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Derreck observe les femmes s’amusant avec le colosse, son cœur comprimé dans sa poitrine. Il se sent trahi, il a l’impression qu’on lui a volé quelque chose. Il se pensait assez fort pour accepter qu’un autre que lui cajole ses filles, mais il est jaloux… Et cette faiblesse le rend amer. Il ordonne : « Encore. » Elles le regardent avec surprise, hésitent. Un sentiment d’agacement monte dans sa gorge qui se noue. Il inspire, s’approche de Rose pour lui murmurer : « Quoi ? Je croyais que tu voulais t’amuser avec eux ? » Elle bredouille :

-Ou… Oui mais je… » Il ne la laisse pas terminer :

-Besoin d’un petit coup de pouce ? » Elle fronce les sourcils, il s’avance et l’embrasse. Il lui insuffle une large dose de Souffle si bien que lorsqu’ils se séparent, elle halète lourdement. Il la pousse vers le colosse en ordonnant au géant : « Baise-la encore et encore. Jusqu’à ce qu’elle perde connaissance. » Rose écarquille les yeux, avant de couiner d’aise lorsque le Fils de Yag l’empoigne pour lui caresser l’entrejambe. Elle se retrouve vite nue, ses mèches brunes fermement tenues alors que son cul claque contre le bassin du gaillard qui la bourre de coups de reins vigoureux. La pauvre est secouée comme un vulgaire bout de viande, ce qui a l’air d’exciter Daria. Derreck s’approche d’elle par derrière, il lui empoigne la poitrine en passant sous les aisselles de cette dernière : « Tu veux être la suivante ? » Elle va répondre, mais sa phrase s’éteint dans sa gorge lorsqu’elle voit le colosse extirper son sexe de celui de Rose pour couvrir de sa semence le dos de l’ancienne serveuse. Derreck grogne : « Encore ! » Le Fils de Yag laisse la brune tomber à genoux pour recommencer à la démonter comme un sauvage. Rose semble aux anges, la bouche ouverte, la langue pendue mollement, un filet de bave qui s’écoule de ses lèvres.

À sa grande surprise, Derreck est excité par ce spectacle presque bestial. Il sent sa queue durcir lentement, remarque que tous les yeux sont tournés vers le colosse et Rose. Il ordonne à Dokkrus : « Va rassembler les Filles à l’autel… » Le vieillard semble émerger d’un rêve, il opine du chef puis sort de la pièce. Rose couine de plus en plus fort avant d’annoncer dans un cri qu’elle atteint l’orgasme. Elle rue, se débat pour échapper à la verge du colosse. Quand elle y parvient, le géant l’attrape pour lui faire gober son sexe turgescent. Le temps que l’orgasme de la belle s’apaise, le Fils de Yag lui jouit dans la bouche et sur le visage. Derreck clame : « Encore ! » son serviteur allonge la brune sur le dos puis la pénètre à nouveau. L’ancienne serveuse semble complètement abrutie de plaisir, le Grand Dépravé glisse une main entre les cuisses de Daria pour titiller sa fente déjà humide. Il lui souffle à l’oreille : « J’ai hâte de te voir à sa place… » La magicienne laisse échapper un jappement d’extase tandis que son corps frissonne. Le colosse et Rose baisent encore et encore. À trois reprises ils jouissent tant et si bien que l’ancienne serveuse s’évanouit couverte de semence et que le Fils de Yag se relève, à peine essoufflé, son sexe toujours tendu, luisant de ses ébats récents.

