marc, vient me lécher et me caresser !

Et elle écartait ses jambes à la limite du physique pour que ma tête puisse atteindre son intimité.

En même temps elle prit son téléphone et j’entendis distinctement le bruit de déclencheur ! Se faisait-elle un selfie ou filmait-elle la scène ?

– Plus fort, Marc enfonce ta langue, pince mes seins !

En me couchant entre ses jambes, ma verge en érection coincée contre l’accoudoir du divan devenait vraiment douloureuse, ce qui m’évita d’éjaculer dans mon boxer. La vue sur son entrée du vagin m’hypnotisait et j’introduisis ma langue avec délectation dans cet antre dégoulinant de cyprine !

La veille je n’avais pas fait tellement attention à sa production de son jus car j’étais stressé par « mon examen d’admission », je n’avais aucun point de comparaison avec les femmes que j’avais baisé par le passé. Sa lubrification abondante, diminuait l’effet abrasif de ma langue sur son clitoris et m’obligeait à prester mes caresses avec plus d’énergie !

Du coin de l’œil je voyais qu’elle promenait son Smartphone sur divers angles de prise de vue, elle filmait donc nos ébats ! Cela m’excitait mais je comprenais aussi que ce clip de la vue de ma tête entre ses jambes pouvait servir de moyen de chantage si plus tard la relation se périclitait ou comme moyen de pression de sa domination sur moi !

Dans quel piège étais-je tombé ? Cela me perturba dans ma concentration pour lui pratiquer efficacement mes caresses. À aucun moment elle ne posa ses mains sur ma tête pour donner un signe qu’elle avait une jouissance ou pour m’inciter à persévérer.

Au bout d’un long moment ma langue commençait à fatiguer, lorsqu’enfin elle atteignit son orgasme en criant, non c’était un hurlement ! Son corps vibrait intensément et après quelques minutes où elle avait fermé les yeux, elle reprit connaissance et ferma son Smartphone :

– Marc, c’était bien, rhabille-toi et rentre chez toi ! À demain même heure. disait-elle d’une voix sèche sans aucune émotion…

– Oui Sarah ! (j’étais près d’exploser, mais j’obéis, je ne voulais pas la perdre, ce n’est pas possible qu’elle me congédiait sans me donner la moindre caresse ! sans me faire jouir !)

– Si cette nuit, j’ai envie de toi, je pourrai rejouer la vidéo et revoir les photos de ton pic dans sa tente !

Je partis comme demandé, ma verge hypertendue… je ne pourrai pas rentrer ainsi à l’hôtel ! Je mis une main sur ma bosse espérant me calmer, rien n’y fit et j’avais même l’impression que mes pas transmettaient une vibration insoutenable à ma verge. Mais arrivé à un coin sombre de la rue, je n’en pouvais plus ! Je sortis mon engin et en quelques mouvements j’éjaculais ! Mon sperme giclait contre le mur avec une puissance insoupçonnée ! J’étais délivré de ma tension mais mentalement je n’avais pas joui, je m’étais juste vidé les couilles…

Quelle soirée, je n’en revenais pas, c’était la deuxième fois que je jouissais sans problème mais cette fois sans être satisfait ! Elle me dominait et j’étais subjugué par ses ordres, me disant que cela finirait par une apothéose de sexe !

Demain, je demanderai à Sarah de revoir notre accord, que je puisse avoir une récompense après lui avoir donné son plaisir. Car je désirais la posséder au-delà du supportable !

Il faudra que je lui demande de ne plus me filmer ! Cette pensée m’inquiétait de savoir que je m’exposais à un éventuel porn-revenge !

**

### Carmen ###

Ce matin je pris contact avec l’avocat qui me confirmait qu’il avait eu une communication avec Marc et lui avait transmis l’assignation par mail. Il ne restait donc qu’à attendre une semaine, pour connaître sa réaction.

Sylvie et Thérèse n’étaient pas très optimistes, pensant que Marc ne baisserait pas aussi vite les bras.

J’étais rentrée chez moi après les joutes avec les rousses et Sylvie. J’avais encore envie de Rita mais je devais me calmer, je devais retourner reprendre mon travail le lendemain.

Au bureau, en absence de mon patron je vérifiais si Marc avait réagi, mais c’était le silence radio. Par contre Jean avait laissé un message sur mon téléphone ! Je supposais qu’il voulait me baiser car il n’avait sans doute personne à mettre dans son lit !

Je laissais mariner un peu mon bel Apollon, ce n’est que dans l’après-midi que j’eus soudain une idée jouissive !

