9* UNE RENCONTRE BENEFIQUE.

13 minutes de lecture

Solveig et Anton fixe le tapis de ronces juste devant

eux et se demandent ce que cette chose fait ici. Cela

n’a pas l’air maléfique d’après lui, mais ça ne lui dit pas

pourquoi c’est là. Ils sont interrompus dans leurs

pensées quand quelqu’un les interpelle:

« - Bonjour ! Ils lèvent la tête et aperçoivent un petit

groupe de voyageurs en face d’eux.

- Bonjour. répondent-ils en même temps.

- Vous n’auriez pas rencontrer des voyageurs perdus par

hasards ? ils sont neuf. reprend l’individu.

- Ils doivent pas avoir l’air très forts et malins! continue une

autre.

- On recherche mes compagnons de route mais n’écoutez

pas cette fille, elle ne sait que se moquer des gens. » termine

ce dernier.

Solveig et Anton viennent de croiser la route de Zia,

Maëlo et le voyageur. Anton leur dit de faire attention

au tapis de ronces, ce que les trois compères n’ont pas

encore remarquer. Ils se rejoignent et parlent de leur

présence en ces lieux. Maëlo propose de faire équipe

pour régler le problème de chacun. Anton est

naturellement doué pour reconnaitre les mauvaises

personnes et accepte, en demandant à son amie si elle

est d’accord. Elle n’y voit aucun inconvénient et a confiance

en son jugement.

A ce moment-là, les esprits du feu et de l’eau ne sont

pas visibles à l’œil nu et décident de faire profil bas, en restant

à l’abri dans les vêtements de leurs invocateurs. Zia fait

remarquer à Maëlo que c’est une bonne équipe parce qu’ils

discutent avant de faire un choix, visant son ami. Maëlo trouve

que l’objectif de Solveig et son équipier est plus dangereux

que le leur, et se demande s’ils vont y arriver. Au contraire, Zia

est ravie d’avoir enfin un défi à sa portée et trouve cela bien

plus intéressant. Ils décident alors de trouver le problème de

cette forêt lugubre, ainsi que le sauvetage des équipiers du

voyageur. D’après Anton, il y a peut-être un lien entre leur quête

respective. Surtout qu’une fois le lieu purifié, ils auront la

végétation de leur côté, ce qui est loin d’être négligeable.

Ils commencent à se présenter brièvement, se sentent

assez à l’aise les uns avec les autres. Mis à part Zia qui garde

son côté parano, très utile jusqu’à présent. Elle ne les sent

pas mauvais, mais préfère rester sur ses gardes au cas où.

Après quelques temps de recherche, ils trouvent enfin la

source du problème. L’endroit même où le sort maléfique a

pris racine. Anton propose une stratégie pour annuler ce sort.

Le plan est que pendant que Solveig absorbe les effets de la

magie noire directement à la source, Anton essaie d’utiliser sa

magie blanche jusqu’à ce que le sort se brise. Maëlo quant à lui,

devra ériger une barrière magique autour d’eux pour éviter

tout débordement néfaste. Le voyageur qui n’a servi à rien

jusqu’ici est responsable du renforcement magique. Il n’hésite

pas à faire remarquer à Zia qu’elle ne sert à rien maintenant.

Elle lui rappelle qu’il n’est toujours pas remis de ses blessures

et que ça risque de s’empirer s’il continu :

« - Tu pourras toujours surveiller les créatures qui s’approchent ! »

essaie de se rattraper celui-ci. Zia trouve ce petit rattrapage

vraiment limite mais bon, elle préfère passer l’éponge, et s’occupe

des alentours en cas d’attaques venant de l’extérieurs. Nos amis

amorcent leur stratégie et compte sur leur rôle respectif pour venir

à bout de cette malédiction. Après de longues heures, ils fatiguent

sans que le sort n’ait l’air de bouger. Solveig suggère de mieux se

synchroniser car ils n’ont pas le même niveau. Anton acquiesce et

essaie de se synchroniser lui aussi. Epuisé, il décide de continuer

jusqu’à ce qu’il n’ait plus du tout d’énergie. Solveig inquiète,

demande à son ami s’ils ne devraient pas arrêter pour l’instant et

réessayer plus tard. Mais ressentant la souffrance des arbres, il ne

peut se résoudre à arrêter.

