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Derreck positionne son genou juste en dessous de l’entrejambe de Daria avant de le soulever légèrement, faisant ruer la magicienne qui pousse un râle d’aise. Face au silence de sa partenaire, le Grand Dépravé use une fois de plus du Verbe : « Parle… Que s’est-il passé à l’Académie Royale de Magie ? Je croyais que tu avais été gentille et studieuse ? » L’élémentaliste se cambre en couinant :

-Je l’étais… Je l’étais ! » Derreck vient lui lécher le cou :

-Dans ce cas, comment as-tu appris à séduire les hommes aussi bien ? » Il pousse son genou davantage, le lève pour appuyer encore plus sur l’intimité de Daria qui gémit de plaisir en tremblant. L’avatar du dieu sombre lui ordonne avec sa voix enchantée :

-Parle ! » Elle sursaute avant d’être secouée par un puissant frisson. Enfin elle crache :

-Je suis devenue la chienne de l’ensemble des élèves d’un dortoir ! » Derreck se fige. La magicienne se met à pleurer, puis sanglote. Le ranger la libère pour l’enlacer. Il l’accompagne jusqu’au lit, s’allonge avec elle à moitié nue. Il la serre dans ses bras pour lui demander plus doucement, mais toujours à l’aide du Verbe :

-Raconte-moi depuis le début. » Elle bafouille :

-Je… J’ai trop honte… » Il l’embrasse avant de murmurer :

-Je suis l’incarnation du Dieu de la Dépravation… Je ne te jugerai pas… » Puis avec sa voix irrésistible : « Comment est-ce que ça a commencé ? » Elle inspire à fond :

-Ma famille fait partie de la petite noblesse de Gwennole. Lorsque je suis partie étudier à Limur, je me suis retrouvée toute seule. J’étais tellement timide, je ne suis pas parvenue à me faire des amis. Au départ je pensais que ce n’était pas grave, que j’étais là pour étudier de toute façon, pas pour m’amuser. Je me trompais. Le cursus de l’Académie Royale est infernal, seul les plus talentueux obtiennent leurs diplômes… Dès le départ j’ai eu l’impression que j’allais échouer, je travaillais d’arrache-pied. Il m’arrivait de ne pas dormir certaines nuits tellement j’étais anxieuse et quand j’y parvenais je faisais des crises d’angoisses... » Elle déglutit : « Ne faire qu’étudier a créé un déséquilibre en moi, j’avais besoin de me distraire… De me défouler… Comme tu l’as si bien dit hier, les relations amoureuses étaient interdites dans l’enceinte de l’Académie. Je n’appréciais pas particulièrement le sexe, mais j’avais un peu pratiqué la masturbation auparavant. Il m’était impossible de le faire dans le dortoir au milieu des autres filles… L’académie proposait des bains individuels, aussi j’attendais d’être seule pour le faire. Il n’y avait qu’après l’orgasme que je m’apaisais… Mais… » Elle s’arrête, regarde Derreck avec honte, ce dernier l’embrasse puis lui murmure avec le Verbe :

-Continue…

-La première année j’ai su gérer… La deuxième année j’ai… Ça ne suffisait plus… J’ai dû trouver des astuces… » Il recoiffe sa belle chevelure bleue :

-Explique-moi. » La magicienne ferme les yeux :

-J’ai eu besoin de stimulations plus… intenses… Je ne verrouillais pas la porte, je m’exposais hors du bain, de telle sorte que si quelqu’un entrait… » Elle frissonne : « J’ai appris un sort d’illusion pour changer l’apparence de mon visage. » Derreck se régale avec l’histoire de Daria, il l’imagine nue, les hanches hors de l’eau tandis qu’elle pénètre frénétiquement son intimité avec ses doigts. Mais il ne dit rien, ayant promis de ne pas la juger : « Je ne sais pas comment personne ne m’a jamais surprise… J’avais l’impression de faire tellement de bruit. Pourtant, je n’ai eu aucun problème. » Elle se tortille pour venir se lover contre Derreck : « Tout a changé lors de la troisième année… Les cours devenaient trop compliqués, il n’y avait plus assez d’heures dans une journée pour tout étudier. Certains élèves trouvaient des sortilèges pour s’aider, projection astrale pendant leur sommeil, dédoublement, tout était bon pour gagner du temps. Quand à moi, j’étais tellement stressée que j’ai dû encore monter la barre de mes distractions… » Elle reste silencieuse. Derreck embrasse son crâne avant de lui souffler de sa voix enchantée :

-Qu’as-tu fait ?

