Chapitre 18.  Sarah – Bernard

10 minutes de lecture

NDA : Eh oui, je ressors un personnage de mes archives ! Bernard que Carmen et Sylvie ont rencontré sur la plage durant leurs vacances lesbiennes (voir chapitre 5).

### Sarah ###

Viens maintenant me défoncer sans te retenir, comme tu faisais avant que je te connaisse, je veux sentir ta violence !

Sur ces paroles Marc prit un blister de préservatif, le déroula sous mes yeux sur son bâton. Il prit mes hanches et me retourna sans ménagement. Il souleva mon ventre, mettant ma tête dans le matelas. Je sentis sa verge me pénétrer sans ménagement et me défoncer.

Sa longue verge érigée au maximum cognait cotre mon utérus, au début cela me faisait mal, mais plus il me défonçait plus je sentais du plaisir dans mon bas-ventre.

Il était violent, comme j’avais demandé, je m’imaginais comment il avait défoncé sa femme, sa maîtresse et la sœur de celle-ci comme un bouc en chaleur ne pensant qu’à sa jouissance.

Mais cette image, m’excitait :

– Continue Marc, plus fort ! Donne-moi toute ta violence comme si tu me voyais pour la première fois.

J’avais à peine fini ma phrase qu’une onde de choc partit de mon vagin vers le haut de mon corps, rejoignait mes seins que Marc pétrissait avec violence, je hurlais ma jouissance pendant que Marc explosait dans mon corps. Le préservatif gonflait sous son éjaculation et me donnait une vibration supplémentaire qui me fit un voile obscur devant les yeux.

– Sarah ! Tu vas bien ? J’entendis cette phrase dans le lointain.

– Ça peut aller Marc, je t’entends. Oh c’était puissant ! Marc, quand tu es violent, c’est vraiment très fort !

– Sarah, ça fait quelques minutes que je t’appelle mais tu ne répondais pas !

– J’ai dû m’évanouir durant mon orgasme ! Cela ne m’est encore jamais arrivé !

– Sarah, je suis désolé mais je ne me reconnaissais plus, j’ai vraiment baisé comme je faisais avant, sans retenue. La seule différence c’est que tu as joui alors que mes partenaires n’ont jamais eu du plaisir lorsque je me défonçais.

– J’ai joui par ta verge mais surtout parce que je t’imaginais pilonnant tes partenaires, c’est cette image qui m’a achevée ! Tout, c’est passé dans ma tête !

– Sarah, je ne veux plus baiser comme cela ! J’ai eu peur pendant ton évanouissement ! Je veux que tu reprennes ta domination sur moi. Je veux guérir…

– D’accord Marc, on se calme ! Viens te coucher à mes côtés, mets le préservatif dans la poubelle et laisse-moi me lover dans tes bras. Marc, tu bandes encore !

– Oui Sarah, j’ai éjaculé mais c’était « mécanique » j’ai senti comme une douleur tellement c’était violent ! Laisse ça va se calmer…

– Marc serre moi dans tes bras, laisse-moi tenir ta verge, je ne ferai rien pour l’exciter, juste pour la sentir si elle se calme !

– Merci Sarah, je te demande pardon !

– Non, Marc, c’est moi la fautive. Je reprends les commandes, plus jamais tu me baiseras ainsi ! (qui sait je lui redemanderai encore de me défoncer, car ça m’a vraiment plu !mais je dois trouver la bonne mesure !)

Je pris doucement sa verge, non pas pour la masturber, mais pour une caresse manuelle, et comme Marc ne débandait toujours pas, je la pris en bouche en salivant très fort pour la garder au chaud !

– Sarah, c’est délicieux ce que tu me fais !

Je continuais à masser doucement son chibre, qui reprit encore un peu plus d’ampleur. Je m’excitais moi-même en lui donnant cette caresse que je savais d’expérience avec mon ex qu’elle procurait une jouissance calme.