Derreck dénude Daria, la pousse en avant. Elle se retourne, honteuse. Il grogne : « Occupez-vous d’elle… » Les autres colosses le regardent, il se tourne vers eux : « Tous autant que vous êtes. » La magicienne écarquille les yeux en poussant un soupir d’angoisse teinté d’excitation. Les cinq Fils de Yag l’encerclent, leurs mains s’appliquent à la caresser, à la palper à l’empoigner. En un instant elle passe de la petite timide à la chienne en chaleur. Derreck la reconnait à peine alors qu’elle cherche à embrasser et se frotter à chaque colosse qui passe devant ses yeux. Les géants sont sur le point de la faire jouir lorsque la porte s’ouvre sur Dokkrus. Il annonce : « Elles sont prêtes… » Derreck souffle aux cinq mâles :

-Laissez-la. Suivez-moi. » Sans un mot les colosses se séparent de Daria qui semble déçue. Derreck leur demande d’attendre au bas des marches, il commande à Dokkrus de dénuder les géants. Le vieil homme sourit en obéissant. Le Grand Dépravé monte dans le hall principal, il rejoint les Filles de Yag, les admire. Toutes plus belles les unes que les autres, dans leurs robes rituelles. Lorsqu’il passe devant elles, elles s’inclinent en écartant les cuisses. Il monte sur l’autel puis clame : « J’ai une excellente nouvelle pour vous ! » Il voit leurs yeux s’embraser de désir : « L’embargo sur nos… communions est levé. » Certaines se déshabillent déjà, il continue : « Cependant ! Je décrète que désormais, pour obtenir le… ‘privilège’ de rejoindre ma couche. Il vous faudra vous investir dans notre culte. Que ce soit en corvées ou prières, les plus zélées d’entre vous pourront me rejoindre. » Il se tourne vers les caves : « Et je compte sur Dokkrus pour mettre en place un système de mérite. » Le vieil homme est surpris, mais il approche. Derreck explique : « Notre vieil ami est incorruptible. » Il le regarde droit dans les yeux : « Je sais qu’il vous traitera avec équité. » Il revient aux filles : « Il vous attribuera des tâches, vous devrez lui faire vos rapports. Selon votre engouement, votre réussite, vous obtiendrez des points supplémentaires. » Il attrape le menton de l’une d’entre elles : « Et celles qui seront au sommet de la liste… Me rejoindront dans mes quartiers. » Il crie vers les caves : « Fils de Yag ! Venez par ici ! » Puis reprend à ses filles tandis que les cinq colosses entrent dans le hall. Il y a des soupirs d’admiration, Derreck en voit même certaines se caresser doucement. Il sourit : « Quand à celles qui ne parviendront pas à se joindre à moi. Elles auront accès à nos nouveaux… membres. » Il y a des petits rires amusés : « Par ordre d’investissement. » Il explique ensuite : « À partir de demain les plus dévouées seront les premières. Mais aujourd’hui il va falloir partager, est-ce bien clair ? » Elles approuvent toutes en effectuant une révérence : « Alors, amusez-vous. Profitez… » Il se tourne vers les colosses : « Ne vous arrêtez que lorsque chacune de ces dames sera satisfaite. »

Après quoi il prend du recul avec Dokkrus pour admirer la première orgie de sa vie. Il observe ces corps magnifiques qui s’entrelacent ou s’entrechoquent passionnément. La symphonie des organes humides, des gémissements d’aises et des couinements de plaisir qui résonne à travers le grand hall. C’est une délicieuse folie, les filles vivent l’extase que ce soit debout, agenouillées, assises, allongées ou encore empalées sur l’autel. Où que ses yeux se posent, les Filles et Fils de Yag s’accouplent sans la moindre gêne. Daria les rejoint, de nouveau timide et réservée, il l’enlace en soufflant : « Merveilleux, n’est-ce pas ? » Dokkrus déglutit :

-C’est magnifique… On dirait des Dieux… Qui… » Daria souffle :

-Les figures des légendes… » Le vieillard se tourne vers Derreck :

-Mon ami. » Il s’incline avec respect, ce qui surprend le jeune homme : « Me permets-tu de me retirer afin de me préparer à mon nouveau rôle ?

-Bien sûr. » Sans attendre, le vieil homme s’éloigne en souriant. Daria demande :

-De quoi parle-t-il ? » Derreck l’embrasse :

-Je t’expliquerai. Pour l’heure, savoure… » Il la garde dans ses bras alors qu’ils observent les membres du culte forniquer encore et encore.