-Je… J’ai encore utilisé mon sort d’illusion, mais cette fois dans l’Académie. Au beau milieu de la nuit, je me levais, je modifiais mon apparence, je… je me dénudais, j’enroulais une serviette autour de mes seins puis j’allais au bain comme ça… » Derreck laisse encore son imagination prendre le pas alors qu’elle continue : « À ces heures là, soit tout le monde dormait, soit étudiait calmement dans sa chambre. Je ne croisais personne mais cela ne m’empêchait pas de frissonner d’excitation. J’arrivais dans la salle de bain, je laissais la porte entrouverte puis je me faisais du bien… » Elle s’interrompt, une fois de plus Derreck l’encourage avec le Verbe :

-Quelqu’un t’a découverte ? » Elle hoche la tête :

-Je ne sais pas depuis combien de temps il m’observait. Était-ce la première fois ? M’avait-il déjà repérée auparavant ? Quoi qu’il en soit, quand moi je l’ai remarqué, j’étais déjà au bord de la jouissance. Il… Il m’a vue dans cette position indécente, mon intimité affamée qui se régalait sur mes doigts. » Elle déglutit : « Je pensais qu’il allait s’en aller, mais au lieu de cela, il est entré puis a verrouillé la porte. » Daria frissonne : « Je n’ai rien osé dire, je… Je me suis laissée faire. Il était si sûr de lui, si... » Derreck hasarde :

-Dominant ? » Daria pousse un râle :

-Oui ! » Avant d’inspirer à fond : « Il m’a présenté son sexe déjà dressé, il m’a guidée et appris comment le satisfaire. Avec mes mains, ma bouche… C’était… » Elle hésite : « C’était fou… Lorsqu’il a joui sur moi, je me suis sentie sale… souillée… Mais j’ai adoré ça… » Derreck la sent remuer, il intercepte ses mains avant qu’elle ne commence à se caresser. En usant à la fois du Souffle et du Verbe il l’incite :

-Continue… » Elle tremble les yeux fermés :

-J’ai eu peur. J’ai arrêté mes sorties nocturnes pendant deux semaines. Je l’ai recroisé dans les couloirs, mais il ne m’a pas reconnue sans le sortilège d’illusion. J’ai recommencé à perdre la tête, à ne plus dormir, à angoisser. Alors j’ai recommencé, mais… Je ne sais pas si j’avais peur de le croiser à nouveau, ou si je l’espérais… J’ai pris des dispositions. J’ai incanté un enchantement, un sortilège de longue durée, sur mon intimité comme contraceptif ainsi que pour me protéger des maladies. » Elle tremble contre lui, il la serre dans ses bras, elle sanglote : « J’ai bien fait ! Oh, comme j’ai bien fait… J’ai à nouveau modifié mon apparence, je suis allée jusqu’aux salles de bains à moitié nue et… » Elle déglutit, rouvre les yeux, les fixes dans ceux de Derreck avant de souffler dans un murmure : « … il m’attendait, avec des camarades à lui… Ils m’ont conduite jusqu’à leur dortoir où ils m’ont séquestrée pendant trois jours pour me… » Le Grand Dépravé semble affligé :

-Ma pauvre… » Daria sourit tristement en soupirant :

