Toi qui agit lentement la nuit,

Le poison des lunes de minuit,

Le jour te prend de court

Et tu fini ton repas lourd.

Dors profondément lorsque tout le monde danse,

Tu trouveras sans doute la bête en transe,

Puis ton rêve deviendra réalité

Lorsque la nuit montrera son froid intimidé.

Animal de la nuit qui perse la défense

D'un amour si terrible, et l'homme sans méfiance

Brûle d'une envie d'attraper tes ailes

Pour manger le corps d'une abrupte ici belle.

Lecteur si terrible, éloignez vos pensées,

Vos allusions torrides sont tellement déplacées !

La misère de ce texte est ce qui est à comprendre

Et non les choses que vous voulez en apprendre !

L'amour est si bien fait, mais l'Homme

Ne fait que gâcher ce qu'il lui offre, l'Homme

Qui n'arrange rien sur une planète rendue hideuse, l'Homme

Qui ne change rien de ce qu'il est, car il se croit surhomme.