23* ENTRAINEMENT ET RECHERCHE INTENSIVE.

13 minutes de lecture

Aux premiers rayons du soleil, et après un bon

repas animé, les cinq amis commencent leur journée

chacun de leur côté. Zia se précipite vers son lieu

d’entrainement encore la bouche pleine de nourriture,

gourde d’eau à la main. Aujourd’hui, c’est toujours Hyek

qui l’entraine. Et à peine arrivée qu’elle s’empresse de

sortir son épée, juste après les salutations. Sa joie de

vivre leur donne du baume au cœur :

« - Toujours aussi motivée à ce que je vois ! dit Hyek, en

lui montrant immédiatement la technique de la veille.

- Toujours ! » dit-elle en observant la démonstration de

son mentor, avant d’essayer de la reproduire.

Elle ne compte pas abandonner dès le début, surtout

qu’elle se sent comme chez elle. Petit à petit, elle

commence à comprendre le fonctionnement de la

technique et arrive à combiner sa magie avec son épée,

même si ce n’est pas encore parfait, et que cela se voit à

vue d’œil. Sous les consignes de son mentor, elle tente de

casser le petit rocher pas loin d’elle mais n’arrive qu’à le

fissurer :

« - Ce n’est pas encore ça, mais c’est un bon début. Dit-elle.

- Concentre mieux ta magie sur toute la surface de ton

arme, et maintiens-la. » lui dit le professeur.

En suivant ses instructions, elle s’aperçoit que la magie

est instable et que de temps en temps, elle se dirige plus

sur une partie qu’une autre. Trop aléatoire pour appeler ça

une technique pour le moment, mais elle fait de son mieux

pour la maitriser. Plus tard, Hyek propose de faire une pause,

et profiter de cette occasion pour débriefer de la matinée.

D’après lui elle s’en sort très bien, même si elle ne s’en rend

pas compte. C’est le lot des barbares de toujours en vouloir

plus que de raison, mais assure que dans ce village, ils ont

dépassé ce stade en s’adaptant comme ils le peuvent. Dès

qu’ils reprennent leurs activités, elle se concentre de toutes

ses forces vers la réussite de son objectif actuel. A un moment,

Hyek doit s’absenter et lui demande de continuer sans lui, car

ce qu’elle fait n’est pas dangereux pour l’instant. Il lui promet

de revenir pour continuer son enseignement, ce qu’elle accepte,

toujours concentrée sur sa technique.

Pendant ce temps, Maëlo n’est toujours pas en entrainement

et profite du paysage du village en se détendant. Il en profite

pour se dégoter des livres de recettes qu’il n’a toujours pas lu.

Il visite plusieurs boutiques et s’aperçoit que les livres de cuisines

pullulent dans les environs. C’est un grand dilemme pour lui, car

il les veut tous, mais n’a pas le luxe de pouvoir tous se les

acheter. Et même s’il y arrive, il n’est pas sûr que son inventaire

ait assez de places libres pour tout ça. D’ailleurs, si les livres

prennent toute la place, il suffit qu’il tombe sur un objet intéressant,

pour devoir le laisser sur place, chose qu’il risque de regretter par

la suite. Il cherche alors une solution pour pouvoir tous les assimiler

d’une façon ou d’une autre, mais pour le moment, tout ce qu’il

arrive à faire, c’est chou blanc.

Le temps passe, et il pense enfin avoir une idée qui se tient.

Il en achète plusieurs, puis les lis dès qu’il le peut. Petit à petit il les

remplace, en vendant ceux déjà assimilés. Et s’il peut les échanger

contre d’autres livres, c’est tout bénéfique. Fier de son idée hors du

commun, il se rend compte que c’est bientôt l’heure de son

entrainement, et remet ses achats à plus tard, se dépêchant de se

rendre sur son lieu d’apprentissage. Il arrive sur place dans les

temps et son professeur est ravi de le voir arriver à l’heure, preuve

que c’est un garçon motivé, malgré ses interrogations de la veille.