-Non… Bien au contraire… » Elle pleure : « Je me suis complètement laissée faire… J’ai adoré chaque seconde de cet abandon… » Elle frissonne : « Je ne vivais plus que pour ça, je ne me souciais plus des cours, je… Je n’étais qu’un objet pour les satisfaire… Ils me complimentaient sans arrêt, me disant que j’étais belle… Je jouais la chienne en chaleur… Ils se moquaient en m’insultant… Ce tourbillon de désir, d’humiliation, de plaisir mortifiant… J’adorais ça… » Derreck essuie les larmes de Daria :

-Pourquoi as-tu honte dans ce cas ? » Elle sanglote :

-Je ne sais pas… » Elle renifle : « Je me pensais forte… indépendante… Découvrir que j’aime être dominée et humiliée… Je ne le supporte pas… » Sa gorge se noue, elle hoquète avant de poursuivre : « Quand j’ai manqué les cours trois jours d’affilée, le corps enseignant à commencé à me chercher. Ils m’ont retrouvée puis ça a été la descente aux enfers… Ils ont récupéré les traces de mes sortilèges, les garçons ont témoigné en disant que j’étais consentante… Ce qui était vrai… Du coup le rectorat a prévenu ma famille, m’a proposé une bourse, de valider mes acquis avec un diplôme moindre que celui que je visais. Puis ils m’ont gentiment demandé de partir ! » Elle s’effondre, Derreck la laisse pleurer sans l’interrompre.

Une fois calmée, il lui demande avec le Verbe : « Dis-moi honnêtement, tu as des regrets ? Tu ferais les choses différemment ? » Elle tremble tandis que son esprit lutte pour lui faire prononcer la vérité :

-Pas un jour ne passe sans que je souhaite y retourner pour… Pour ! » Elle fournit un effort avant de cracher : « Pour redevenir la gentille petite chienne du dortoir ! » Après quoi, Derreck la sent se détendre, ramollir complètement contre lui. Elle s’apaise, comme libérée d’un poids. Le Grand Dépravé lui souffle à l’oreille :

-Joins-toi à moi… » Pas de réponse, il l’enlace, lui embrasse le cou : « J’ai besoin de ton aide… » Toujours rien, ses lèvres remontent vers sa mâchoire : « Je ferais de toi ma petite chose… » Elle cambre et se love contre lui : « On voyagera ensemble… Je te prendrai où je veux… Quand je veux… » Les yeux encore embués de la magicienne s’illuminent avec désir. Derreck est sur le point de l’embrasser : « Imagine… On s’apprête à s’arrêter un soir, on tombe sur un autre groupe d’aventuriers… » Elle se met à trembler en haletant : « On décide de camper tous ensemble… » Il vient murmurer à son oreille : « … et je leur propose de te passer dessus… » Daria bondit presque :

-Ahn oui ! » Elle l’embrasse fougueusement, probablement en s’imaginant devenir l’objet du désir de plusieurs hommes. Derreck l’empoigne par les cheveux, la force à briser le baiser, puis lui souffle :

-Si on manque d’argent, je pourrais toujours te vendre… » L’idée de se prostituer semble mortifier la magicienne, avant de l’exciter à tel point que ses mains se ruent vers son entrejambe. Le ranger lui attrape les mains pour l’en empêcher : « Pas si vite… » Il se lève, puis l’encourage à faire de même, il sort la clé du temple de sa poche : « Tu vas prêter allégeance… » Il l’approche de la serrure, la pierre se transforme pour y pénétrer. Daria observe le phénomène avec fascination. Derreck ouvre la porte sur le couloir, dévoilant un mur de ténèbres. La magicienne murmure :

-Qu’est-ce que c’est ? » Derreck l’entraîne :

-Un passage vers mon… » Il hésite sur le mot puis hoche la tête : « Oui… mon domaine… » Ils pénètrent dans le temple. Quand ils arrivent, Daria est médusée. Elle reste bouche bée, se fige comme terrifiée. Derreck lui souffle : « N’aie pas peur, tu es en sécurité ici… » Il l’encourage à avancer, elle demande :

-Où sommes-nous ?