Marc au début souriait seulement, mais bientôt il commençait à gémir et à bouger sa verge comme s’il voulait faire l’amour dans ma bouche. Ses mouvements étaient doux sans violence, il ne s’enfonçait pas loin dans ma bouche. Il se retirait puis revenait sans forcer. Je sentis la mouille dans ma chatte et la cyprine qui coulait sur mes cuisses.

Puis soudain je sentis ses abdominaux se raidir et une éjaculation arriver, ma bouche se remplissait dans un cri de satisfaction, la quantité n’était pas importante mais je sentis qu’elle le libérait de son fantasme. Son sperme était délicieux, je le gardais un peu en bouche pendant que je continuais à le masser doucement puis je l’avalais. Je sentis que son bâton débandait enfin ! Marc soupirait d’aise après cette jouissance libératoire et m’embrassait en pleine bouche.

Il devait y avoir encore un peu de sperme dans ma bouche mais cela n’avait pas l’air de le déranger !

– Merci Sarah ! C’était merveilleux, je n’ai jamais senti quelque chose de si apaisant.

***

### Sylvie ###

Depuis quelques jours je ne me sentais pas bien, la nuit je rêvais de sexe avec Carmen ou Thérèse et puis j’eus un flash de mémoire !! Bernard qui nous avait fait jouir Carmen et moi. [voir vacances lesbiennes (2)]

Je fouillais dans mon sac, car j’avais demandé ses coordonnées, mais je n’avais plus fait attention à ce bout de papier ! Au bout de plusieurs minutes de recherche je trouvais ce papier dans une poche latérale du sac que je n’employais jamais !

Je pris donc mon courage à deux mains et l’appelais immédiatement, j’eus de la chance il répondit à la troisième sonnerie !

– Allô, qui m’appelle ?

– Bonjour Bernard, c’est Sylvie on s’est rencontré sur la plage !

– Ah, oui, je n’avais pas enregistré ton numéro !

– Tu vas bien ? Je voudrais te revoir !

– Oui, merci je vais bien. Je me souviens de toi et de ta copine Carmen ! Vous m’avez bien chauffé ! Je suis libre cet après-midi, je pourrais venir te voir si tu me donnes ton adresse, je ne l’ai pas noté à l’époque mais je me souviens que tu n’habitais pas très loin !

Je lui donnais mes coordonnées et il me promit d’être là dans la demi-heure. J’avais juste le temps de prendre une douche et de revêtir quelque chose de sexy ! Je choisis une petite robe d’été avec un décolleté vertigineux surtout quand c’est porté sans soutien. Je mis quand même une petite culotte car je mouillais déjà rien que de penser à sa verge qui m’avait fait saliver sur la plage et à l’hôtel.

Dans la douche, je pris soin de refaire mon ticket de métro qui commençait à devenir un peu broussaille. Je voulais qu’il puisse me lécher le minou sans gène !

J’étais encore en peignoir lorsqu’on sonnait à la porte, il avait fait vite ! Tant pis, il m’avait déjà vu moins vêtue et j’allais lui ouvrir.

Il était encore plus attirant que dans mes souvenirs !

Je lui proposais à boire et il était d’accord de partager un verre de vin rouge avec moi. Nous nous installâmes dans mon canapé.

– Tu te rappelles de Carmen et moi sur la plage ?

– Comme si c’était hier ! Mais je ne croyais pas te revoir après la fin de mes vacances !

– Moi, je vois encore toujours ta verge devant mes yeux, car bien que je fusse mariée à l’époque je n’avais jamais vu une bitte en érection ! Tu es le premier homme qui m’a fait l’amour !

– Comment ?

– Oui à l’époque je ne t’ai pas déballé ma vie, mais mon mari avait un sérieux problème, il ne savait pas faire l’amour. Lorsqu’il avait envie de baiser, il me prenait de force et jouissait sans me donner le moindre plaisir. Plus tard il ne parvenait même plus à éjaculer sans que je me masturbe devant lui.

