18* ZONE DE COMBAT ASSEZ FARFELUE.
Notre petite équipe viennent tout juste d’arriver
dans la quatrième et dernière zone de combat et
n’ont qu’une hâte, c’est de retrouver le dernier
gardien à affronter :
« - Aller ! Plus vite on l’aura trouvé, plus vite on
pourra se bastonner ! Youhou ! s’excite Zia.
- Oui, il faut le trouver. Répète Natz plus lentement,
encore engourdi par son dernier combat, qui ne
pense pas briller pendant cette phase cette fois-ci.
- En même temps si tu les fais fuir à chaque fois, on
n’est pas sortis de l’auberge ! se moque Zia.
- J’avoue, je me demande ce que tu leur as fait pour
avoir aussi mauvaise réputation. se plaint Maëlo.
- Euh… mais je n’y peux rien si les gardiens précédents
me connaissent, je ne les connais pas tous non plus !
se défend Natz.
- Enfin, il faut le faire quand même pour énerver les
gardiens comme ça. dit Anton.
- Mouais bof, en même temps, ils sont censés être super
puissant puisqu’ils viennent directement de l’énergie de
la planète non ? Apparemment c’est pas vraiment le cas.
dit Zia, essayant de défendre Natz, maintenant qu’elle
commence à le connaitre.
- Dis comme ça tu n’as pas tort. confirme Solveig.
- En même temps, je pense qu’il y a des gardiens encore
plus puissants qu’eux, n’en demande pas trop non plus
Zia. rappelle Maëlo.
- Et puis tu ne faisais pas trop la maligne devant le golem
la dernière fois. Se moque Anton.
- Hmm… je parle pas aux anciens esclaves ! » dit Zia en
lui tournant le dos.
Anton s’en amuse bien évidemment, connaissant
sa grande fierté. Ils arrivent devant un lac entouré
de galets et d’algues :
« - C’est peut-être un gardien poisson cette fois ?
demande Zia.
- Je ne respire pas sous l’eau. Annonce Natz.
- Aucun d’entre nous d’ailleurs. Poursuit Zia.
- Faut-il assécher l’eau ? cela m’étonnerait. continue
Solveig.
- Qui a une tonne de sel, haha ! Un poisson d’eau
douce ne supporte pas l’eau salée ! Quand il sortira
de l’eau, on lui jettera des pierres pour l’assommer !
éclate-t-elle de rire, amusant la galerie.
- Pas mal celle-là, je l’enregistre ! ricane Natz.
- Ou alors, allons gentiment lui demander de nous
accorder la réussite en échange de notre bienveillance,
mouarf ! se moque Zia.
- Je ne suis pas sûr qu’il appréciera l’initiative ma pauvre.
dit Maëlo.
- Je me demande à quoi il ressemble. dit Zia, s’imaginant
des apparences assez ridicules à son goût.
- En tout cas, s’il y a un lac ici, ce n’est certainement pas
juste pour la décoration. affirme Solveig.
- Je sens quand même une grande source d’énergie
là-dessous. confirme Anton.
- Peut-être une forme d’animal marin. lance Natz.
- Bravo professeur, on l’aurait jamais deviné. embête Zia.
- Ravi de te l’apprendre petite furie. » dit-il en tirant la
langue, que Zia renvoie à son tour.
Maëlo et Solveig balance des petits sorts dans le lac
pour essayer de repérer le gardien mais sans résultat.
Anton utilise ses dons naturels, mais n’arrive pas à le
localiser précisément :
« - Il est rapide, normal vu qu’il est dans son élément. »
dit Anton.
Zia tapote alors l’eau avec un bâton comme pour attirer
les poissons, ce qui fait rire ses camarades. Elle arrête
rapidement et commence à proposer de lancer des
appâts pour l’attirer. Ils commencent à lancer des vers
trouvés par-ci par-là, des algues séchant à l’extérieur du
lac, mais sans résultats. Natz étant déjà épuisé, préfère
les laisser faire, et attendre patiemment que les choses
se passent. Espérant ainsi récupérer un minimum
entre-temps. Ils attendent trois petites minutes avant de
se rapprocher du bord, afin de trouver d’autres solutions.
