Chapitre 13 Passades lesbiennes (5)  Carmen – Marc (3)

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### Carmen ###

Le matin fut pénible ! Je n’avais pourtant pas abusé de l’alcool ! Les rapports à l’Andromaque avaient sollicité les muscles de mes jambes ! Pourtant je devais me lever pour aller travailler. Je réveillai Rita qui grogna un peu, mais s’habillait direct sans passer par la case « douche ». Elle me fit un gros bisou et me demanda :

– Quand revient-il pour discuter de ton « divorce »

– Oh, je peux lui demander ses disponibilités. Tu as besoin d’une réplique de ton tremblement de terre ?

– C’est plutôt un tsunami qu’il me faudrait !

– Ok, je t’envoie un texto dès que j’ai des nouvelles !

Je devais voir mon patron ce matin pour faire le point sur les dossiers de divorces que je gérais.

Au bureau, il était plongé dans les dossiers à mon arrivée. Toujours habillé avec classe, je travaillais pour lui depuis de nombreuses années, toujours célibataire. Je ne connaissais rien de sa vie intime. Ce matin, il me parut différent, il ne cessait de loucher sur mon décolleté. Ce n’était pourtant pas la première fois que je mettais cette blouse !

– Bonjour Carmen, on fait le point des dossiers ?

– Oui patron, le nombre total de dossiers a encore augmenté de 5 pour cent malgré tous ceux qui se sont clôturés ce mois !

– Oui, c’est incroyable le nombre de gens qui se marient et changent d’avis à la moindre contrariété ou qui trouvent une femme plus attractive que la leur.

– Oui Maître mais parfois ce sont les femmes qui changent « la donna è mobile » La femme est changeante


Telle une plume au vent,
Elle change de ton - et d'idée.
Toujours un aimable,
Gracieux visage,
En larmes ou en rire, - est mensonger.

– Vous connaissez vos classiques Carmen ! Vous aimez Verdi et l’opéra en général ?

– Oui Maître, mais je n’ai pas eu beaucoup d’occasions d’y aller, mon ex n’aimait pas la musique sauf au lit avec ses multiples maîtresses.

– On joue justement Rigoletto à l’opéra à Paris, m’accompagnerez-vous si je vous invite ?

– Mais Maître, je ne veux pas m’imposer dans vos loisirs !

– Carmen, vous ne vous imposez pas, il y a longtemps que j’ai envie de sortir avec vous ! Et maintenant que vous avez divorcé, je crois que c’est une bonne occasion !

J’étais estomaquée, ce vieux célibataire aurait-il des vues sur moi ?

– D’accord Maître, mais si vous avez envie d’y aller avec quelqu’un d’autre…

– Non Carmen, vous avez d’ailleurs un prénom célèbre ! ajouta-t-il c’est votre compagnie que je désire. Toutes ces années que nous travaillons ensemble, et puis j’en ai marre de vos « Maître » Je m’appelle Benoit comme vous le savez alors appelez moi par mon prénom !

– Oui M… Benoit, je serais heureuse de vous accompagner.

– Bien Carmen, vous réservez deux fauteuils pour une représentation de la semaine prochaine et une table au Café de la Paix en soirée après le spectacle !

– Oui Benoit, je vous confirme cela dès que possible, merci beaucoup !

– Oui Carmen, vous le méritez, en fait nous le méritons tous les deux ! Un moment de détente nous fera du bien. Je vous choisirai la robe que vous porterez !

Tout compte fait, il avait une dizaine d’années de plus que moi, mais il présentait encore très bien. Je savais qu’il avait son club de fitness avec un abonnement hebdomadaire payé sur les frais du cabinet.

Je pourrais toujours tenter une approche plus intime après le restau ! Pour voir s’il baisait aussi bien qu’il plaidait ?

### Rita ###

Quelle nuit ! La promesse de Carmen n’était pas un mirage ! Son ex était une merveille de la nature !