– Et depuis ?

– Je l’ai chassé lorsque j’ai découvert qu’il avait une maîtresse et qu’en plus il a mis enceinte la sœur de sa maîtresse. Et depuis notre rencontre, je n’ai plus senti une verge dans mon corps ! J’ai eu quelques expériences lesbiennes avec Carmen et la maîtresse de mon ex et même avec la femme enceinte. Et ne tournons pas autour du pot, je fantasme sur toi ! Donne-moi du plaisir !

– Sylvie, je t’avoue pendant quelque temps après notre rencontre j’ai aussi fantasmé sur toi, dans ma solitude je me suis masturbé quelques fois en pensant à toi ! Depuis la fin des vacances, je n’ai plus eu de rapports sexuels car je n’avais pas de partenaires.

– Alors mon appel tombe à pic !

– Oui j’ai pensé aller voir les escort-girls dans les night-clubs, mais j’ai renoncé. Je ne voulais pas m’exposer au chantage, mon métier est déjà soumis à trop de pression. Je suis ingénieur nucléaire, je supervise la construction et l’entretien des centrales nucléaires. Récemment des collègues ont dû se retirer car il subissait du chantage à la divulgation de leurs écarts de conduite sexuelle. C’était tous des hommes mariés, ce que je ne suis plus !

– Tu me racontes ?

– Oui, mais je ne veux pas t’ennuyer avec mon histoire !

– Bernard tu ne m’ennuies pas.

– Bien, je suis divorcé depuis deux ans, ma femme Tania, était mannequin pour une grande maison de couture. Elle était très belle, je l’avais rencontrée lors d’un drink au ministère de l’énergie où elle était venue avec une amie. On a flirté et on s’est échangé nos coordonnées. On s’est revu souvent, elle m’attirait malgré sa taille androgyne, elle faisait partie de ces femmes qui ont à peine des seins et qui sont très maigres ! Elle avait un caractère très enjoué et de fil en aiguille on a fait l’amour. Elle était vierge lors de notre premier rapport et on a baisé avec beaucoup de douceur.

Un peu plus tard on a paxé et nos rapports sont restés sans grande inventivité, je n’avais pas beaucoup d’expérience et elle encore moins.

Nous étions souvent séparés, moi par mes visites aux centrales et elle par ses défilés. Un jour j’étais en déplacement pas loin d’une ville où se tenait un défilé et j’ai voulu lui faire la surprise en la rejoignant !

– Et tu l’as trouvée au lit avec un autre homme ! dis-je

– Non avec une autre femme mannequin ! Je les ai surprises en plein ébat lesbien et elle m’a avoué qu’elle voyait cette amie régulièrement ! Nous nous sommes séparés à l’amiable et nous avons repris nos vies antérieures séparées.

Pendant qu’il racontait je voyais que son pantalon gonflait imperceptiblement et je mis délicatement ma main sur sa bosse, provoquant un léger gémissement de sa part.

– Tu l’aimes encore ?

– Non plus vraiment, mais son corps de femme à peine mature m’excite encore !

– Alors quand tu nous as rencontrées Carmen et moi, cela a dû te changer de croiser des femmes avec des seins développés !

– Oui bien sûr, et votre façon de baiser aussi !

– Tu as aimé cette différence ? tu veux recommencer avec moi ?

– Oui, c’est ce à quoi je pense depuis ton appel !

Je lui fis un long baiser passionné sur la bouche, avec une bataille de langues violente. Pendant ce temps je déboutonnai son pantalon et descendis le zip de sa braguette et insérais ma main pour libérer sa bitte.

Elle était chaude et je sentis les pulsations sous ma main.

– Tu permets que je continue ?

– Oui me répondit-il la voix altérée.

