Chapitre 22 – Rendez-vous en maison close

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NDA : Une remarque, tous mes récits ne tiennent pas compte du confinement, comme pour le sexe, même si dans mes récits certains rapports ne sont pas protégés. Soyez prudents !

### Sylvie ###

Bernard m’avait laissée sur ma faim, depuis ce matin c’était la troisième fois que je mettais ma main dans mon intimité pour me caresser. Heureusement que mon bureau était fermé sans fenêtres sur le couloir. En tant que DRH, j’avais ce privilège. Mon programme d’interview était chargé, je devais recruter une nouvelle secrétaire de direction pour un des directeurs qui avait mauvaise réputation. Aucune femme ne tenait plus de six mois dans la fonction ! Les unes démissionnaient, d’autres étaient virées pour incompatibilité ou négligence professionnelle. Cette rotation était beaucoup trop forte par rapport à la moyenne de la société.

Les entretiens de départ que j’avais mené personnellement n’avaient pas pu déterminer ce qui clochait dans la relation directeur/secrétaire. Je soupçonnais du harassement moral ou pire sexuel, mais rien ne fit surface durant ces entretiens.

Les femmes qui défilaient depuis ce matin avaient toutes un point en commun, elles étaient belles, bien faites et surprises d’être interviewées par une femme !

Celle qui se trouvait devant moi maintenant n’était vraiment pas consciente de sa tenue ! D’accord, la température extérieure était clémente mais de là à se présenter dans un tailleur avec un chemisier transparent et sans soutien-gorge c’était inacceptable. Est-ce qu’elle comptait venir travailler dans cette tenue ? Était-ce de la provocation ? Elle espérait peut-être que l‘interview se ferait avec son directeur ? Sa veste de tailleur couvrait à peine ses seins dont les aréoles foncées me donnaient des envies de la baiser ! Comme on était quand même au bureau je parvins à dominer mes envies lubriques ! Depuis mes relations avec Carmen j’étais beaucoup plus sensible à la beauté des femmes et je sentais que ma culotte se mouillait devait la provocation de celle-ci.

Son CV était un exemple de carrière express, en 3 ans de temps, elle avait eu 5 emplois de secrétaire, et pour chacun, elle avait reçu des lettres de recommandation élogieuses ! Son dernier emploi datait de quinze jours à peine. Qu’est ce qui avait pu provoquer une carrière aussi rapide ? Une promotion canapé qui ne donnait pas les espérances attendues ou un problème relationnel ?

Son état civil mentionnait « célibataire » et je lui demandais si elle avait quelqu’un dans sa vie, compagnon, petit ami et elle me répondit qu’elle n’avait personne : « qu’elle n’avait pas le temps car trop concentrée sur le travail ». Je suspectais qu’elle couchait avec ses patrons et ne voulait pas s’encombrer d’un compagnon.

Je décidais donc de jouer la salope, j’avais dans ma médiathèque de DRH une série de clips concernant la relation patron/secrétaire qui tournait essentiellement autour du harassement et des attitudes déplacées. Ces clips servaient normalement comme support à mes présentations au personnel pour montrer des attitudes et gestes inappropriés dans le cadre du harassement sexuel. Chaque clip était accompagné d’un questionnaire à choix multiples. La candidate avait quelques secondes entre les clips pour cocher les réponses et me remettre le questionnaire.

Les questions étaient simples et demandaient juste de préciser si l’attitude était acceptable ou non.

Le premier clip était l’exemple où on voyait une femme s’asseoir sur les genoux de directeur et elle devait en toute logique cocher « non » ce qu’elle fit.

Il y avait 15 situations et je reçus les 15 réponses. Certaines réponses étaient totalement correctes d’autres m’étonnaient.

Elle trouvait que la femme se penchant en avant montrant son décolleté profond sous les yeux de l’homme comme « correcte ».

L’homme qui touchait les bras et faisait un massage de la nuque « correcte » et d’autres du même acabit. Par contre la secrétaire s’asseyant sur un coin du bureau de son patron et laissait celui-ci glisser sa main entre les jambes était jugée « incorrecte et provocatrice ». Je m’abstins de lui demander qui provoquait l’autre !

Puis je lui présentais sa photo prise durant l’interview grâce à la caméra située derrière moi mais qui masquait sa tête et avec des couleurs modifiées. La modification des couleurs accentuait la vue de ses aréoles. Elle ne se reconnut pas sur la photo et jugeait quand même la tenue inappropriée.

J’étais soulagée, elle n’était pas débile ou naïve ; je lui montrais la même image non modifiée avec sa figure et là elle comprenait que c’était elle ! Elle était choquée et furieuse de se faire piéger de la sorte !