À mesure que l’heure avance, des Filles terminent allongées sur les bancs ou l’autel, exténuées, des sourires béats sur les lèvres. Tant et si bien que la toute dernière se fait soulever par deux colosses. Ils la coincent entre eux alors qu’elle couine : « Oui… Oui prenez-moi ensemble je… » Sa phrase s’étrangle dans un gargouillis alors que les deux verges pénètrent chacune un orifice différent. Son visage affiche une sorte de folie et lorsque les va-et-vient commencent, elle produit des beuglements inarticulés. Derreck sent Daria frissonner contre lui, il murmure à l’oreille de la magicienne : « Tu voudrais être à sa place ? » Elle semble sur le point de se caresser, il l’en empêche en saisissant ses mains : « Du calme ma chérie… Bientôt… Dès qu’ils ont fini avec elle… » À ces mots les couinements de la Fille de Yag montent dans les aigus, jusqu’à ce qu’elle soit secouée de violents spasmes. Les deux colosses la reposent délicatement au sol avant de se tourner vers Derreck. Il chuchote à Daria : « Va dans ma chambre, on arrive. » Il lui claque une petite fessée, la regarde s’éloigner. Il ordonne aux Fils de Yag de la suivre, les oblige à se laver dans les bains au sous-sol. Puis remonte avec eux vers sa chambre. Il ouvre la porte, Daria est déjà installée, en train de caresser son entrejambe. Derreck murmure : « Prenez-la, soyez… un peu brusque avec elle. » Sans un mot les cinq colosses montent sur le lit. La magicienne est à la fois inquiète et excitée, ses beaux cheveux bleus se font empoigner et elle se retrouve le nez sur un gros pénis. Rapidement ses instincts de soumise prennent le dessus. Elle se laisse complètement faire, ouvre grand la bouche laisse les colosses la manipuler, la retourner puis la pénétrer sans rien dire. Derreck la voit apprécier le traitement, mais elle ne semble pas complètement heureuse. Il s’approche, lui souffle : « Alors petite salope ? Tu as hâte qu’ils te démontent ? » Elle se cambre soudainement en poussant un gros soupir de plaisir. Il continue : « J’ai tellement envie de les voir ravager tes petits trous… De t’entendre couiner comme l’adorable petite chienne que tu es… » Il la voit remuer, onduler pour accentuer les pénétrations de sa fente et de sa bouche. Derreck grogne aux Fils de Yag : « Sodomisez-la en même temps… » Les géants s’exécutent la coinçant entre eux tandis que leurs énormes verges la pénètrent de concert. Chacun de ses orifices est âprement baisé, son corps de rêve secoué au rythme des coups de boutoirs des gaillards. Étrangement, le Grand Dépravé est excité. Voir ainsi la femme qu’il aime être saccagée, lui procure un plaisir malsain qu’il n’avait encore jamais ressenti. Il lui souffle : « Tu es magnifique Daria… Je veux te voir jouir alors qu’ils te couvrent de sperme… » La magicienne se cambre encore plus, les Fils de Yag accélèrent leurs pénétrations ou leur masturbation. Daria se crispe de plaisir tandis que son orgasme la secoue, les cinq géants se retirent d’elle pour éjaculer sur son corps, la couvrant de semence chaude dans laquelle elle se roule en doigtant frénétiquement sa fente pour prolonger sa jouissance ; avant d’enfin s’écrouler, à bout de souffle. Derreck reste admiratif pendant un instant, avant de se dénuder, de s’avancer puis d’attraper Daria pour la porter. Il ordonne aux Fils de Yag de le suivre. Il descend à la cave, leur commande d’entrer dans une pièce, les enferme, puis se dirige vers les bains. Là, il s’y installe avec Daria qu’il lave doucement en souriant : « Tu étais parfaite… » Lorsqu’il rince son visage avec l’eau chaude, la magicienne se réveille, sans un mot elle vient l’embrasser amoureusement puis souffle à son oreille :

