A la douche

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(PDV de Patrick)

Au moment de remonter son jean, ma tête se trouvant encore à la hauteur de son sexe, une petite odeur, bien qu’excitante, me chatouilla les narines me rappelant que cela faisait plus de 48 heures que nous n’avions pas pris de douche.

« Dis donc, si on prenait une douche ? On pue un peu là, ça fait 2 jours qu’on ne s’est pas lavé. Et puis, puisqu’il y a une douche, autant en profiter »

« Eh oui, et comment veux-tu que je me lave avec ça... ? » me dit-il en me montrant ses poignets menottés.

« Ah oui, c’est vrai…Bon, écoute, puisque je t’ai torché, je peux aussi te laver maintenant » lui répondis-je en rigolant.
Je m’attendais à ce qu’il m’envoie péter, mais à ma grande surprise, il s’extirpa les pieds de son jean, juste vêtu de son caleçon il se retourna vers moi en me disant avec un grand sourire « Ben, oui pourquoi pas, je crois qu’une bonne douche nous fera du bien.

Il ne fallait pas m’en dire plus, je me mis à poil en deux temps trois mouvements. Heureusement ma queue avait un peu débandé et même si elle n’était pas encore au repos, j’étais quand même presque présentable.

Me plaçant face à Alain, je fis glisser son caleçon le long de ses jambes et mon visage se retrouva à la hauteur de son sexe qui émergeait sa toison brune. Je pouvais sentir l’odeur de jeune mâle qui émanait de sa toison dans laquelle je n’avais qu’une envie, c’était d’y plonger mon nez. Mais je savais aussi qu’il ne fallait pas brusquer les choses avec le risque d’une réaction brutale de la part d’Alain.

Pourtant ce n’était pas l’envie qui me manquait de prendre ce jeune sexe dans ma bouche et par une douce caresse de la langue faire gonfler cette jeune bite qui ne demandait surement que ça. Mais à cet instant je n’ai pas osé le faire.

Pourtant, je le sentais prêt à tout, après toutes les épreuves et les émotions que nous avions eues.
Je le laissai rentrer le premier dans la cabine de douche qui n’était pas beaucoup plus grande que la paillasse sur laquelle nous avions dormi. Je fus donc un peu obligé de me coller à lui, les menottes ne me facilitant pas la tâche. Je laissai couler l’eau un moment sur nos deux corps. L’eau tiède nous faisait du bien, mais la proximité du corps nu d’Alain ne tarda pas à réveiller de nouveau en moi un désir qui ne s’était pas assouvi. Heureusement il fermait les yeux ce qui lui évitait pour l’instant de voir la demi-érection dans laquelle je me trouvais. Le plus difficile était d’éviter que ses mains ne viennent frôler ma bite, auquel cas il se serait vite rendu compte de mon état.

En me tenant à bonne distance, du moins autant que l’exiguïté de la cabine de douche me le permettait, j’entrepris de lui savonner le dos et les épaules. Il se laissait docilement faire, ondulant même un peu sous la caresse de mes mains.
Remettant un peu de gel douche dans le creux de mes paumes, je descendis lentement mes mains sur son torse, caressant ses pectoraux finement musclés. C’est quand j’effleurai la pointe de ses tétons que je le senti tressaillir sous cette douce caresse.

Je fermai le robinet de la douche pour mieux le savonner et en me penchant pour atteindre le robinet je vis à ma grande surprise qu’Alain bandait comme un âne. Sa bite était complètement raide et même s’il avait toujours les yeux fermés, je ne doutais pas qu’il était conscient de son état et que je l’avais remarqué.

C’en fut trop pour moi, je me rapprochai de lui et ma bite, cette fois complètement raide également entra en contact avec ses mains.

Il n’eut aucun mouvement de recul et au contraire je sentis ses mains s’ouvrir comme pour mieux accueillir mon sexe. Cette fois je plaquai ostensiblement ma bite contre ses mains en me frottant légèrement tandis que je continuai à lui savonner le torse en quittant lentement et à regret ses petits tétons pour descendre sur ses abdos bien fermes. Je sentais qu’il prenait plaisir à contracter ses abdos afin de faire rouler ses muscles sous la paume de mes mains.

Ma bouche se promenait sur son cou, tandis que ses mains me malaxaient les couilles. J’étais prêt à exploser et je reculai légèrement pour ne pas lui éjaculer trop vite dans les mains.

Les miennes, de mains, continuaient leur lente descente savonneuse et j’arrivai bientôt au contact de sa toison. Je glissai ma main jusque sous ses couilles et remontait en enserrant dans une douce caresse sa bite dans ma main. Un râle s’échappa de sa gorge et dans un murmure j’entendis clairement un : « branle-moi… ». Je n’attendais que ça !

