Chapitre 16  Sarah – Rita    (nouveaux horizons. 3)

8 minutes de lecture

### Sarah ###

J’ai eu tort de donner « congé » à Marc, en repassant les films de nos séances je sentais le désir monter, je me caressais mais rien ne fonctionnait comme je voulais. Je ne parvenais pas à atteindre un orgasme convenable. J’étais étendue dans mon canapé avec une main sur mon sein et l’autre dans mon vagin. La vue de Marc nu, sélectionnant les vêtements pour m’habiller excitait mon mental mais rien de plus. La vue de mon corps et de la cyprine qui coulait sur mes cuisses ne me fit quasi aucun effet !

De temps à autre je vibrais légèrement mais c’était sans espoir, j’éteignis les écrans. Comme le lendemain était un samedi, j’envoyais un texto à Marc en lui demandant de venir le plus vite possible demain matin.

**

Je me réveillais en entendant la sonnette de la porte d’entrée, c’était Marc ! Je descendis sans hésiter pour lui ouvrir dans la tenue que j’avais gardée toute la nuit : Une nuisette transparente sans culotte ni string. Je le fis entrer.

– Bonjour Sarah, tu m’as demandé de passer ce matin, je suis désolé mais je n’ai pas pu me libérer plus tôt ! me dit-il.

– Ce n’est pas grave !

Il me regardait avec envie et sa présence seule me donnait raison de l’avoir fait venir, mon corps reprenait vie, je sentais mes seins se dresser et dans mon bas-ventre je sentis mes lèvres intimes se gonfler légèrement et une crampe dans mon vagin.

– Ne te déshabille pas encore, Marc, je suis en manque total et j’ai passé toute la soirée à me masturber et me caresser. Rien ne m’a aidé pour jouir, ni les films de toi, ni mes jouets vibrants. Alors tu vas commencer par me caresser, avec ta bouche et tes mains pour m’apaiser. Pour que mon corps retrouve le calme. Je ne veux pas encore d’orgasme mais des caresses apaisantes et parle-moi !

– Sarah, ça tombe bien car j’avais prévu en arrivant de te remercier ! Ta dominance pour freiner ma sexualité et le désir que j’ai pour toi m’ont permis de trouver une sérénité et un équilibre dans mes rapports avec la femme en général. Je m’explique : avant de te connaître, je ne parvenais pas à avoir des rapports qualifiés de « normaux » avec une femme, que ce soit la mienne, ma maîtresse et la sœur de ma maîtresse. Lorsque j’avais une érection, je me contentais de me vider dans leur corps sans autre forme de procès sans leur donner de la jouissance. Au fur et à mesure que les années passaient j’avais de plus en plus de mal à conclure et je ne parvenais plus à éjaculer normalement durant le rapport ou en me masturbant. Hier soir j’ai revu une amie avec laquelle j’avais eu un rapport non protégé qui l’a mise enceinte, c’était la sœur de ma maîtresse. J’étais en conflit grave avec elle suite à cette grossesse. J’ai réussi à me réconcilier avec elle et nous avons couché ensemble. Nous avons eu un rapport harmonieux durant lequel je l’ai fait jouir et où j’ai eu moi-même une jouissance puissante en éjaculant abondamment. J’étais comme libéré de mon complexe.

– Je te remercie pour cette confession Marc, tes paroles m’apaisent déjà un peu. Raconte-moi un peu plus sur ton amie. Est-elle jolie ? Tu la voyais souvent ?

– Oui elle est jolie, elle est rousse comme toi et comme ma maîtresse. Elle était une collègue au travail et la sœur de ma maîtresse. Celle-ci a rompu lorsqu’elle a appris que j’avais quasi violé sa sœur un soir au bureau. Mais hier, je lui ai demandé pardon et son avocat négocie une indemnité que je vais certainement lui accorder.