-Prends-moi… » Derreck lui répond amusé :

-Tu n’en as pas eu assez ma chérie ? » Elle secoue la tête :

-Non c’est juste que… J’ai besoin de me sentir aimée… » Elle se recule, le regarde droit dans les yeux : « Fais-moi l’amour… S’il te plait… » Derreck lui sourit :

-Comment dire ‘non’ ? » Il l’embrasse. L’aide à se nettoyer délicatement en la caressant. Après quoi ils sortent de l’eau, se sèchent, montent dans sa chambre. Il retire les draps souillés, puis ils s’allongent ensemble, nus. Derreck s’occupe d’elle, la caresse, l’enlace puis la pénètre à sa demande. Il est lent, doux, l’inverse des Fils de Yag, pourtant Daria couine plus fort en exprimant son plaisir davantage : « Oui… Oui ! Encore ! » Entre deux baisers passionnés : « J’adore ! Je t’aime Derreck… » Avec délicatesse, il fait monter son plaisir, l’amène au bord de l’orgasme et la maintient là pendant un long instant. Avant de la laisser se libérer dans un cri suraigu déchirant. Lorsqu’il essaye de se retirer d’elle, elle l’enlace fermement en l’embrassant : « Reste… » Il obéit pour s’endormir auprès d’elle peu de temps après.

Par la suite, les journées de Derreck sont plus tranquilles. Avec plus de facilité et l’aide de Dokkrus, il maintient l’ordre parmi les Filles de Yag. D’autant que les femmes sont désireuses de plaire et ne manquent pas de faire preuve de petites attentions à son égard ou mieux, de le taquiner en l’allumant. Elles font mine de nettoyer le sol en se penchant, laissent échapper un sein de leur robe. Chaque soir il couche avec deux ou trois filles qu’il comble et ne manque pas d’imbiber d’Élixir. Tandis que les autres s’adonnent à des orgies supervisées par Dokkrus.

La puissance du culte augmente de jour en jour, mais sa richesse stagne. Un midi, dans la salle à manger, lors d’un déjeuner avec l’ensemble des membres du culte, Derreck les interroge sur ce sujet : « Comment pourrions-nous obtenir plus de fonds ? » En cherchant des solutions, la vente des produits du jardin est abordée. La manufacture de vêtements est envisagée, la plupart des filles savent coudre. Certaines ont même travaillé sur les robes des Filles de Yag et sont très douées. Avec l’achat de matériel de base certaines pensent pouvoir produire de beaux atours. Enfin, le sujet de la prostitution est à nouveau traité. Bien que de nombreuses candidates soient excitées à l’idée de vendre leur corps, Derreck, Dokkrus et d’autres sont inquiets. Il s’agit d’un métier à risque, le Grand Dépravé refuse d’exposer les membres du culte au danger. De fait, l’idée est repoussée le temps de trouver une solution pour protéger les filles des agressions, maladies ou grossesses indésirables. Ainsi que l’achat d’un établissement à Limur pour leur permettre d’ouvrir un bordel, ce qui serait la solution la plus sûre. Deux nouvelles messes sont organisées, un total de dix Filles supplémentaires rejoint le culte. La plupart ont fui leur village suite à des ouvertures de failles, elles sont seules et ne savent plus où aller. Pour parer à ce nouvel afflux, le temple croit une fois de plus, des chambre supplémentaires apparaissent, un atelier de couture ainsi qu’une salle servant de séchoir pour les légumes et fruits. Yag semble très à l’écoute de ses fidèles en leur rendant la vie aussi simple et agréable que possible. Un système de latrines à flot d’eau constant surgit à la place de l’ancien et les sols ainsi que les murs sont devenus aussi lisses que du marbre. De manière générale le temps semble s’être anobli.