Je continuai alors ma caresse sans retenu décalottant complètement son gland turgescent et faisant glisser la peau le long de son membre. Je sentais le corps d’Alain vibrer et se tendre sous mes caresses. J’étais au comble de l’excitation et me retenais le plus possible pour ne pas jouir trop vite.

Soudain je senti ses muscles se contracter et jetant un coup d’œil par-dessus son épaule, je vis un long jet de sperme jaillir de sa bite et s’écraser sur la paroi de la douche.

S’en était trop pour moi, d’autant plus qu’Alain n’avait pas cessé pendant que je le caressais de me malaxer la bite et les couilles, un peu maladroitement certes à cause de ces foutues menottes, mais il m’avait amené au seuil de la jouissance que la vue de son sperme jaillissant, me fit, moi aussi, éjaculer dans ses mains et sur ses fesses.

Plusieurs giclées de son sperme avaient suivi la première se répandant sur le sol de la douche.
Il n’avait pas eu de mouvement de recul lorsqu’il avait senti mon sperme chaud dans ses mains, au contraire, il continuait même encore à malaxer mon sexe, la main engluée de sperme.

Je me collais à lui, le serrant dans mes bras et déposait un petit bisou dans le creux de son cou.
Il se tourna alors vers et avec un sourire me dit « Oh, putain, c’était trop bon…. »
Humm…que dire de plus !

Je finis rapidement de le laver afin d’effacer les traces de nos ébats et je l’essuyai soigneusement avec les serviettes de bain que nous avions à notre disposition.

Lorsque je lui remis son caleçon et que je vis disparaitre son sexe qui avait maintenant repris des proportions normales, j’ai eu conscience que cette expérience était tout à fait exceptionnelle et n’avait pas beaucoup de chance de se reproduire de nouveau.

Mais l’avenir nous le dira…

Dans la soirée, un homme en costume qui se présenta comme le Consul de France à Sao Paulo fit son entrée dans notre cellule suivie d’un homme en uniforme qui semblait un haut gradé.

L’homme en uniforme nous fit un discours en portugais, mais le Consul s’empressa de nous le traduire. Le gradé nous présentait toutes ses excuses au nom du gouvernement Brésilien.
Il y avait en fait eu une confusion sur des personnes recherchées et qui étaient attendues de pied ferme à l’aéroport, Alain ressemblant, aux dires du gradé, comme deux gouttes d’eau à la personne recherchée.

Après avoir récupérés nos affaires et nos valises, le Consul nous raccompagna en personne à notre hôtel où nous attendait tous nos collègues très inquiets de ne pas avoir eu de nos nouvelles pendant plus de 24 h.

(PDV d'Alain)

Patrick était toujours accroupi devant moi pour attraper mon jean qui était tombé sur mes chevilles quand je l’entendis renifler et dire : « Dis donc, si on prenait une douche ? On pue un peu là, ça fait 2 jours qu’on ne s’est pas lavé. Et puis, puisqu’il y a une douche, autant en profiter »

Avec une mine dépitée, je lui montrai mes mains menottées : « Eh oui, et comment veux-tu que je me lave avec ça... ? ».

Rigolard, il me dit que puisqu’il venait de me torcher, il pouvait bien aussi me laver maintenant.
Cette réplique me fit sourire, et c’est vrai que j’avais bien envie d’une bonne douche. Sans trop réfléchir je m’extirpai tant bien que mal les pieds de mon jean et vêtu de mon simple boxer, je me tournai vers lui avec un grand sourire en lui disant que c’était plutôt une bonne idée.

En un instant Patrick fit voler son tee-shirt et tomber simultanément son jean et son boxer, se retrouvant complètement nu devant moi. Mes yeux ne purent s’empêcher de descendre sur sa queue, que je n’avais encore jamais vue, et qui me sembla d’une taille un peu bizarre pour une bite au repos. Il se mis alors accroupis devant moi, faisant glisser mon boxer le long de mes jambes.
Sa tête se trouvait à la hauteur de mon sexe et je le vis marquer un temps d’arrêt. Oh il n’allait pas me sucer quand même, bien qu’à ce moment là je me demandai quand même si je n’en n’avais pas très envie.

Mais non, il se redressa et me poussa prestement dans la cabine de douche qui était bien exiguë pour 2 personnes.

Je me mis face au mur et senti l’eau tiède couler sur mes épaules, c’était super agréable mais j’étais quand même un peu troublé de la présence de Patrick dans mon dos, qui visiblement tentait maladroitement d’éviter de se coller à moi. Malgré tout, l’agréable sensation de l’eau tiède qui rependait une douce chaleur dans mon corps, mais aussi peut être la présence de Patrick complètement nu dans mon dos, fit que je senti soudain grossir mon sexe. Heureusement, comme il était placé, Patrick ne pouvait pas le voir, ce qui me détendit un peu et je fermai les yeux savourant le contact des mains de Patrick qui me savonnait les épaules dans un mouvement qui ressemblait plutôt à une caresse qu’à un savonnage viril.

