NDA : Voilà j’ai enfin réussi à republier les chapitres précédemment publiés sur Wattpad. Le récit a été supprimé malgré les avertissements « adulte » et « 18 ans ».

A partir de ce chapitre, chers lecteurs de Scribay, c’est du nouveau, de l’inédit !

J’espère que je n’ai pas perdu la main d’écrire !

### Sarah ###

Cette dernière joute avec Thérèse et Marc m’avait comblée mais la nuit suivante j’étais seule dans mon lit et je voulais me contenter de mes vidéos pour trouver une jouissance intime. J’avais beau faire défiler en accéléré les nombreuses séances avec Marc seul ou en trio avec Thérèse, mes caresses étaient peu productives, je dirais même la sécheresse de mon vagin ne faisait que m’irriter au lieu de me satisfaire ! J’appelais donc Marc sur son portable pour qu’il vienne immédiatement.

– Marc, je t’en prie viens là tout de suite, je suis en manque comme une droguée sans came !

– Sarah, je suis chez toi dans dix minutes, tu veux que j’appelle Thérèse pour nous rejoindre ?

– Non viens toi d’abord, je ne peux plus attendre !

– D’accord à toute !

Effectivement une dizaine de minutes plus tard, il sonnait à ma porte et j’ouvris sans tarder car je l’attendais derrière l’huis.

Contrairement à nos séances de « thérapie » c’est moi cette fois qui était en manque et je le pris, je devrai dire je l’agressais dès que la porte s’était refermée. Je lui mis ma main à son entrejambe mais Marc n’était pas prêt ! Sa verge était amorphe, est-ce parce qu’il avait couru pour me rejoindre ou simplement parce que mon invitation était inattendue ?

Je pris donc l’initiative de le « chauffer » un peu, un long baiser profond me semblait un bon début. La bouche de Marc se réveillait immédiatement et il entamait avec moi une bataille de langues interrompue de temps à autre pour prendre une profonde respiration.

Très vite ses mains retrouvaient ses habitudes et il me saisissait mes seins à travers mes vêtements.

Ah, quel plaisir de se sentir pris avec passion ! Mes tétons réagissaient au quart de tour et je lui demandais d’ouvrir ma blouse et de prendre mes seins à peau nue. Comme je ne portais pas de soutien, il n’avait que quelques boutons à défaire pour qu’il ait un contact direct avec ma poitrine. Ce fut une véritable délivrance lorsque je sentis ses doigt palper directement mes seins, pincer mes tétons, la vibration se transmit directement à mon intimité et Marc souriait à la réaction de mon corps.

– Sarah depuis qu’on se connait, c’est bien la première fois que tu réagis si violemment à mes caresses. Que s’est-il passé ?

– C’est simple, je voulais me masturber en regardant mes vidéos et contre toute attente, je n’ai pas réussi ! Je manquais totalement d’inspiration. Je voulais sentir ta queue dans le plus profond de mon corps, et mon imagination ne voulait pas me laisser décoller sans ta présence.

Je sentais enfin mon corps qui réagissait à ses caresses efficaces, je mouillais enfin ! Je pus glisser quelques doigts d’une main dans mon antre pendant que de l’autre main je tâtais son bas-ventre à la recherche de son bâton magique.

Je fus heureuse de constater qu’il était opérationnel !

Jusque là on était toujours debout tous les deux, mais mon désir était trop fort et je le poussais sur le grand divan en le débraguettant pour tenir son gourdin et le décalotter. Je devais avoir fait ce geste trop violemment car Marc hoquetait de saisissement et ses mains se crispaient sur mes seins pour mon plus grand plaisir !

– Pardon, Marc je ne voulais pas te faire mal mais continue de prendre mes seins, suces-les comme un bébé qui veut le lait de maman ! Ouiiii ! encore, lui dis-je en secouant frénétiquement son sexe.

Je me libérais enfin ! Mon envie grandissante avait grande chance d’être satisfaite ce soir. Je remontais ma jupe sur mes hanches, lui donnant accès à mon minou qui le réclamait. Il glissait comme dans du beurre alors que dix minutes avant mon vagin était sec comme le désert du Sahara.

Je montais et descendait sur son chibre qui gonflait pour dépasser sa grosseur habituelle, fallait-il croire que mon désir et ma précipitation à me satisfaire à la minute présente se communiquait à son ventre !

Il était dur comme du métal mais brûlant comme un fer rouge qui allait me marquer ! Oui j’étais sa chose, il pouvait me prendre, me satisfaire et surtout me faire jouir ! Je fus secoué comme jamais auparavant, me courbant vers lui, ma tête tombant sur son torse. Je dus pousser ses mains pour qu’elles lâchent mes seins, c’était trop fort ! Et pourtant sa tige était toujours aussi dure et chaude, il continuait ses va-et-vient sans discontinuer !

Mon corps profitait vraiment de sa queue qui me remplissait, non seulement Marc faisait des mouvements de va et vient, mais de plus il caressait les parois latéralement en glissant son gourdin de droite à gauche et retour. Il ne m’avait encore jamais fait cela ! C’était sans brutalité, mais je sentais qu’il devait se dominer pour ne pas retomber dans ses anciens travers de violence !