Alors qu’il épuise presque toute sa réserve, il ressent une autre

magie. Le sort commence à se briser et Solveig encourage son

équipier à terminer ce qu’ils ont commencé. Cinq minutes après, le

sort se brise, laissant échapper une fumée verdâtre brillante qui

se propage tout autour. Les magiciens ont l’air épuisés, en

particulier le petit guérisseur qui a tout donné, il lui reste juste

assez d’énergie pour se déplacer. Progressivement, la forêt retrouve

son éclat d’antan, laissant nos amis bouche bée. Janis et les siens

n’avaient pas mentis, c’est vraiment magnifique. La végétation si

ténébreuse et repoussante jusqu’à présent est devenue une

merveilleuse forêt. Anton regarde le voyageur et celui-ci lui sourit

en disant qu’ils peuvent maintenant chercher ses compagnons dans

une meilleure ambiance.

Ils commencent à chercher un peu partout, toujours éblouis par

la beauté du lieu et croisent des fées qui les remercient de les avoir

libérés de ce sort maléfique. Ils ne trouvent personne et en

reviennent au tapis de ronces. Rien n’avait changer de ce côté-là.

Solveig commence à se dire que c’est peut-être lié aux égarés. Zia

parle alors du mur de roses qu’ils ont rencontrés dans la caverne

qui a l’air de mener juste en-dessous de ce tapis. Ils partent tous

ensemble devant ce mur en restant à bonne distance. Cette fois, le

voyageur ne risque pas de s’approcher du mur au risque de se

retrouver dans la même situation qui l’a mené à ses blessures.

Solveig se souvient de livres qui se trouve dans la bibliothèque de

sa famille et connait la formule magique pour annuler tout ça.

En effet, les équipiers du voyageur sont tombés vers le tapis de

ronce et un mur de roses s’est ensuite élevé pour une raison

inconnue ; sûrement pour les empêcher de partir s’est dit Solveig :

« - Tu as besoin d’aide ? demande Anton.

- Non merci, reposes-toi, ce sera du gâteau. Magie noire contre

magie noire, qui gagnera ? haha c’est moi ! » annonce Solveig,

assez amusée par la situation.

Elle lance alors un sort de magie noir, qui dissocie la synchronicité

végétale. Les fleurs se retirent dans les parois et le tapis de ronce

disparait :

« - Enfaite, le tapis de ronce que j’ai pris pour des serpents ne sont

que les épines de ces roses! » dit-elle fièrement et toujours avec le

sourire.

La vue est enfin dégagée et nos amis continuent leurs

recherches. Zia n’en revient pas que ce soit aussi facile pour

Solveig de passer le mur d’épines, alors que les trois types de

niveau élevés ont pris la poudre d’escampette. Pourtant,

d’après leur discussion, ils affirment être tous deux de niveau

un. Elle compte leur demander des explications plus tard,

une fois cette situation résolue. Ils aperçoivent un feu de

camps pas très loin, et le voyageur se ruent vers celui-ci.

Ses neuf compagnons étaient tranquillement assis autour de

ce feu, attendant que quelqu’un vienne les secourir. Ils se

rejoignent et s’enlacent en pleurant tous en chœur, étonnant

les autres :

« - Un parfait groupe de boulets… » désespère Zia en mettant

sa main sur sa figure, croyant avoir tout vu.

Elle remarque néanmoins que certains ont un air de famille,

et devient nostalgique quant à ses anciennes quêtes familiales,

mais détourne le regard avant d’être aperçue avec cette tête

non imposante. Cette fois, c’est Maëlo qui guide tous ce beau

monde vers l’extérieur, ce qui les arrange bien, car les rescapés

bien lotis ne connaissent pas le chemin. A vrai dire, Solveig et

Anton non plus puisqu’ils viennent à peu près de la direction

opposée. Zia le laisse faire et préfère admirer le nouveau

paysage, plus reposant, au point de penser à une petite sieste

sur place, s’il n’y avait pas d’étrangers avec eux. Kaiser et Aqua,

toujours invisibles sauf aux yeux de leurs invocateurs, sortent

de leur cachette pour profiter du nouvel environnement.