Je contactais Rita, pour lui demander si elle était partante pour une partie ensemble en trio avec mon ex-mari !

Je parvins à convaincre Rita que cela valait la peine d’essayer de coucher avec un homme un vrai et pas un désaxé !

Il fut convenu que Rita me rejoigne le soir. En sortant du bureau, je fis quelques achats car mon plan était d’avoir une dînette à trois, puis de passer aux choses sérieuses en faisant la partie à trois de plaisir !

Rita fut la première à arriver au rendez-vous. Après des embrassades sensuelles, je profitais de notre intimité pour la chauffer un peu, pour qu’elle puisse profiter de nos rapports avec Jean ! J’aurais aimé continuer, mais Jean arrivait et donc je fis les présentations ! Jean ne s’attendait pas à trouver une deuxième femme dans mon appartement mais comprit très vite en voyant ma partenaire quel serait le but de la réunion.

Après les apéritifs, pendant lesquels Jean ne cessait de reluquer vers Rita et surtout ses seins. Ah oui j’oubliais de vous dire que j’avais suggéré à Rita de ne pas porter de soutif et de mettre une blouse qui permettait de deviner ses seins merveilleux ! Jean tombait dans le piège ainsi préparé… Je les plaçais à table d’un côté pendant que je pris place en face d’eux !

Sous la table je ne devais faire aucun effort pour mettre mon pied gauche sur la bosse de Jean et mon pied droit entre les jambes de Rita. Je vis une crispation dans le visage de Jean et un sourire discret chez Rita. Il fallait bien que je les chauffe tous les deux !

Je ne sais pas si mes convives appréciaient la nourriture ou les caresses de mes pieds. Rita percevait mes orteils sur son clito et avait du mal à mastiquer et avaler la nourriture ! Jean par contre avait le masque imperturbable d’un joueur de poker !

Après le repas nous débarrassions tous la table, je notais des frôlements de Jean à mon égard mais aussi vis-à-vis de Rita, qu’il parvint à coincer contre le mobilier de la cuisine croyant que je ne les voyais pas. Son pantalon était gonflé anormalement et il parvint durant un bref instant à pousser son bas-ventre contre celui de Rita. Celle-ci fit la vierge effarouchée en disant « Jean, Carmen peut nous voir !».

Je n’entendis pas de réponse puisque je faisais irruption dans la pièce ! Jean s’écartait en rougissant un peu pendant Rita avait les yeux brillants et écarquillés.

Je croyais que le grand jeu pouvait commencer !

Je pris Rita pour lui faire un roulage de pelle sensuel en déboutonnant quelque peu sa blouse, ce qui permettait à Jean de découvrir un peu plus les appâts de Rita.

Je pris ensuite la bouche de Jean tout en mettant sa main dans ma blouse pour l’inviter à toucher mes seins. Pendant cette manœuvre je sentis ma jupe se soulever derrière ! c’était Rita qui cherchait à glisser sa main dans ma raie !

En réaction mon ventre pressait contre la verge de Jean qui soupirait faiblement de plaisir !

Je proposais donc qu’on passe au salon où un large canapé pouvait nous accueillir tous les trois. Très naturellement Jean fut placé au milieu, Le bouton et la tirette de son pantalon furent écartés par des mains féminines des deux côtés.

Sa belle verge fut dénudée prestement et Jean sentit un jeu de quatre mains autour de son bâton. Moi je le connaissais par cœur donc je laissais Rita découvrir cette huitième merveille du monde ! Pendant que je caressais ses bourses, Rita tenta une approche plus directe avec sa bouche ! Elle était bien une bisexuelle, sa langue caressait lentement son pic en contournant le gland et insistant sur le frein ! Elle s’y connaissait pour amener un homme au climax sans se fatiguer avec des gorges profondes ! Puis elle prit le gland entre ses lèvres pour juste imiter une lente pénétration tout en se limitant au gland qui prit rapidement une couleur très foncée.

Jean était surpris, il me regardait sans parler mais à ses yeux écarquillés je voyais qu’il appréciait la caresse buccale !

Pendant ce temps j’avais ouvert ma blouse et comme je ne portais rien en dessous, je pris la tête de Jean pour la plaquer sur mes seins. Il ne demandait pas mieux, et profitait pleinement pour m’exciter avec sa bouche faisant durcir mes seins et ce pendant que Rita profitait de son épée dans sa bouche toujours sans forcer de pénétration profonde !