Ce matin Carmen était aussi groggy que moi, elle partait travailler au cabinet juridique, moi j’avais encore le temps. Le magasin de lingerie féminine que je gérais n’ouvrait qu'en milieu de matinée.

Carmen me laissa en disant de tirer simplement la porte derrière moi en partant. Je pris une douche apaisante en insistant avec le jet pulsé sur mes seins et mon entrejambe. Cela me procura des frissons. Son ex était un amant génial, il m’avait ramoné avec enthousiasme et j’avais joui intensément en m’empalant sur lui pendant que Carmen se faisait lécher et m’excitait les seins et mon bijou. Carmen avait promis qu’il reviendra et m’avait donné son numéro de téléphone !

Comme l’épisode avec Marc était définitivement clos j’avais dans l’idée de l’inviter au magasin et de lui montrer les dernières créations de soutiens push-up de strings et de bodies et de porte-jarretelles en lui servant de modèle mannequin !

Si jamais il est excité, je pourrai toujours le calmer sur le lit de l’arrière-boutique ! En jetant un coup d’œil dans le dressing de Carmen, je vis quelques pièces valables, mais Jean pourrait lui acheter quelques pièces pour Carmen pour garder ses bonnes grâces. Je lui ferai volontiers une remise importante sur la lingerie qu’il offrirait à Carmen ou à d’autres de ses amantes. Carmen m’avait prévenue qu’il papillonnait sur beaucoup de jolies femmes !

Si besoin il pouvait venir avec ses copines, la grande chambre de l’arrière-boutique était disponible sur rendez-vous et me permettait non seulement d’arrondir mon chiffre de ventes mais contribuait aussi à réduire le loyer phénoménal de la boutique. Ce n’était pas une chambre de passe mais c’était pareil !

Il ne serait pas le premier à entretenir des copines en leur offrant de la belle lingerie et de visualiser l’attraction sexuelle lorsqu’elles étaient habillées ainsi !

### Marc ###

Ma nuit fut très agitée ! Je repensais à Sarah et son attitude glaciale ! Elle n’avait rien fait pour me calmer ! Ce matin, avant d’aller au boulot j’avais déjà une trique immense mais je ne voulais pas me masturber de peur de ne pas faire face à ses exigences. Ma douche matinale ne servait à rien pour me détendre !

Je dus faire un gros effort au bureau pour me concentrer, je devais absolument améliorer mon chiffre de vente car mes bonis seraient bien utiles pour payer mon divorce et ma paternité ! J’avais la chance que mes ventes montaient en flèche et j’avais encore de belles commandes en perspective.

Donc il s’agissait de m’appliquer !

En arrivant le soir chez Sarah, elle m’attendait dans son salon avec un sourire amical, ce n’était plus l’accueil froid de la veille !

Elle était habillée en tenue de ville classique, rien de bien excitant !

À quel jeu ou torture sexuelle allait-elle me soumettre ?

Je fus rapidement fixé !

– Déshabille-toi mets-toi tout nu !

– Oui Sarah !

– Tu t’es masturbé ce matin ?

– Non Sarah.

– Et hier soir ? ta verge explosait dans ton boxer !

– Oui, je me suis calmé hier soir. (je n’allais pas lui raconter le comment de ma masturbation ! Marc répond à ce qu’elle te demande et pas plus !)

– Et tu as joui ?

– Non pas vraiment !

– Il y avait beaucoup de sperme lorsque tu as éjaculé ?

– Oui !

– Pourquoi ta verge gonfle déjà ?

– Parce que je me revois hier soir !

– Bien, très bien ! Suis-moi dans mon dressing.

Je vis un grand dressing où tout était rangé, soit sur des portemanteaux soit sur des étagères ou encore dans des tiroirs qui montraient leur contenu.

– Tu vas choisir mes habits ! Depuis les sous-vêtements jusqu'à manteau de ville et les chaussures. Le thème : une soirée sexy ! Tout doit être cordonné ! Quand tu auras choisi tu les disposes sur la table de présentation, puis tu me déshabilleras et m’habilleras de ce que tu auras sélectionné ! Compris ?