Anton remarque que le fameux voyageur suit les deux

esprits du regard, même si cela se fait brièvement. Cette

parenthèse ne l’empêche pas de continuer à parler à ses

compagnons retrouvés, qui n’hésitent pas à lui répondre.

Ils racontent comment, en faisant leur test de courage, ils

se sont faits capturés et enfermés. Ils avaient si peur de

mourir, qu’ils s’étaient promis de prendre de grandes

vacances pour se remettre de leurs émotions, et éviter

de reproduire cette bêtise à l’avenir, ainsi que de profiter

au maximum de leurs semblables, ce que le mystérieux

voyageur approuve.

Zia les juge encore intérieurement de leur cas désespérant,

mais se dit que le point positif est qu’ils ont au moins

compris une leçon importante. Plus de peur que de mal

apparemment, ce sont des gens vraiment chanceux. Juste

avant de sortir de la forêt, les deux esprits rejoignent

rapidement leurs invocateurs. Solveig sourit en pensant qu’ils

donnent vraiment l’impression d’être des enfants, ce qui

l’amuse. Ils ressortent tous de la forêt en remerciant Maëlo de

les avoir guidés. Le groupe de voyageurs repartent vers leur

village natal, soulagés de s’en être sortis, en remerciant

profondément Zia et son ami, précisant que sans eux, ils

n’auraient jamais pu rentrer en un seul morceau. Zia dit

simplement de faire attention à l’avenir, précisant qu’elle est

contente que tout soit enfin terminé. Maëlo propose de

retourner au village où ils ont acheté leur équipement pour

prendre une douche et se reposer. Zia craint que quelqu’un

ne les empêche encore d’avancer et suggère plutôt de

reprendre la route.

Mais Maëlo est difficile au niveau de l’hygiène corporelle

et insiste en disant qu’elle pourra se désaltérer à la taverne.

Peu convaincue mais ayant faim et soif, elle cède une fois de

plus. Solveig regarde son ami qui devine tout de suite qu’elle

aussi a faim. Ils se dirigent donc tous les quatre au village

Villeurzieu. Zia est tout de même soulagée d’être enfin

tranquille et ne plus être entourée de personnes

dérangeantes. Même mieux, La nouvelle compagnie est

plutôt plaisante, et elle peut enfin se permettre de souffler

un peu en tapant la discute. Quoi de mieux qu’une bonne

compagnie pour apaiser les esprits.

Après tout, ils voulaient tous voyager partout dans le

monde. Ils commencent à parler de leur petite vie d’avant

leur rencontre sans aller dans les détails, car ce n’est pas

comme s’ils se connaissent depuis des lustres. Au fil de la

discussion, ils ont l’air de très bien s’entendre, proposent

donc de faire équipe sur le long terme et voir ce que ça

donne. Au pire, si cela ne leur convient plus à un moment

ou à un autre, ils n’auront cas se séparer tout simplement.

Nos amis prévoient donc de s’inscrire au bâtiment des

voyageurs en tant qu’une seule équipe dès qu’ils seront

arrivés. De toute façon, aucun des deux duos ne veut faire

partie d’une guilde, donc une équipe est largement suffisante.

Ils commencent à dévoiler leurs objectifs et rêves respectifs,

chacun impressionné par les dires des autres.

Des profils si différents avec autant de motivation les uns

des autres :

« - C’est super excitant cette histoire, ça promet ha ha !

s’enflamme Solveig.

- Tu m’étonne, j’aurais jamais cru ça possible vu le faux

départ qu’on a eu niark ! poursuit Zia, dans le même état.

- Ha ha, elle s’ennuiera beaucoup moins maintenant que Zia

a trouvée avec qui parler de bataille. souffle Maëlo un peu

gêné, tout en souriant.