-Dans le temple de Yag. » Elle lui attrape la main :

-Non… Je… Je veux dire… géographiquement ? » Derreck bafouille :

-Ah… Je ne sais pas… Il faudra demander à Dokkrus… » Il se tourne vers l’autel et appelle le vieillard. À la place, Rose et Veronika arrivent en sautillant de joie. Il leur sourit, elles effectuent la révérence des Filles de Yag, il les embrasse chacune leur tour. L’ancienne serveuse remarque la magicienne, elle demande :

-Qui est-ce ? » Derreck lui répond :

-Daria Mitchell. J’ai bon espoir qu’elle rejoigne nos rangs. » Les deux dépravées ont l’air folles de joie. Le vieil homme arrive enfin en clopinant, il n’a pas le temps de saluer le jeune homme que ce dernier se jette dans ses bras. Dokkrus marmonne :

-Tout… Tout va bien mon grand ? » Derreck se met à pleurer, l’espace d’un instant tout le monde est inquiet. Puis il inspire à fond avant de répondre :

-C’est si bon de vous revoir… » Il se redresse puis commence le récit des évènements des derniers jours. Il explique comment il a été attaqué, qu’on lui a dérobé la clé, sa terreur à l’idée que quelqu’un entre dans le temple et leur fasse du mal. Dokkrus pouffe de rire :

-Mais enfin mon garçon ! Je te l’avais dis, nous ne risquons rien. Personne, en dehors des membres du culte ou de leurs invités ne peut entrer ici. » Derreck se met à rire nerveusement, il avait oublié. Il hésite ensuite à raconter la suite devant les filles. Il propose donc : « Rose, Veronika ? Vous pouvez faire visiter à Daria ? Soyez gentilles avec elle. » La magicienne parait légèrement paniquée, jusqu’à ce que les cultistes lui sourient en lui demandant qui elle est. Malgré sa timidité elle se laisse entraîner. Le Grand Dépravé prend Dokkrus à part, il lui explique qui est Daria, que c’est une magicienne, puis ce qu’il lui est arrivé ensuite, la visite d’un esprit du Royaume des Morts, les mots de pouvoirs et les runes pour lui permettre d’échapper à la traque du Roi Éternel. Dokkrus les mène vers le sous-sol en murmurant :

-Je ne sais pas si nous devons nous réjouir ou nous inquiéter de cette visite… Une chose est certaine, il va falloir se renseigner sur tout cela. » Il soupire : « Cette… Daria c’est ça ? Elle pourra peut-être nous aider ? » Derreck fait non de la tête :

-Pas sur ce sujet. J’ai utilisé le mot de pouvoir sur ses frères d’armes. Elle n’en sait rien. » Ils parviennent dans le couloir menant aux caves, s’arrêtent là tandis que le vieillard réfléchit :

-À Limur… Je tâcherai de faire des recherches… » Ils hochent la tête d’un commun accord, puis Dokkrus enchaine : « Tu souhaites la convertir n’est-ce pas ?

-Tout à fait. Elle a étudié à l’Académie Royale, je veux qu’elle m’enseigne la magie, elle voyagera avec moi. » Le vieil homme hoche la tête, il inspire avant d’ajouter plus inquiet :

-Les recherches pour Veronika sont encore actives à Colseau. » Il agite les mains en signe d’apaisement : « Ils ne la retrouveront jamais, mais fais attention à toi. » Ils entendent les appels des filles à l’étage, remontent, découvrent Daria habillée en Fille de Yag, rouge de honte.