D’un coup, des tentacules sortent du lac pour les attraper,
mais tous les esquives. Sauf Maëlo, qui n’a pas assez
d’expérience de combat, laissant échapper un petit cri
avant de se faire engloutir dans le lac :
« - Maëlo ! » s’exclame Zia avant de plonger dans le lac.
Solveig lance alors un sort qui leur permettent de se
déplacer rapidement sous l’eau en précisant que cela ne
durera pas plus de deux minutes. Anton quant à lui,
rassemble des algues, les mets sur leur bouche en lançant
un sort pour respirer sous l’eau, précisant que celui-là dure
cinq minutes. Ils plongent à leur tour pour retrouver les
deux autres. En avançant en profondeur, ils aperçoivent une
espèce de bulle au dernier moment et ne peuvent pas
l’éviter. En la touchant, ils se mettent à tomber et arrivent
au sol :
« - Aie, bobo ! dit Natz.
- De l’air en profondeur ?! s’exclame Solveig en se relevant à
son tour.
- Ils sont juste là. dit Anton en pointant son doigt dans une
direction.
- Un homme pieuvre, génial. Et pas des moindre. » Murmure
Natz.
Des tentacules semblent envelopper Maëlo qui tente de se
débattre en criant, mais sa bouche étant bloquer par l’une
d’entre elle, un simple gémissement se fait entendre. Zia
quant à elle est bloquée par des algues dont elle n’arrive pas
à se débarrasser.
« - Bienvenue à vous ! J’espère que vous êtes plus calme que
ces deux-là. dit calmement le gardien.
- Pourquoi les avoir capturés si on doit vous affronter ?
demande Solveig.
- Oh, il n’arrête pas de brailler et quand je l’ai libéré en lui
demandant de se calmer, il ne s'est pas arrêter. répond-il.
- C’est normal, il a peur. défend Solveig.
- Et elle ? demande Natz, se doutant qu’elle n’aurait pas brailler
comme Maëlo, tellement sa fierté est grande.
- Elle n’écoute rien de ce que je lui dis et veut que je libère ce
brailleur. répond-il.
- Je comprends mieux, c’est bien son style. » répond Natz.
Ils essaient donc de commencer par calmer Zia pour qu’elle
puisse à son tour rassurer Maëlo.
« - Quelle idée de faire ça grrr ! s’énerve Zia.
- Si tu veux qu’on l’affronte rapidement, il va falloir que tu te
calme pour Maëlo. » dit Solveig.
Elle accepte en critiquant le gardien et réussie à calmer le
soi-disant brailleur. Ils les relâchent l’un après l’autre, une fois
qu’ils se soient calmés.
« - On va enfin pouvoir se bastonner ! s’enflamme Zia, en
dégainant une fois de plus sa massue.
- À peine libérée qu’elle en redemande. soupire Anton.
- On a dit affronter les gardiens. rétorque-t-elle.
- Oui c’est vrai, mais pas de quelle façon ! dit l’homme pieuvre
en faisant un clin d’œil.
- Arf. Encore un truc ennuyeux. soupire-t-elle en rangeant son
arme.
- Ne dis pas ça, tu seras peut-être la première à perdre. réplique
le gardien.
- Quelle sera donc l’épreuve si ce n’est pas un combat ? demande
Solveig.
- Ils ont l’air d’avoir la joie de vivre, cela va donc être très difficile
pour eux de tenir longtemps. À part peut-être Natz. Pense-t-il.
- Si c’est de voir qui a le plus de bras, c’est sûr qu’on ne risque pas
de gagner. » Se moque Zia.
Le gardien sourit d’un air sadique en les regardant et montrant
ses tentacules :
« - Houlà, d’un coup ça craint ! dit Solveig d’un ton pas très
rassuré, en se cachant derrière Anton, tout en imaginant des
choses bizarres.