- Ça fait plaisir à voir ! J’espère qu’on va bien s’entendre et ça

a l’air plutôt bien parti ! » déclare Anton souriant lui aussi,

amusé par la situation, de son calme naturel.

En arrivant au dit village, tous les quatre s’inscrivent

officiellement au bâtiment en tant qu’équipe. Les filles

n’ont qu’une hâte, c’est de passer à la taverne du coin,

afin de se restaurer et s’hydrater. Maëlo leur demande

s’ils boivent de l’alcool, et répondent que non. Zia est

donc la seule à en boire, mais cela ne la perturbe pas le

moins du monde et propose de les guider, puisque c’est

une habituée, et qu’elle a droit à des réductions pour sa

fidélité. Une fois lancés, ils racontent plus en détails

certains passage de leur vie. Ils comparent aussi leurs

pass voyageurs et sont tous intéressés par celui de leurs

nouveaux compagnons de route :

SOLVEIG

Statut : Comte.

Classe principale : Assassin. 1/10

Classe secondaire 1 : Alchimiste. 8/10

Classe secondaire 2 : Enseignante. 1/10

Classe secondaire 3 : Voleuse. 4/10

ZIA

Statut : Barbare.

Classe principale : Barbare. 8/10

Classe secondaire 1 : Barde. 7/10

Classe secondaire 2 : Apothicaire. 3/10

Classe secondaire 3 : Nourrice. 0/10

MAËLO

Statut : Paysan.

Classe principale : Mage. 2/10

Classe secondaire 1 : Queux. 2/10

Classe secondaire 2 : Marchand. 7/10

Classe secondaire 3 : Camériste. 0/10

ANTON

Statut : Pantin.

Classe principale : Séraphin. 1/10

Classe secondaire 1 : Artisan. 5/10

Classe secondaire 2 : Masseur. 7/10

Classe secondaire3 : Fossoyeur. 5/10

Zia demande à Solveig comment elle a fait pour être

au statut de noble, et celle-ci répond qu’elle est

directement née avec ce statut grâce aux siens.

Contrairement à ce qu’elle pense, Zia ne commente pas

désagréablement, et dit juste que chacun a sa vie. Elle lui

retourne donc la question, et Zia répond qu’elle a

enchainée les raids de donjons, quêtes de haut niveau,

et quelques évènement bien gratifiants. Les garçons plus

discrets, ne semblent pas poser de questions sur leur

statut, c’est donc aux filles d’intervenir pour se renseigner

à ce sujet. Solveig commence par Maëlo, et celui-ci avoue

que c’est un enfant d’artisan qui n’a pas de grandes

batailles à son actif comme son amie.

Solveig dit alors que ce n’est pas elle qui va le juger. Zia

demande alors à Anton comment est-ce qu’il a bien pu

accumuler des dettes à son âge, à moins qu’il se soit fait

arnaquer. Anton sourit et répond que son statut actuel est

grâce à son amie, ce qui étonne les deux autres, n’hésitant pas

à la fixer bizarrement. Il rajoute que sinon il serait encore bloqué

dans leur village en tant qu’esclave, avec sa famille encore sur

place, à continuer les corvées. Zia s’enflamme en disant que ça

c’est de la motivation, et que faire équipe est la meilleure qu’ils

puissent faire, délirant sur leurs probables futures batailles.

Ils discutent ainsi un bon moment avant de sortir de la taverne,

pour se diriger vers l’auberge où se trouve Maëlo et son amie.

Solveig paye une chambre pour deux, étonnant Zia et son ami,

qui eux, ont pris une chambre séparée. Solveig justifie que même

avec des lits séparés, ils se rassemblent avant de s’endormir, car

ils ont un lien de cœur fraternel, bien que cette idée ne soit pas au

goût de tout le monde. Zia pense alors à ses semblables qui

dorment tous ensemble, après une buverie et rigole pensant qu’au

moins ces deux-là n’en ont pas besoin. Chacun se rend dans sa

chambre en se souhaitant une bonne nuit de sommeil, car ils doivent

repartir à l’aube. Zia ne se fait pas prier pour se prendre un petit

bain avant de roupiller sans demander son reste. Maëlo, lui, se

prend un bon bain moussant pendant un bon moment avant de

sortir et s’habiller d’une des nombreuses tenues offertes par sa

famille. Evitant de poser le regard sur certaines d’entre elles,

tellement ça le gêne. Il s’endort ensuite en pensant à eux.