Lorsqu’il passa sur me pectoraux et mes tétons, je ne pu réprimer un petit frémissement de plaisir et senti cette fois ma bite devenir complètement raide. C’était trop et je me laissai aller en profitant de cet instant de plaisir en voulant espérer quand même que Patrick ne remarque pas mon état, bien qu’inconsciemment l’idée qu’il me voit bander m’excitait encore plus.

Il arrêta l’écoulement de l’eau et continuait de me savonner en descendant doucement sur mon ventre, mouvement qui l’obligea à se rapprocher de moi. Et évidemment comme j’étais toujours menotté, je senti clairement son sexe entrer en contact avec mes mains. Waouhh… Il bandait comme un taureau, visiblement, le fait de caresser mon corps en me lavant ne l’avait pas laissé indifférent.

Bizarrement ce contact avec n’importe quel mec m’aurait carrément dégouté, mais là, ce n’était pas du tout le cas. Le contact de ce membre chaud m’avait complètement électrisé et j’ouvrir carrément mes mains pour mieux encore sentir ce contact.

Ses mains étaient maintenant descendues sur mes abdos que je m’amusais à contracter pour les rendre encore plus durs.

Cela devait l’exciter encore d’avantage et il se colla encore plus à moi, sa bite étant pratiquement en contact avec mes fesses. Mes mains trouvèrent alors ses couilles que je ne pu m’empêcher de prendre dans mes mains, même si les menottes ne me facilitaient pas vraiment la tâche.

J’étais maintenant excité à mort, et je sentais bien que nous avions tous les deux franchis un point de non-retour ou l’excitation prend le pas sur tous les tabous et sur toutes les inhibitions.

C’est quand il prit ma bite dans sa main après avoir caressé mes couilles que je murmurai d’une petite voix éraillée par l’émotion : « branle-moi… ».

Je ne réfléchissais plus, je n’étais plus moi, juste un corps assailli de désir qui ne demandait qu’à s’assouvir.

Je n’eu d’ailleurs pas attendre très longtemps. Patrick avait entrepris quelques va et vient sur ma queue décalottant complètement mon gland qui s’emblait prêt à exploser.

D’ailleurs l’explosion ne tarda pas. Dans un plaisir foudroyant, je sentis tout mon corps se contracter et un jet puissant de sperme vient s’écraser sur la paroi de la douche. Plusieurs jets suivirent tandis que tout mon corps était pris de contractions.

Tout à mon plaisir, je sentis soudain un liquide chaud et visqueux m’inonder les mains et la raie des fesses. Patrick avait joui à son tour dans un gémissement de plaisir.
Normalement, cela aurait dû me dégoutter, et là, c’était tout le contraire, je continuai même à lui caresser la queue et les couilles toutes engluées de son sperme.

Tournant la tête vers lui avec un petit sourire coquin, je murmurais dans un souffle « Oh, putain, c’était trop bon… ».

J’avais vraiment pris un pied pas possible et en plus dans les bras d’un garçon…

Sans un mot, il termina rapidement de me laver et fit de même.
Quand il m’essuya avec une certaine tendresse avec la serviette, je ne pu réprimer un frisson de bien être encore secoué par toutes les émotions que je venais de vivre.

Il me remit rapidement mon boxer et mon jean et sans échanger un mot nous retournâmes nous assoir sur le bat-flanc, chacun perdu sans ses pensées.

Je pense que la pire des choses dans ce genre de situation est de refaire le match, chacun ayant vécu la chose avec son propre ressenti, avec ses propres émotions…

Vers l’heure du déjeuner un garde entra avec un chariot sur lequel il y a avait 2 gamelles avec visiblement la même nourriture qu’hier, ce qui n’était pas pour me déplaire.

A ma surprise et sans rien lui demander, le garde me retira les menottes sans un mot et sorti.
Je massais mes poignets endoloris que la dernière séance sous la douche n’avait pas forcément arrangée.
Tellement content d’avoir retrouvé l’usage de mes mains, que j’en profitais cette fois pour aller pisser, mais tout seul.
Je croisai le regard de Patrick qui me suivait des yeux jusqu’aux toilettes et crus discerner dans son regard comme un peu de regret, privé sans doute de l’idée de jouer une nouvelle fois avec ma bite.

Dans la soirée, un gradé accompagné du Consul de France entra dans la pièce et nous fit un grand discours et de plates excuses pour la confusion de personne qu’il y avait eu lors de notre arrivée à l’aéroport. Il parait que je ressemblai à un narco-trafiquant recherché par toutes les polices du Brésil.
Pas de chance pour moi… Quoique… Ce qui s’est passé avec Patrick ne se serait peut-être jamais produit.

Le Consul, très attentionné, nous raccompagna en voiture officielle du Consulat jusqu’à notre hôtel, où nos collègues brésiliens nous attendait avec une certaine inquiétude.

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