– Oui Sarah,

– Lorsque tu auras terminé, tu auras ta récompense si c’est réussi !

Je me dirigeais donc vers les tiroirs de sous-vêtements, je fouillais dans les culottes et choisis un string couleur chair ! En le déposant sur la table ma verge avait déjà des pulsations !

Puis je cherchais un soutien, il y en avait de tous les modèles, de toutes les couleurs et la vue de ces accessoires donna un coup de fouet à mon érection.

- Ça t’excite de toucher mes soutiens ?

- Oui Sarah !

Après de longues hésitations je choisis un modèle sans bretelles laissant les épaules nues, de couleur chair mais dont les bonnets étaient à larges mailles qui devraient laisser les mamelons et les tétons apparents !

Je voulais aussi des porte-jarretelles mais ne trouvant pas dans la couleur chair je le choisis en noir, dont le tissu était transparent !

Sarah suivit attentivement mes choix et vit la goutte qui perlait à mon gland qui progressivement sortit de sa cachette ! J’avais peur que bientôt le sperme suive sans que personne n’ait touché à ma verge !

Je choisis aussi des bas noirs sans couture.

Puis je me rendis dans la partie robes, un regard global me montra des robes courtes même ultracourtes et des robes longues. Le thème « une soirée sexy » m’imposait une robe laissant les épaules découvertes puisque j’avais choisi un soutien sans bretelles ! Courte ou longue ? Et de quelle texture et quelle couleur. Sarah avait un grand choix ce qui ne me facilitait pas la tâche. Finalement je choisis une robe longue en soie (?) avec un dos découvert jusqu’aux fesses (genre Mireille Darc dans le grand blond avec une chaussure noire mais avec les épaules découvertes et fermée dans le haut du dos pour tenir la robe sur le corps).

Restait les chaussures et le manteau. Les chaussures : le choix était très simple, elle avait une magnifique paire de Louboutin avec d’immenses talons !

Pour le manteau, après avoir fouillé dans tous les portemanteaux je trouvais un imper totalement transparent qui arrivait mi cuisse. Si mon idée était bonne, on verrait ses épaules et la grande ouverture dans son dos, la robe en dessous dépasserait bien sûr !

J’annonçais à Sarah que mon choix était fait et il me semblait à son regard qu’elle approuvait ma sélection.

– Maintenant déshabille-moi ! dit-elle

J’enlevais ses chaussures, défis sa robe et sa blouse tant qu’elle était debout, et son soutien, je la fis s’asseoir, descendis ses bas nylons en les détachant de son porte-jarretelles quelconque. En soulevant légèrement son corps je descendis le porte-jarretelles et sa culotte blanche sans attrait ! Elle était totalement nue.

Pendant toute cette opération d’effeuillage, elle regardait fixement mon membre qui tressautait à cause de mes mouvements et des pulsations dues à mon excitation. Elle esquissa un geste vers ma verge, mais se ravisa avant de me toucher.

Sarah était belle, sa peau de rousse était d’une blancheur étonnante, parsemée de taches de rousseur. Je l’aurais bien caressée avec mes mains, ma bouche et ma langue. Ma verge dressée touchait la peau de mon ventre plat. L’érection devenait de plus en plus irritante ! Le gland était quasiment en dehors du prépuce ! Mon cerveau était bouillant, des images de copulation défilaient dans mes yeux ! Mais Sarah n’était pas insensible non plus ! Un mince filet de cyprine s’immisçait entre ses lèvres intimes et coulait à l’intérieur de ses cuisses. Ses mains tremblaient, sa bouche entrouverte. Elle me donnait l’impression de s’approcher à grands pas d’un orgasme !

– Maintenant habille-moi,, sans brutalité, mon corps est fragile !

– Oui Sarah, tu as une préférence, d’abord le haut ou le bas ?