- Je ne te pensais pas comme ça Kaï. dit Natz d’un air assez dégouté.
- J’espère qu’il ne s’en prend pas aux garçons aussi. S’inquiète Maëlo.
- J’espère bien que ce n’est pas ce que vous pensez et qui
commence à me contaminer d’un seul coup. dit Anton qui
commence à penser dans le même sens que ses compagnons.
- Mais n’importe quoi ! Qu’est-ce que c’est que ce dérivement grrr !
ça n’a rien avoir avec vos bêtises ! se vexe le gardien, gêné de leurs
pensées.
- Alors c’est quoi ? demande Zia.
- Hum hum ! Vous devrez tenir deux jours, sans sourire, quelle que
soit la façon. Sourire naturel, forcé ou autres. réussit-il à dire en se
calmant.
- Ne pas sourire pendant deux jours, ce n’est pas un peu trop ? dit
Solveig, qui a l’habitude de sourire tous les jours.
- Vous pourrez recommencer autant de fois que vous le voudrez
pendant la durée de l’évènement. dit-il en souriant.
- Je ne suis pas sûr que je pourrais. dit Anton à Solveig, surtout que
pendant sa vie d’esclave, cela l’aidait à tenir son dur labeur et il en
a pris l’habitude.
- Maëlo aura du mal à retenir son sourire stresser s’il a peur, et je
ne suis pas immunisée contre n’importe quoi. se dit Zia, en
observant ses tentacules.
- Si ce n’est que ça, pourquoi pas. dit Natz, sûr de lui.
- Si l’un de vous sourit, vous serez hors-jeu, jusqu’à ce que le
dernier membre de l’équipe réussisse ou échoue. Dans ce
dernier, vous recommencerez tous. sourit-il encore.
- Pas de règle particulière ? demande Solveig.
- Pas de combat ! dit le gardien.
Anton regarde ses tentacules et demande si les
chatouilles sont autorisées :
« - Evidemment ! s’amuse-t-il.
- Hein ?! mais ce n’est pas juste, tu as plein de tentacules,
c’est de la triche, j’espère au moins que tu te tiendras
bien ! » s’indigne Solveig, en mettant ses mains sur son
corps, en signe de protection.
Agacé par ses insinuations, il précise qu’il est surveillé par
la planète elle-même donc ne peut se permettre le moindre
écart de la sorte, ce qui la rassure directement :
« - Et toi tu as le droit de sourire ? demande Anton.
- Ce n’est pas de la triche, et si je n’avais qu’un seul tentacule
ça ne ferait pas très classe. Et, oui mon grand, seuls les
voyageurs n’ont pas le droit de sourire. » s’amuse-t-il.
Solveig le regarde d’un sale air mais est prête à relever le
défi.
« - Un tentacule t’irais très bien, j’en suis sûre ! tire-t-elle la
langue.
- Euh et on est obligés de rester ici ? demande Maëlo.
- Oh bien sûr que non, mais dehors les températures sont
extrêmes. Vous pouvez visiter les environs avant de
commencer, d’ailleurs, je vais vous faire visiter moi-même
sur le champ, ce ne sera pas drôle sinon. » dit-il, en regardant
Zia d’un petit air.
- Ce n’était pas si extrême que ça ! rétorque Solveig.
- C’était un sort de bienvenue ha ha ! Retournez dehors et
vous verrez, le sort s’est annulé quand vous êtes entrés ici.
explique-t-il.
- Je ne veux pas essayer non plus. » dit Solveig, qui ne voit pas
l’intérêt pour lui de mentir.
Une fois le top départ annoncé, ils se dispersent tous
pour gagner du terrain et rendre la tâche difficile au gardien
de les retrouver. Le gardien s’amuse en essayant de les
débusquer mais se rend vite compte qu’il n’obtient rien de
concret. Le plan d’Anton fonctionne pour le moment. En effet,
il ne peut pas les avoir tous en même temps, s’ils sont tous
éloignés les uns des autres :
« - Ils jouent la carte du gain de temps, pas mal. Mais insuffisant. »
se dit le gardien.