Le mage commence par énumérer différentes magies que lui-même

compte lui inculquer :

« - Alors ce que nous allons t’enseigner, bien sûr on en avait parler

entre nous, ce sera la magie des éléments à un niveau élevé utilisable

en cuisine. Ensuite, il y aura celle de la matérialisation. Tout bon

restaurant se doit d’avoir une bonne décoration et de bons outils

de travail, sans compter ceux des clients. Je ne t’apprendrais aucune

technique de téléportation, car c’est totalement inutile en cuisine. Et

si tu le désires vraiment, demandes à Natz de te l’enseigner, il s’est

spécialisé dans cette catégorie ce chenapan. Celle également de la

vérité. Certains clients sont de mauvaises foi et grâce à cette magie,

il te sera facile de les détecter, même les restaurateurs déguisés

malsains envers toi et ton futur restaurant. Je pense que c’est tout.

Ah oui, et de temps en temps on te filera quelques astuces de nos

expériences respectives en tant que queux. » Annonce-t-il

sérieusement, avec un clin d’œil en fin de discours.

Maëlo pense que ça a l’air plutôt strict, mais cela lui plait, et accepte

avec plaisir les conditions qui ne sont aucunement négatives.

Anton reprend son entrainement avec Astavia, qui n’offre

aucun cadeau envers son premier élève :

« - La magie se visualise, la magie se ressent, elle se déverse à flot,

et savoir l’utiliser est tout un art. Concentre-toi sans te crisper

quel que soit la situation. Même les plus calmes peuvent

désespérer et faire des tentatives inutiles dû à leur stress. On

se bloque soi-même en forçant la magie à aller au-delà de ses

pensées. Une fois les pensées dépassées, elle ne nous

accompagne plus, elle rejoint la personne qui l’accepte telle

qu’elle est, sans l’exploiter. Dans une situation désespérée, on

pense que la magie nous appartient et on la bloque dans un

espace restreint, alors qu’elle a besoin de liberté, d’être dirigé

sûrement par une énergie stable. Une énergie déstabilisée,

contaminera forcément la magie. Et la magie blanche a besoin de

sûreté, pas de confusion. Quel que soit ton niveau de stress, de

désespoir, l’important est de ne surtout pas bloquer cette magie. La

magie ne nous appartient pas, elle nous améliore, nous aide.

Respecter la magie sous toutes ses formes n’est pas maitrisé par

tous les Séraphins, et c’est bien pour ça que certains s’en

détournent. » explique-t-elle sans se demander si ce qu’elle dit est

la bonne façon d’expliquer ou non.

Anton est subjugué par ses paroles, tellement elles sont

sincères :

« - Elle parait si transparente, et n’a l’air ne faire qu’un avec la

nature. » pense-t-il, en fixant son mentor.

Elle regarde alors et remarque qu’il reste pensif :

« - Il y a un problème ? J’ai peut-être mal expliqué, tu veux que

je réexplique ? » dit-elle en se demandant si elle a fait une erreur

dans son discours, peut-être que ce n’est pas compréhensible

et qu’elle parle trop avec son cœur au lieu de réfléchir à bien

formuler ses phrases.

- Euh, non c’est très bien expliqué ! Enfaite, je suis bluffée par le

niveau de transparence avec la nature. Vous étiez tellement en

phase avec vos paroles et relié à la terre, que j’ai cru vous voir

disparaitre petit à petit, ha ha je suis vraiment désolé, je n’ai pas

l’habitude ! » s’excuse Anton, gêné par la situation dans laquelle

il s’est mis.

Celle-ci rougit et le pardonne en lui demandant de se

concentrer davantage sur son apprentissage. Il accepte en

s’inclinant, avant de continuer ses activités. Elle le trouve

assez étrange dans ses manières de s’incliner et s’excuser

constamment, toujours avec le sourire qui n’a pourtant pas

l’air faux. Au contraire, un sourire naturel et sincère. Solveig

de son côté, recherche des mentors dignes de ce nom mais

n’en trouve aucun qui puisse l’aider. Ce n’est pas qu’ils ne

veulent pas, mais c’est plutôt elle qui refuse, ressentant

certaines pulsions dérangeantes à son égard. Elle ne fait que

penser à celui qui lui a fait peur la veille :

« - En y repensant, je m’énerverais aussi si on ne me répondait

pas après avoir salué quelqu’un. » regrette-t-elle amèrement.