– Commence par le bas !

Je lui pris les bras pour qu’elle se mette debout.

Je pris le string, et comme un automate elle souleva un pied puis l’autre pour enjamber le string pour le remonter vers sa fente, le petit triangle fut trempé avant d’être en place. Le fil à l’arrière ne voulait pas glisser entre les galbes de ses fesses de façon naturelle. Je dus écarter légèrement ses fesses pour que le string se glissât en place ! En faisant cette manœuvre mon visage était à hauteur de son intimité et mon nez captait cette odeur plaisante mais puissante de son excitation.

Je ne pus résister à passer légèrement ma langue sur le jus qui coulait sur ses cuisses. Son corps vibrait, je dus la tenir pour qu’elle reste debout !

– Non Marc, me dit-elle d’une petite voix gémissante, pas encore ! Tout à l’heure !

Puis je passais le porte-jarretelles sur ses jambes et la fis s’asseoir. Puis je m’appliquais à lui passer les bas l’un après l’autre. Pour qu'ils se placent bien sur ses jambes, je devais les tirer et les lisser sur ses mollets puis les hauts des cuisses. En arrivant tout en haut, je devais prendre le bord supérieur pour les attacher aux fixations du porte-jarretelles, je vis distinctement son bas-ventre vibrer ! Sarah gémissait de plus en plus fort !

Je lui mis ses chaussures et les attachais à ses chevilles, puis la remis debout ! Oh quelle image érotique de ses jambes fines mais galbées. Les hauts de ses bas devenaient encore plus foncés par la cyprine qui s’imprégnait dans le tissu.

Ses seins tremblaient avec des tétons proéminents de plus d’un centimètre !

J’arrivais d’après moi à une phase délicate ! Lui placer son soutien après l’avoir attaché dans le haut du dos, je devais prendre chacun individuellement en main pour que les mamelons se placent correctement dans les bonnets et que les tétons passent par l’ouverture prévue. Inévitablement mes doigts touchaient la peau de ses seins. Sarah était presque en transe et ma verge au comble de l’excitation laissait passer une toute petite quantité de sperme, Sarah qui avait toujours ses yeux rives sur mon bâton, vit la fuite et prélevât le liquide sur ses doigts pour le mettre dans sa bouche avec un soupir de satisfaction.

Je pris enfin la robe pour la passer sur son corps je devais prendre délicatement ses bras pour les lever et passer la robe sur son corps. L’attache dans le haut du dos se fixa exactement au-dessus de la ceinture dorsale de son soutien et toute sa colonne vertébrale fut visible dans l’échancrure de son dos. L’effet recherché était atteint !

Il ne restait plus qu’à passer le manteau transparent qui ressemblait à un imper plastifié mais qui était d’une grande maison de couture !

Je l’amenais devant le miroir psyché qui trônait dans le dressing et vit un large sourire sur ses lèvres.

Elle prit ma verge des deux mains et me masturbait d’abord en douceur, puis comme son excitation montait aussi, ses caresses se firent de plus en plus violentes. Je dus me tenir à ses épaules lorsqu’en finale j’éjaculais sur son manteau en jets puissants, je ne pus retenir un râle.

Mais étonnamment les yeux de Sarah se révulsaient car elle gémissait sous son orgasme alors que je ne l’avais pas touchée !

– Merci Marc ! C’était merveilleux au-delà de mes espérances. Rhabille-toi, au moins ce soir tu ne devras pas te masturber en mon absence ! Les cameras du dressing ont certainement tout enregistré. Je te montrerai demain le film !

– Merci Sarah !

– Oui Marc, demain on jouera un autre jeu !

NDA : Ouf, j’ai eu beaucoup de mal à maîtriser mon imagination et mon corps !

J’espère que vous aussi vous avez profité à la lecture de cet épisode !

Si cela vous a détendu, n’oubliez pas de voter sur le petit cœur ! Dites-moi si l’objectif est atteint !

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