L’entretien était terminé, elle comprit qu’elle ne serait pas sélectionnée. Elle émit encore un commentaire me traitant de « frigide et de mal baisée ». Je lui montrais la porte !

Cet entretien m’avait choqué, était-ce ainsi que les secrétaires jugeaient leur job ?

Mon envie de baiser, c’était encore accrue durant cet entretien et je cherchais à assouvir mon désir.

Je téléphonais donc à Bernard en lui demandant de le voir ce soir, il accepta immédiatement et on fixa un rendez-vous dans un café près de chez moi. J’étais heureuse qu’il puisse se rendre disponible !

Je voulais quelque chose d’excitant et téléphonais à une vieille connaissance de Carmen qui tenait une maison close.

Carmen m’en avait parlé durant nos vacances en précisant que cette institution offrait toutes sortes de services qu’on soit accompagné ou non ! Carmen m’avait avoué que lorsqu’elle était en manque de Jean (son ex-mari volage mais bon baiseur) elle se rendait dans cet établissement pour des massages très érotiques. Il y avait des masseurs des deux sexes et les massages avaient un nombre infini d’options allant jusqu’au coït. J’exposais mon idée à la gérante et elle accepta un rendez-vous pour le même soir.

En fin de journée j’étais épuisée mais j’avais quand même encore quatre candidates acceptables qui seraient auditionnées les jours suivants par le directeur.

Je partis donc vers mon rendez-vous avec Bernard. Il était ponctuel et je lui expliquais le topo. Le rendez-vous était dans une maison close où nous serions accueillis comme un couple. Nous aurions droit à un package de services et une chambre pour toute la nuit. Bernard trouvait l’idée géniale !

À notre arrivée, après avoir donné le code au portier, nous fûmes introduits par une soubrette qui ne portait qu’un petit tablier et présentait ses seins nus masqués d’une étoile sur les aréoles. Je trouvais cela tout à fait dans le style de la maison. Elle nous invita dans un vestiaire pour nous débarrasser de tous nos vêtements et sous-vêtements et de revêtir des peignoirs blancs moelleux. La même soubrette nous conduisit ensuite dans le hammam où nous fûmes allongés côte à côte sur des lits.

Deux jeunes filles entièrement nues et rasées nous lavèrent avec une éponge et de l’eau chaude, c’était très relaxant. Elles paraissaient très jeunes mais avaient une belle poitrine ferme. Les femmes ne négligeaient aucune partie du corps ; je vis du coin de l’œil que le sexe de Bernard en érection totale était baigné en douceur pendant que mes seins et mon intimité étaient également lavés avec beaucoup de délicatesse.

Après le lavage, nos corps furent séchés toujours avec la même délicatesse puis massés avec une huile fine légèrement parfumée. Le massage commençait par les épaules, le dos, les fesses, les jambes. La masseuse passait aussi délicatement entre les jambes. Elle écartait légèrement mes jambes pour atteindre mes lèvres intimes et passait sur les grandes lèvres puis avec des caresses plus insistantes sur les petites lèvres et des touches légères sur mon clitoris. C’était très relaxant !

Je gémissais de plaisir, ce n’était pas de la masturbation mais des caresses qui faisaient quand même grimper le désir.

Je vis que Bernard était également massé et la fille trouvait le moyen de caresser sa verge collée contre le matelas et qui dépassait entre ses jambes. Il grogna, je supposais donc que les caresses étaient efficaces.

Puis nous fûmes invitées à nous coucher sur le dos. Le massage reprit à partir des épaules, les bras, ma poitrine, mes seins reçurent un traitement « spécial » d’après la masseuse. Les gestes étaient doux, un massage circulaire englobant l’ensemble de mes seins puis de plus en plus concentriques et en finale avec la pulpe de ses doigts elle caressait les aréoles et titillait mes tétons. Puis elle saisissait mes seins à leur base pour les caresser de mon torse vers les aréoles en serrant ses doigts autour des seins. Cette sensation était délicieuse, c’était comme si elle voulait traire mes seins ! Cela faisait affluer le sang vers les aréoles et gonflait mes tétons. Je sentais des pulsations dans mon vagin !

Le massage continua ensuite sur mon ventre, mon pubis et puis reprit dans mon intimité en rajoutant un jet d’huile avant d’explorer mon vagin et titiller mon clito.

C’était trop bon, j’arquais mon corps sous la caresse et je ne résistais pas à passer ma main entre les jambes de la masseuse pour lui donner une caresse semblable à celle que je recevais.