– C’est une histoire formidable Marc, Tu as une fixation sur les rousses, mais avant moi tu ne parvenais pas à jouir normalement et après quelques séances tu es redevenu équilibré. Alors on va continuer la « thérapie », caresse-moi ! Tu te déshabilleras lorsque je te le demanderai. Je vois déjà que ta verge est en érection mais je ne te toucherai pas encore et toi non plus, tu ne feras rien pour te soulager ! Caresse-moi avec ta bouche et tes mains !

Il commença à me donner des baisers légers sur mes seins à travers le tissu de ma nuisette pendant que ses mains agrippaient mes mamelons. Puis tout en continuant à semer des baisers sur mon corps il descendait ses mains sur mes cuisses. Je ne pouvais pas me retenir et j’arquais mon corps pour mieux sentir son approche.

Et puis soudain, mon corps se libéra complètement, une vague partant de mes orteils remontait lentement par mes jambes, mon vagin, mon ventre, mes seins, je sentais ma bouche se tordre et je criais ma libération.

Je parvins encore juste à crier à Marc dans un sanglot « à poil ! », message que Marc comprit et tout en continuant à lécher mon clitoris se défit de ses chaussures, de son pantalon, de son boxer et son engin se trouvait à portée de ma bouche !

Sans aucune hésitation je le mis en bouche en faisant attention de ne pas le mordre, car les vibrations de mon corps étaient violentes et interminables et ma bouche se contractait au même rythme que mon vagin. Je le suçais comme si ma vie en dépendait et Marc ne put se retenir plus longtemps.

Je reçus une giclée impressionnante de foutre en bouche que je m’empressais d’avaler pour pouvoir reprendre ma respiration.

Plusieurs minutes plus tard mon corps se détendit et je pus regarder Marc dans les yeux. Je lui fis un grand sourire en disant :

– Marc, quelle libération ! Reste contre moi, ne t’en va pas ! Je te veux encore, dès que tu peux, prends un préservatif dans ma table de nuit, mets-le et défonce-moi sans vergogne comme si j’étais une pute qui offre son corps !

– Sarah, il ne me faudra pas longtemps si tu continues à me parler ainsi ! Je n’ai jamais vu autant de cyprine couler de ton vagin, comme si l’accumulation de toute la nuit s’est libérée d’un seul coup !

– C’est pareil pour ton sperme ! Tu m’as pourtant dit que tu as tiré ton coup hier avec la femme enceinte ! Je ne suis pas jalouse ! mais ne m’abandonne pas ! Tu as pris ton pied hier ? Comment c’est de baiser une femme enceinte ?

– Sarah, c’était libérateur, mais Thérèse n’est qu’à son quatrième mois et donc son ventre n’est pas encore très gros. Ses seins par contre ont grossi et elle m’a demandé de les sucer pour libérer la pression sur ses tétons !

– Je voudrais la rencontrer ! Tu crois qu’elle acceptera ? Je ne lui ferai aucun mal, juste pour la voir et sentir son ventre où grossit ton enfant.

– D’accord je lui demanderai, mais promets-moi de ne pas la blesser ni en paroles ni en geste d’aucune sorte !

– Je te le promets, viens maintenant me défoncer sans te retenir, comme tu faisais avant que je te connaisse, je veux sentir ta violence !

**

### Rita ###

Ce matin à l’ouverture du magasin, il y avait une jeune femme assez bien faite qui patientait pour entrer. Elle était blonde et ne montrait pas de traces supposant que sa couleur ne soit pas naturelle. En entrant elle me demandait d’une voix douce :

– Êtes-vous Rita ?

– Oui.

– Voilà, c’est Jean qui m’a recommandé votre boutique en disant que vous aviez une belle collection de lingerie, que je trouverai certainement des pièces à mon goût et que vous me feriez une remise de cliente VIP !

– Certainement, entrez ! Allons directement dans la pièce d’essayage, nous serons tranquilles et pas dérangées.