J’ouvris mon peignoir révélant mes seins, provoquant une montée supplémentaire de son érection et je ne résistais plus pour la mettre en bouche !

Sa verge avait bon goût, il avait dû prendre une bonne douche avant de venir ! Il avait dû employer un gel douche à la camomille, cela sentait bon et m’encourageait à le sucer d’avantage ! Je m’éclatais en pensant à Carmen qui m’avait appris comment satisfaire un homme et lui donner envie de baiser.

– Sylvie, c’est bon ! Je veux ton vagin autour de ma verge, ne vas pas trop vite !

– Alors prends une capote sur la table, mets là et viens me chauffer ma chatte !

Il ne mit pas longtemps à enfiler le condom, j’écartais mes jambes au maximum pour qu’il puisse me baiser profondément.

Mon vagin se crispait sous la pression de mes muscles et j’atteignis le nirvana dans un cri de jouissance. Bernard était aussi au maximum et je sentis une éjaculation violente contre mon utérus me donnant encore des spasmes supplémentaires.

– Oh Bernard, c’était bon, reste dormir avec moi ce soir, je voudrais recommencer demain matin si tu veux !

– D’accord Sylvie, je n’ai pas de travail demain c’est le week-end !

Je me réveillais le lendemain matin et constatais avec plaisir que Bernard était toujours à côté de moi dans le lit ! Il dormait encore mais en prodiguant une caresse légère sur sa verge, je vis ses yeux s’ouvrir avec un grand sourire !

– Bonjour Bernard ! Tu as bien dormi ?

– Bonjour Sylvie, j’ai passé une nuit merveilleuse !

– Tu as le temps ce matin ou tu préfères juste un petit-déjeuner avant de rentrer ?

– Je ne suis pas pressé ce matin, si tu veux un deuxième round, je suis ton homme !

– Ah, j’adore cette réponse !

Comme on était nus tous les deux, je me redressais pour lui permettre de sucer mes seins !

### Bernard ###

Quelle surprise l’appel de Sylvie ! Je me souviens encore de notre rencontre pendant les vacances. Rien que d’y penser, ma verge bandait et je me retrouvais un peu inconfortable dans mes habits !

J’avais encore en tête le couple d’amies qui étaient bisexuelles et dont Sylvie était la plus timide.

En arrivant chez Sylvie, elle m’accueillit en peignoir dont les pans entrouverts ne cachaient rien de sa belle poitrine !

Après m’avoir offert à boire elle n’y allait pas par quatre chemins et me demanda de la faire jouir expliquant qu’elle était en manque de sentir une verge dans son vagin ! Comme j’étais également en manque, notre premier rapport fut une explosion de jouissance.

Elle me demanda de rester dormir, ce qui ne me posait aucun problème n’ayant aucune obligation, j’acceptais son invitation.

Je fus réveillé le lendemain par une caresse sensuelle de mon bâton et nous repartîmes dans un deuxième match.

Ses seins présentés devant ma bouche étaient le signal de départ auquel je ne pus résister ! Mon désir fut rapidement satisfait par des caresses qu’elle avait du apprendre de Carmen, car dans mes souvenirs Sylvie avait avoué que les rapports avec son ex-mari s’étaient peu développés.

Sa bouche autour de ma verge était divine, sans effort elle avalait mon gland sans aller trop loin évitant les haut-le-cœur que j’avais toujours trouvés désagréables. J’aimais vraiment ce que Sylvie me procurait et après qu’elle déroula le préservatif ce fut une jouissance calme mais très profonde.

Après avoir pris ensemble le petit-déjeuner nous convînmes de nous revoir bientôt.

NDA : Voilà encore un épisode de Libertinage avec le retour de Bernard !

N’oubliez pas d’encourager l’auteur qui essaye de vous divertir en votant (le petit cœur) et en vous abonnant (suivre l’auteur) à mon profil ! Merci !

À bientôt !

Annotations

Vous aimez lire Solo_x ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0