De leur côté, et après avoir chacun pris leur bain à la suite, ils

s’installent dans leur lit et papotent de leur journée riche en

émotion. Les esprits prennent part à la discussion et sont étonnés

qu’ils se soient si vite liés d’amitié. Solveig est surexcitée et

demande à Anton de l’aider à se calmer, sinon elle ne pourra pas

s’endormir. Il impose alors son énergie dans la pièce afin de

l’apaiser, ce qui fonctionne petit à petit, se laissant emporter par

son énergie. Elle précise que c’est génial de s’être liés d’amitié

avec des gens pareils, car les personnes avec une essence comme

la leur n’est pas fréquente par les temps qui court. Son ami

acquiesce et en profite pour parler de la faveur que les guérisseurs

du camp leur ont demander à propos de la forêt qu’ils ont réussis à

libérer. Solveig promet de leur envoyer un message à ce sujet juste

avant de partir le lendemain. Puis elle voit l’air interrogateur de

celui-ci. Anton repense à ce qu’il s’est passé au moment où le sortilège

s’est brisé. Il n’hésite pas à lui parler la magie extérieure qu’il a

ressenti à ce moment-là. Il commence à réfléchir à cette question,

mais Solveig l’arrête dans sa lancée prétextant qu’il aura tout le loisir

de ruminer là-dessus plus tard, parce qu’elle ne sait pas se calmer

comme il le fait si bien. Elle suppose néanmoins que si c’était maléfique,

la personne ne se serait sûrement pas donner la peine de les aider et

aurait attendue qu’ils s’épuisent avant de faire quoique ce soit.

Il acquiesce disant qu’ils verront bien ce qu’il se passera par la

suite. Solveig pense que c’est une chance d’être tombés sur leurs

nouveaux camarades, car cela leur donne un nouvel objectif, le

village de grands mages puissants, Blackchill. Surtout que pour

leur classe principale, ils doivent maitriser beaucoup de choses

pour passer au suivant. Elle espère y trouver un peu de tout sur

place, car c’est un endroit excellemment bien réputer pour évoluer.

Ce n’était pas prévu dans leur programme, mais après tout

pourquoi pas, ils n’ont rien à y perdre, juste du bénéfice. Anton est

d’accord avec elle et espère lui aussi, en profiter au maximum.

Solveig s’endort petit à petit, jusqu’à partir au pays des rêves.

Malheureusement pour Anton, il repense encore à cette histoire de

magie extérieure. Il est quasiment sûr que ça émanait du

mystérieux voyageur. Il a même l’impression qu’il s’est rendu compte

qu’il l’a remarqué, à moins que cela ne soit qu’une simple coïncidence.

A la suite de quoi il se pose beaucoup de question pendant assez

longtemps. Aqua lui rappelle qu’il doit dormir pour être opérationnel

le lendemain matin. Il s’allonge donc, étant d’accord avec sa logique,

puis ferme les yeux. Aqua souffle de soulagement. Mais celui-ci rouvre

les yeux pour dire que si c’est un ennemi, pourquoi est-ce qu’il voudrait

les aider. Aqua le regarde assez dépiter, ne sachant pas quoi faire pour

l’endormir. Kaiser s’approche alors pour émettre d’autres hypothèses

qui amènent à se poser encore plus de questions. Aqua rouspète

déclarant qu’il ne fait qu’empirer les choses, mais celui-ci ne s’arrête pas

en chemin et force Anton à réfléchir de plus belle. Au bout d’un moment,

Anton s’endort calmement en regardant les étoiles. Kaiser confie que c’est

ce qu’il faisait avec un de ses anciens invocateurs car à force de forcer, il

s’épuise automatiquement et ne trouve plus de question et réponse

raisonnable, ce qui démotive la réflexion. Après cette brève explication,

ils s’endorment eux aussi, près des deux autres.

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