– Mettez-vous à l’aise, je prends vos mesures et je vous présenterai des vêtements qui vous iront certainement.

Elle se déshabilla complètement révélant un corps admirable, bien proportionné, sensuel, des seins fermes de taille 85 C à vue d’œil, avec une attache haute. Bref une poitrine de rêve. Elle était totalement épilée et juste un ticket de métro au-dessus de son minou !

Si elle était une relation intime de Jean, il devait certainement l’honorer fréquemment et prendre son pied avec elle !

Je n’eus donc aucun problème pour lui proposer ma gamme de luxe, car les vêtements qu’elle portait en arrivant, étaient de grande marque et donc elle devait pouvoir s’offrir le haut de gamme.

Son corps de rêve me faisait envie et durant les essayages je ne pouvais résister à la toucher aux seins et aux fesses pour voir si cela ne serrait pas trop ou si une taille plus réduite pouvait convenir.

J’adorais la frôler, par pur plaisir et je constatais qu’elle appréciait mon toucher. En essayant des soutiens je n’hésitais pas à prendre ses seins en mains pour les positionner correctement dans les bonnets ce qui déclenchait à mon grand plaisir, l’érection de ses aréoles et de ses tétons. En bonus elle me fit un grand sourire, un petit frisson et un soupir à peine retenu.

Je m’enhardis en lui passant un string, en constatant que ses lèvres intimes s’ouvraient sous la tension du cordon et que le tissu prenait l’humidité de sa fente.

Je la rassurais en disant que les vêtements tachés ne lui seraient pas facturés mais je pris quelques lingettes pour essuyer son intimité. Ce faisant je provoquais un long gémissement de ma cliente :

– Madame vous êtes très tendue ! Voulez-vous que je vous soulage ?

– Co… comment ? dit-elle

– Laissez-vous faire répondis-je et je la couchais sur le lit, écartais ses jambes. Je me couchais en 69 sur elle, de telle sorte que si l’envie lui prenait elle pouvait titiller mon bijou.

J’introduisis ma langue dans son vagin et bus toute la cyprine accumulée derrière ses lèvres intimes. Il ne me fallut pas long temps pour provoquer un tsunami de sexe ! Je devais mettre mes mains sur ses hanches pour éviter qu’elle ne tombe du lit !

Je la laissais revenir de ses émotions en me redressant, mais elle me retint :

– Ne bougez pas, je voudrais voir remercier et vous rendre la pareille !

À ma grande surprise, elle s’avérait une experte ! Elle me broutait comme une déesse, sa langue fouillait mon intimité sans s’arrêter et au bout de quelques minutes de plaisir intense, je fus ravagé par une onde de plaisir rarement éprouvée !

Je parvins à me retourner pour mettre mon visage en face du sien et je l’embrassais profondément comme si ma vie en dépendait. Elle ne restait pas passive non plus en serrant mes seins. Comme je portais un soutien avec l’attache entre les deux seins, je défis l’attache d’un doigt libérant ainsi ma poitrine. Mes seins à peine libérés furent happés par sa bouche ! Mes tétons furent aspirés entre ses lèvres tout en les mordillant légèrement. Cette caresse fit serrer mes jambes car mon vagin tressautait à nouveau !

Nous continuâmes encore à nous caresser pendant quelque temps, puis nous reprîmes nos essayages. La cliente était détendue, elle me donna ses coordonnées pour la fiche cliente ; elle se prénommait Laurette et nous convînmes de se tutoyer.

Elle m’achetait pour un budget appréciable même avec la ristourne « grande cliente » déduite en disant qu’elle reviendrait pour mes collections et aussi pour se détendre !

Ce fut une très bonne journée !!

NDA : Voilà chapitre pas très long, mais assez intense !

À bientôt !

N’oubliez pas d’encourager l’auteur qui essaye de vous divertir en votant ! Merci !

Annotations

Vous aimez lire Solo_x ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0