Son plan est de se tenir le plus longtemps possible hors de portée
du gardien. En deux jours, il se doute bien que le gardien peut les
retrouver, donc chacun doit tenir le plus de temps possible face à
ses assauts. Il décide de se focaliser en premier sur Maëlo, le plus
inexpérimenté du groupe. Malheureusement pour lui, celui-ci réussi
à se camoufler grâce à sa magie :
« - Pas si inexpérimenté le petit ! » s’exclame le gardien,
agréablement surpris de la petite résistance dont il fait preuve.
Malgré tout, il le retrouve quand même un bon moment après le
début de ce petit jeu :
« - Maëlo, perdu ! annonce-t-il.
- Désolé ! dit Maëlo d’un air dépité.
- J’ai juste eu à lui faire peur pour qu’il me lâche un sourire forcé.
se dit-il.
- La résilience n’est pas donnée à tout le monde. » assure Kai.
Le gardien décide de les trouver au hasard cette
fois, car il ne les connait pas réellement. Ces derniers
arrivent à se cacher de lui, bien que Zia n’apprécie pas
du tout cette méthode. C’est comme fuir son adversaire,
chose qui est inconcevable pour des barbares. Mais elle
prend sur elle pour le bien de l’équipe. C’est au tour
d’Anton d’être retrouvé. Il lutte tant bien que mal contre
les terribles paroles du gardien. Il pense avoir trouver le
point faible d’Anton en essayant de lui arracher un sourire
sincère qui peut rassurer des personnes dans une
situation difficile. Celui-ci essaie de boucher ses oreilles
mais le gardien l’en empêche et continue ses assauts
verbaux répétés :
« - Anton, perdu ! annonce-t-il.
- Je m’excuse. dit-il d’un sourire gêné.
- Ça prouve ta bonté d’âme. » lui sourit-il avant de reprendre
la chasse.
Au tour de Solveig d’être démasquée, mais elle essaie
comme elle peut de l’esquiver, puis de le bloquer en lançant
des sorts sans entamer le combat :
« - Ho ho ! pas mal l’astuce, utiliser la magie sans se battre ! »
s’amuse-t-il.
Mais comme les deux autres, elle finit par sourire
d’amusement :
« - Solveig, perdue ! annonce-t-il.
- Pardon, je me suis laisser emporter. s’excuse-t-elle presque
honteuse.
- Ne t’inquiète pas, on a fait de notre mieux. rassure Anton.
- C’est important la joie de vivre. » assure le gardien, avant de
repartir une nouvelle fois.
Il décide cette fois de se focaliser sur Natz. A trois heures de la
fin, il réussit à le bloquer dans un cul-de-sac :
« - Pas facile de ne pas combattre, pas vrai mon petit Natz ! se
moque le Kai.
- Comme si ça allait changer grand-chose ! dit-il nerveusement.
- Tu plaisante ? je sais pourquoi tu as toujours évité mes
tentacules… dit-il, sûr de lui.
- Pff t’en sais rien du tout. réplique-t-il.
- Tu es… très câlin, et tu sais que je peux changer mes chatouilles
en super câlins mouahaha ! ne dis pas l’inverse, c’est notre
créatrice qui me l’a confié ! sourit-il sadiquement.
- Celle-là… dit-il, parcouru d’un frisson d’effroi, et trop fier pour
l’admettre.
- Tu aurais dû accepter son offre, tu n’en serais pas là ! se
moque-t-il.
- Hors de ma vue. dit-il nerveusement, en reculant pour la première
fois devant les gardiens.
- Je lui ai juste promis que je ne ferai pas ça en public! » sourit-il.
Natz réussi à esquiver ses captures pendant quelques
minutes, mais succombe lui aussi au gardien :
« - Natz perduuuu ! sur un ton jubilatoire.