Derreck lui sourit, lui caresse la joue : « Tu es somptueuse… » La magicienne détourne le regard, honteuse, il continue de la complimenter : « Elle te va à ravir… » Elle finit par le fixer dans les yeux, un air toute contente. Il l’entraîne vers l’autel : « Prête à nous rejoindre ? » À nouveau elle se défile embarrassée. Il l’allonge sur la pierre sombre veinée de rouge et de pourpre, elle bredouille :

-J’ai… J’ai tellement de questions… » Derreck sourit, vient l’embrasser tendrement puis se redresse. Il lui écarte les cuisses, Daria écarquille les yeux. Elle observe Rose, Veronika, Dokkrus… Le Grand Dépravé annonce :

-Oh oui ils vont regarder… » La magicienne frémit quand les spectateurs se mettent à sourire. Derreck se tourne vers eux : « Et ils vont te juger… » Elle se recroqueville. Derreck use de la Poigne. Il plante ses ongles dans ses paumes, tisse des filaments rouge et pourpre, puis lui entoile les poignets sur l’autel. Au dessus de sa tête, laissant sa jolie poitrine exposée que Derreck se fait un plaisir de dénuder. Veronika souffle :

-Les jolis tétons… » Dokkrus pouffe :

-Ils sont à croquer ma parole… » Daria ne parvient pas à s’empêcher de couiner. Elle tente encore de se cacher. Mais le Grand Dépravé l’en empêche. Il la tire au bord du piédestal, son petit cul posé là, son intimité accessible. Il lui attache les pieds en bas du flanc de l’autel à l’aide de sa soie magique. La laissant complètement sans défense et offerte. Il écarte les pans de la robe couvrant son intimité, Rose chuchote :

-Oh… Qu’elle est belle… » Veronika surenchérit :

-Toute luisante aussi… » Elles pouffent ensemble. La magicienne se met à haleter comme une possédée. Derreck détache ses chausses, extrait son membre gorgé de désir et le pose sur le bas-ventre de Daria. La jeune femme se mordille la lèvre, déglutit bruyamment avant de frémir d’excitation. Le Grand Dépravé frotte la pointe de son sexe contre celui de la magicienne qui couine, puis il lui susurre :

-Tu auras toutes les réponses, lorsque tu auras prêté allégeance à Yag… » Elle hoche la tête frénétiquement. Dokkrus lui demande son nom qu’elle lui donne sans hésiter, puis il lui fait réciter la formule consacré, six fois. À mesure qu’elle entre dans une transe, la lumière du temple diminue puis le symbole apparaît sur son pubis. Lorsque l’éclairage redevient normal, Derreck la pénètre d’un grand coup de bassin. Daria manque de s’étrangler en hurlant de surprise et de plaisir. Dokkrus annonce que malgré la beauté du spectacle il a besoin de se reposer, il abandonne le groupe. Rose et Veronika se collent à Derreck pour le caresser, l’embrasser tandis qu’il bourre la magicienne de coups de reins. La voute du temple résonne des jappements de Daria rythmés par les claquements sonores de leurs corps qui s’entrechoquent. Elles y vont de leur petits commentaires admiratifs ou moqueurs, ce qui fait frémir et resserrer Daria à chaque fois : « Vas-y ma belle !

-Ahnlala elle encaisse comme une championne…

-On dirait qu’elle a fait ça toute sa vie… » L’élémentaliste est aux anges, elle se crispe tandis que son plaisir enfle en elle. Derreck en rajoute une couche entre deux halètements :

-Si vous saviez, de vous trois c’est probablement la plus grosse chienne de toutes. » Daria se met à ruer, Rose réplique :

-J’ai hâte de voir ce que ça va donner durant la messe… » Alors que la magicienne se met à couiner de plus en plus fort Veronika ajoute :

-Quel spectacle… » L’intimité de l’élémentaliste convulse alors qu’elle est secouée par un puissant orgasme. Son corps tout entier se tend, Derreck ressent la sensation de froid lui parcourir la colonne vertébrale. Il effectue encore deux va-et-vient avant de laisser exploser sa jouissance à son tour. Dans un grognement rauque, il l’inonde d’Élixir. Après avoir reprit son souffle, il se retire, quelques gouttes du liquide aphrodisiaque s’écoulent de la fente de Daria. Veronika se rue dessus pour les laper du bout de la langue. La magicienne est éreintée, Derreck lui caresse la joue : « Alors ? » Elle marmonne entre deux couinements :

-Ahn j’adore… » Le Grand Dépravé lui sourit :

-Et nous ne faisons que commencer… »

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