Je sentais que Jean n’allait plus tenir longtemps et je proposais à Rita de modérer ses caresses excitantes, car la soirée ne faisait que commencer.

Je pris la cravate de Jean pour lier ses mains ensemble de telle sorte qu’il ne pouvait plus les employer pour nous toucher. Je le couchais sur le tapis et pris l’initiative de chevaucher sa bouche, les quelques années de joutes sexuelles portaient leurs fruits dans notre entente et Jean connaissait la suite du rituel !

Rita ne restait pas seulement comme spectatrice et reprit une lente fellation pour profiter sans le faire jouir. Je faisais face à Rita et donc je pouvais profiter du spectacle pendant que Jean fouillait mon vagin et excitait mon clitoris, mais je voulais faire durer le plaisir. Je pris un préservatif et le déroulai sur la verge de Jean bien dressé par les bons soins de Rita.

Elle grimpa à califourchon sur son épée et s’empala sur son engin tout en me faisant face. Je pouvais donc toucher son corps : sa bouche où j’introduisis quelques doigts pour les mouiller avant de toucher son clitoris, avec l’autre main je caressais ses seins. Je les malaxais mais je ne pus finir ce que j’avais envie de faire car Jean en maître « es-langue dans mon vagin » me terrassait avec un orgasme que je ne pouvais maîtriser. Je restais sur sa bouche mais je dus prendre appui sur son torse pour laisser passer les vibrations qui secouaient mon corps entier.

Rita pendant ce temps continuait en ahanant à secouer la verge de Jean entre ses cuisses, puis elle explosa et je dus saisir ses bras pour éviter qu’elle ne tombe. Comme je le prévoyais Jean n’avait toujours pas joui et son pic était toujours fièrement dressé ! Je défis le préservatif car ni Rita, ni moi nous n’étions plus à même de subir les assauts de Jean dans notre vagin, tellement que notre orgasme nous avait mis KO !

Nous reprîmes notre jeu à quatre mains et deux bouches jusqu’au moment où le sperme jaillissait comme un geyser ! Ce fut une bataille de langues entre Rita et moi, pour récolter avec nos langues le maximum de cette éjection ! Après de nombreuses minutes, je suggérais de rejoindre ma chambre pour s’écrouler sur le grand lit avec Jean au centre. Nos corps étaient comblés et nous nous endormîmes apaisés !

Quelque temps après nous émergeâmes de notre sommeil et Rita voulait remettre le couvert, car elle convenait que Jean était un merveilleux baiseur.

– Tu vois Rita, dis-je que je ne t’ai pas menti pour te convaincre à cette partie de baise !

– Non mais je n’ai pas l’intention de le laisser s’échapper !

Elle reprit la cravate et je lui donnais des menottes qui traînaient dans ma table de nuit et de concert nous décidions de l’attacher aux montants du lit et de lui bander les yeux.

On inventait un jeu de devinette « Qui c’est ? » où Jean devait deviner qui le caressait ou lui faisait des douceurs buccales. À ce jeu Jean était perdant pour deviner, mais gagnant en plaisir reçu. Il perçut des succions sur tout le corps ; sur sa bouche, dans son cou, sur ses tétons, sur son ventre, sentit des caresses sur sa verge, ses bourses et ne parvenait pas à deviner qui lui procurait ce plaisir sauf lorsque je l’embrassais sur la bouche. Il devait se souvenir très bien du goût de ma bouche !

Rita et moi nous nous amusions comme des folles et constatâmes au fur et à mesure sa verge qui se levait lentement pour retrouver une forme exploitable.

Une capote fut déroulée sur son engin et à tout de rôle nous nous empalions sur son pic, il fut incapable de deviner qui le baisait ! Rita eut le dernier mot en le faisant jouir dans un râle de plaisir !

Je libérais notre victime et le caressais tendrement : Pourquoi fallait-il se séparer ? son infidélité me chagrinait, mais comme amant, il était irremplaçable !

Rita ne voulait pas le laisser partir et donc Jean restait dans mon lit entouré de deux femmes comblées mais pas apaisées !

Quelques heures plus tard, Jean se réveilla et laissa les deux femmes endormies et il quitta discrètement l’appartement, se promettant de revenir bientôt !

NDA : Chères lectrices, chers lecteurs sortez vos mains de vos culottes ! Pour ce soir, c’est fini !

Celles et ceux qui en veulent encore peuvent reprendre la lecture de « Nuits africaines » !

À bientôt !

Si ce chapitre vous a plu n’oubliez pas de voter, c’est toujours stimulant ! Merci !

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