- J’enrage. s’étrangle Natz tout rouge.
- Revanche largement prise ! jubile-t-il avant de chercher la
dernière personne.
- Défonce le Zia, c’est la dernière heure ! » crie Natz.
Une demi-heure avant la fin, il ne réussit pas à la retrouver,
ce qui étonne tout le monde, elle qui ne se cache jamais
d’ordinaire. Au bout de vingt minutes, il se dit que ce n’est pas
possible que lui, n’arrive pas à la retrouver.
Un quart d’heure avant la fin, il s’arrête et rit aux éclats :
« - Il devient fou parce qu’il ne la retrouve pas ? demande Maëlo.
- Ça m’étonnerais ! répond Natz.
Le gardien regarde vers le haut, sort et traverse la bulle :
« - Sortons aussi, on est plus dans le jeu, il a dû remettre le
sortilège pour qu’on puisse résister aux températures
extérieures ! s’exclame Anton.
- Mais elle est folle, on a dit extrême quand même. » dit Solveig.
Le gardien arrive en dehors du lac et aperçoit Zia debout et a
découvert, résistant difficilement au froid extrême environnant :
« - Quelle résistance. Fallait y penser, et surtout, avoir le courage
de le faire. » dit-il calmement.
« - C’est… pas…mon…truc…de…me…cacher… » dit-elle, tremblant
de froid.
« - Hm ! Je vois ça ! » sourit-il.
Il fonce sur elle à grande vitesse, mais celle-ci n’a pas l’air d’essayer
de l’éviter. Il s’arrête donc juste devant elle :
« - Serais-tu donc paralysée par le froid, pour ne pas m’esquiver ?
ricane-t-il.
- P…p…peut-être…hé…hé… ! » tente-t-elle de prononcer, en
maintenant son visage de marbre.
Il commence à la chatouiller, mais ne réussit pas à lui arracher
son sourire. Elle devient de plus en plus rouge à force de
supporter cette torture. Progressivement, il augmente le
nombre de tentacules, jusqu’à toutes les utiliser. Elle semble
alors fumer tellement ses terribles chatouilles lui font de l’effet.
A la fin du temps imparti, il n’a pas réussi à lui faire sourire une
seule fois. Il se demande comment est-ce que quelqu’un comme
elle a-t-elle bien pu se retenir autant avec ces chatouilles
imparables. A la fin de l’évènement, le gardien annonce le résultat :
« - Zia, gagnée. dit-il.
- Défi… réussi… ha ! » s’exclame Zia, toujours morte de froid.
Il lui remet automatiquement le sort pour le changement de
température puisque le défi vient de prendre fin. Après quelques
instants, elle avoue s’être servie du froid pour garder son air
sérieux, laissant son visage se figer :
« - Votre équipe est autorisée à continuer vers la prochaine épreuve.
dit-il assez surpris du résultat.
- Yahou ! Et voilà le travail ! s’enflamme-t-elle.
- Félicitations, et bonne chance ! » dit-il.
Il fait part des résultats obtenu pour qu’ils puissent
s’en servir afin de s’améliorer. Il tient également à féliciter
Zia pour son ingéniosité et sa capacité à se surpasser tout
le long de l’épreuve, car très peu auraient oser faire ce
qu’elle a fait. Il prévient néanmoins de faire attention de
ne pas se surestimer au risque de se blesser inutilement.
Elle lui répond que se surpasser n’est pas se surestimer,
mais chercher à sortir de sa zone de confort pour
progresser en affrontant ses peurs. Une lueur verte
apparait pour leur prochaine zone de téléportation. Zia
prévient tout de suite qu’il ne faudra pas compter sur elle
pour les énigmes, ce qu’ils approuvent automatiquement.
Après un petit moment, ils décident de se lancer vers la zone
suivante. Quelles énigmes les attendent ? Ils ne tarderont pas
à le découvrir.
Annotations