Dans les jours qui suivent, la vente de légumes finance l’achat de matériel de couture. Une véritable petite entreprise se développe dans le temple. Quelques semaines après, lorsque les affaires sont stables, Derreck décide de reprendre la route avec Daria en direction de la capitale. Ils ne sont plus qu’à quelques jours de voyage, c’est donc par un frais matin d’automne qu’ils chevauchent Chantevent et Zodiac sur les routes bordant les Pics du Montausson de l’Agratus.

Une agréable routine s’installe chez le duo. Exercices le matin, chevauchées toute la journée avec une pause de temps à autre pour manger ou se soulager. Le soir, invocation du campement, dîner puis coït passionné à l’abri de la tente. À chaque jour qui passe, Derreck trouve Daria toujours plus belle. Il leur arrive de coucher ensemble en pleine journée tant le désir est irrépressible.

Lors du cinquième jour de voyage, ils font une pause l’après-midi pour reposer les chevaux. Ils s’installent à l’ombre d’un sous bois au bord du chemin qu’ils empruntent. Les arbres ont revêtu leurs manteaux flamboyants, les senteurs de pins, d’humus leur parviennent et l’air frais des Pics du Montausson fait onduler la cime des arbres. Derreck pousse doucement Daria contre un arbre pour commencer à l’embrasser dans le cou. La magicienne répond à son étreinte, mais alors que leurs lèvres sont sur le point de se toucher, le Grand Dépravé sent comme une démangeaison à l’arrière de son crâne. Il se fige, tend l’oreille, une affreuse sensation d’urgence l’étreint. Derreck est soudain terrifié, il attrape la main de Daria en la questionnant :

-Tu as senti ? » Elle cligne des yeux :

-Quoi donc ? » Derreck l’attire vers les chevaux :

-Ne restons pas là… » Il l’aide à monter en selle alors qu’elle lui demande :

-Que se passe-t-il ? » La Grand Dépravé souffle :

-Je ne sais pas… Mais nous devons partir… » Alors qu’il est sur le point de passer le pied à l’étrier, une nouvelle sensation. Cette fois-ci il reconnait l’apparition d’une faille. Il n’attend pas, saute sur Chantevent en criant : « Vite ! » Ils partent au galop dans le sens opposé du portail magique. Le chemin qu’ils empruntent les mène à une clairière, Derreck se retourne son cœur manque un battement. Il fait ralentir sa monture. Le ciel s’est assombri, une gigantesque plaie béante s’est ouverte puis, tel un fluide vital, une nuée de créatures volantes s’en échappe. Les monstres ne sont pas bien grands, pas plus que des oiseaux, mais ils sont innombrables. Le Grand Dépravé souffle : « Yag tout puissant… J’implore une fois de plus votre aide… Par pitié… Sauvez-nous… » La nuée de créatures enfle encore et encore, jusqu’à sembler vivante. Derreck la voit se disperser dans toutes les directions, lui et Daria talonnent leur monture. Il réfléchit à toute vitesse, la prochaine ville est bien trop loin, ils ne l’atteindront jamais. En regardant autour de lui, un reflet attire son œil, une chute d’eau ! Une idée lui traverse l’esprit, il crie à sa compagne : « Prépare un Mur de Glace ! » Puis il lui indique la direction à prendre. Ils galopent à travers un petit bois, au dessus de leur têtes, Derreck entend les créatures coasser, leur vol provoque un sifflement comme celui d’une lame qui fend l’air avant de frapper. Ils parviennent à la cascade, lui saute au sol pour attraper les rênes de Chantevent et Zodiac les tire derrière le mur d’eau. Daria termine son incantation juste à temps pour les protéger du plongeon de quelques monstres qui se cognent contre la glace dans une avalanche de fracas sourds. Le Grand Dépravé et la magicienne reprennent leur souffle, rassurent leurs chevaux avant de sourire avec soulagement. Le répit est cependant de courte durée, ils entendent les créatures crier et hurler à l’extérieur. Ils sont pris au piège et la nuée ne semble pas vouloir s’éloigner…

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