Bernard à côté de moi était servi d’un massage royal sur son bâton, tout en caressant les seins de sa masseuse qui pliait sous l’assaut de son client. Je croyais que cela s’arrêterait là mais les deux filles reprirent de concert une caresse buccale. Le cierge de Bernard disparaissait entièrement dans la bouche de la fille dans un lent et long massage tout en douceur. Je l’entendis gémir doucement, il était comblé !

De mon côté je sentis la langue insidieuse s’introduire profondément dans mon vagin pour donner des caresses profondes comme si une verge explorait l’entrée de mon corps. Toutes ses caresses étaient données en douceur sans jamais approcher de l’orgasme.

Enfin les filles nous invitaient à entrer dans le bain d’eau chaude tout proche et tamisaient la lumière pour créer une intimité.

Bernard se rapprochait de moi et je pus saisir son chibre sous l’eau et continuer à le câliner comme la fille. Bernard prit ma bouche en douceur et murmurait contre mon oreille que cette expérience, il ne l’avait jamais vécu mais seulement rêvé et que c’était inoubliable.

Je trouvais que les prémisses m’avaient bien émoustillé et je m’assis sur son sexe face à lui. Il présentait sa verge devant mon entrée et je m’enfonçais avec délectation sur son épée.

Mon vagin était bien préparé et l’introduction de son sexe se faisait dans une douceur inattendue.

Puis les filles nous rejoignirent dans le bassin, une présenta ses seins à Bernard qui les tétait comme un bébé juste devant mes yeux. L’autre se plaçait derrière moi et caressait mon anus d’une main pendant que l’autre pinçait doucement mes tétons. C’était de trop ! Je hurlais de jouissance dans un orgasme jamais atteint. Même Carmen ne m’avait jamais fait jouir comme ça.

Ma masseuse me sortit de l’eau pour me sécher et m’enduire d’une crème apaisante. Sa collègue massait encore la verge de Bernard entre ses seins jusqu'à l’éjaculation, mais tout son sperme fut avalé par la gourmande qui aspirait tout dans sa bouche jusqu'à la dernière goutte. Ensuite il fut également étendu sur le banc de massage.

Ce n’était pas encore terminé : ma masseuse et sa copine s’asseyaient à califourchon sur nous en laissaient couler de l’huile de massage sur nos corps. Puis elles glissèrent leur corps contre le nôtre en massant de haut en bas en faisant glisser leurs seins bien huilés contre notre peau.

C’était divin le contact de mes seins avec ceux de ma masseuse dont les tétons étaient durs et me procuraient des spasmes jamais ressentis. Spécialement lorsqu’elle s’appliquait à passer ses tétons sur mon intimité. Mon corps entier vibrait de jouissance !

Bernard de son côté était particulièrement gâté car sa masseuse réveillait sa verge dans une érection qui me paraissait impossible juste après avoir éjaculé, elle glissait ses seins sur sa verge et ses bourses. J’entendais Bernard qui gémissait de plaisir, jusqu’au moment où je fus invité à prendre sa verge dans ma bouche. Pendant ce temps des petites mains caressaient tout mon bas-ventre, je sentais la cyprine couler sur les doigts qui me massaient. J’eus à peine le temps de le caresser avec ma langue qu’un jet puissant heurtait mon palais. Je ne comprenais pas d’où pouvait encore sortir autant de sperme ! Puis j’eus un nouvel orgasme qui m’achevait totalement.

Je repris conscience sentant que j’étais enveloppé dans un peignoir chaud et moelleux puis on nous couvrait Bernard et moi ensemble d’une couverture chauffée et je m’endormis épuisée dans ses bras. Nous dormîmes un temps indéterminé et à notre réveil on nous présenta nos habits et une hôtesse charmante nous demanda si le traitement nous avait plu. Nous ne pouvions pas répondre autre chose que l’affirmative. Mon envie de sexe était complètement éteinte. Et je crois que Bernard avait le même sentiment. La charmante hôtesse nous reconduisit vers la sortie. De commun accord nous promîmes de revenir !

Bernard en me quittant me remercia pour cette soirée et la nuit qui avait suivi. Son baiser profond me fit comprendre que cela lui avait plu au-delà de son espérance.

Personnellement j’étais apaisée, je téléphonais à Carmen pour la remercier du conseil et je lui racontais brièvement ma soirée. Elle était heureuse pour moi ! Puis elle me révéla qu’elle avait réussi à briser la glace avec son patron avocat et que depuis les journées au bureau ne se limitaient plus à l’examen de dossiers juridiques routiniers !

NDA : j’espère que ce chapitre vous a plu ! En démarrant la rédaction je ne savais vraiment pas comment il allait se conclure ! Je me suis laissé guider par mon imagination. J’espère que ce n’est pas trop décousu.

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Solo_x

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