Enfin il eut son éjaculation qui me détendit comme l’eau fraîche sur une brûlure, j’eus un râle inhabituel accompagnant les vibrations de son sexe.

– Merci Marc, tu es mon sauveur, ne bouge surtout pas ! je veux un deuxième tour de piste la tout de suite, car je ne suis pas calmée !

– Tu me laisse récupérer un peu me dit-il, je sens que je bande toujours mais je veux juste reprendre mes esprits car j’ai eu comme un voile noir pendant quelques secondes.

– Prends ton temps Marc, mais reste bien là, tu me donne des frissons rien qu’en restant enfoncé comme ça !

– Oui, mais je sens les pulsations de tes muscles du périnée qui massent mon sabre et je dois me maîtriser pour ne pas te défoncer là sans attendre. Sarah, continue ce massage, je vais essayer de ne pas bouger !

Je ne pouvais plus me freiner, ce massage était délicieux, lui et moi on sentait la montée de l’adrénaline. Marc était hypnotisé par mes seins qui descendaient et montaient avec mes mouvements, il prit mes mamelles à pleines mains en pinçant mes tétons, la douleur m’excitait encore plus, je ne pouvais maîtriser mes cris de jouissance.

– Oui, Marc continue, je sens que je vais jouir, si tu parviens à sucer mes seins je suis sure que mon orgasme va se déclencher !

Et effectivement, il parvint à mettre un sein en bouche et suçait, mordillait et titillait mon aréole avec sa langue. C’était trop fort ! Tout mon corps fut secoué de spasmes violents, je m’entendis hurler mon plaisir !

Marc était génial ou était-ce moi qui avais accumulé tant de tension qui se libérait sous ses caresses. J’étais incapable de continuer mon mouvement sur sa bitte encore tendue.

– Marc, je te demande une pause, je sais que tu es encore dur mais je dois m’arrêter une seconde. Mon vagin n’en peut plus !

En me désengageant de la verge de Marc, je sentis comme un flot de liquide sortir de mon intimité. J’ai même cru que j’urinais sous la jouissance, mais à l’aspect crémeux, je sus que c’était que de la cyprine qui s’était accumulée pendant le coït !

Marc sentit ce flot inonder son sexe et trouvait cela rafraîchissant !

### Marc ###

Sarah était vraiment en transe ! La porte à peine ouverte après mon coup de sonnette, je fus littéralement agrippé par une main tendue qui cherchait à me masturber sans me déshabiller !

Sa blouse entrouverte fut une invitation à plonger une main sur sa poitrine en arrachant presque les boutons. Heureusement l’ouverture se fit sans dégâts, elle gémissait dés que je sentais la peau nue de ses seins dans mes mains.

Elle me poussa avec une brutalité inhabituelle sur son divan en ouvrant ma braguette pour agripper mon gourdin avec énergie ! Ses mouvements me firent mal et je dus reprendre ma respiration sous son agression !

Jamais Sarah n’avait exprimé tant de violence, elle devait avoir passé une mauvaise nuit ou essayé à tout le moins de se masturber sans succès !

Elle voulait que je la tète comme un bébé affamé et elle plaçait en même temps mon engin dans son antre !

Je glissais sans forcer dans son vagin déjà inondé de lubrifiant, étais-ce de la cyprine ou avait-elle introduit un liquide en prévision de… ?

Le seul avantage pour moi était que j’avais peu ou pas de peine à tenir dans sa grotte étroite !

Sarah était vraiment en manque et pompait ma bitte avec son intimité, je perdis conscience quelques secondes durant mon éjaculation, mais Sarah n’était pas calmée. Heureusement je ne débandais pas et elle recommençait sa danse infatigable.

Ses seins dansaient devant mes yeux, je devais les prendre sur son ordre ce qui donnait vraiment une excitation comme regarder un film porno ! Je devais sucer ses seins, mais je parvins à en mettre un en bouche pour le sucer ce qui déclenchait sa deuxième jouissance !

Je n’étais pas encore au sommet mais elle me suppliait de faire une pause ne supportant plus le frottement de mon gourdin dans son antre. En me dégageant je sentis une cascade de liquide qui inondait mon bas-ventre. Sarah était étonnée de ce phénomène mais me rassura en disant que c’était la cyprine accumulée qui sortait.

Je voulais la boire et elle me laissa faire et je la caressais avec ma langue jusqu’à ce que son corps vibre encore dans un cri et puis s’endormit dans mes bras. Contrairement à l’habitude, je restais à côté d’elle, dans un reflexe elle mit sa main sur ma verge comme pour me retenir et je décidais de m’endormir à côté d’elle.

NDA : on va laisser Sarah et Marc à leur bonheur, la semaine prochaine nous verrons Carmen

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Voyez sur mon profil les autres récits si vous ne les connaissez pas. Chaque lundi un nouvel épisode de « Nuits africaines » ; les mardis pour « La Grèce à voile et à vapeur » et les mercredis pour « Libertinage » qui va reprendre maintenant sa cadence normale – à condition d’être inspiré !

À bientôt !

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