En regardant vers un stand, elle pense l’apercevoir se

dirigeant calmement vers l’angle d’une rue. Elle décide de le

poursuivre, décidée à lui demander de l’aide. Il tourne alors

et disparait de sa vue. Arrivée de l’autre côté, elle ne voit plus

personne :

« - Mince, il a dû croire que je voulais me venger de ce qu’il

m’a fait la dernière fois ! nooooooon ! » s’emporte-t-elle

intérieurement.

Elle ne compte pas lâcher l’affaire et continue dans cette même

rue, espérant le voir à nouveau. Celui-ci sort alors de derrière

un miroir poussiéreux, pas loin de là où elle vient de partir :

« - Ce n’est pas croyable de vouloir se venger de plus fort que

soi, je suppose que c’est la nouvelle jeunesse, même si je suis

encore dans la fleur de l’âge. » dit calmement l’homme en

mangeant sereinement une brochette de fromage encore

chaude achetée à un stand précédent, la regardant disparaitre

au loin.

Il se dirige alors dans la direction opposée à celle-ci sans changer

de rythme.

Plus tard, elle croise Natz se baladant avec quelques membres

de sa famille, en lui demandant s’il n’a pas vu le fameux type

dont elle lui a parlée la veille. Il lui assure que non, lui conseillant

de ne pas le harceler, car les gens du coin n’aiment pas ça :

« - Mais je ne le harcèle pas du tout, je le cherche ce n’est pas

pareil, enfin bref, je le trouverai ! c’est parti ! » s’exclame-t-elle,

changeant de direction, bien motivée.

Un frisson parcourt alors celui-ci, qui espère ne pas avoir affaire

à la personne qu’elle recherche, si c’est vraiment celui auquel il

pense :

« - Tu crois que c’est lui ? demande une de ses cousines.

- J’espère bien que non, je suis peut-être balèze en magie, mais

ça s’arrête là. Répond-il nerveusement.

- Ha ha, et là il vient te demander des comptes ! ha ha ha ! s’amuse

un de ses grands frères.

- Ce n’est pas drôle, je ne veux absolument pas l’avoir sur le dos, il

craint trop. » réplique-t-il encore plus nerveux.

Solveig continue alors de courir dans tout le

village à la recherche du seul mentor qu’elle trouve

digne d’elle, sans rien demander aux passants, ne

voulant pas que ce soit trop flagrant. Elle désespère

de ne pas le trouver, mais sa consolation est qu’il

habite ici, donc elle doit forcément le trouver dans

ces lieux. Elle se remotive aussitôt qu’elle désespère.

Blackchill est vaste, et l’homme mystérieux n’a pas

besoin de se cacher à longueur de temps, surtout

si elle le cherche au mauvais endroit.

Natz se retrouve seul car les membres de sa famille

l’accompagnant, sont partis autre part, à la recherche de

boutiques bien spécifiques pour gaspiller leur argent de

poche, selon celui-ci. Il commence à penser à ce que Zia

lui a parler à propos de renforcer son corps et pense que

ce n’est pas une si mauvaise idée. Mais imaginant

s’entrainer avec les barbares qui risque de lui broyer les os,

il se refuse de leur demander de l’aide. A la base, l’image

qu’il a des barbares n'est pas aussi brutal, mais Zia lui en à

persuader du contraire, depuis qu’il s’est ramasser une raclée

de sa part, même si cela n’a rien avoir avec un combat. Il s’en

souvient encore et ne veut pas que cela se reproduise. Il

cherche alors à savoir comment est-ce qu’il pourrait bien

renforcer sans corps sans souffrir le martyr, avec un très bon

résultat. Il pense alors contacter quelques guerriers pour l’aider,

puisqu’eux aussi s’entraine au corps à corps. Ils sont juste

moins brutaux que les barbares.

Il commence à questionner les guerriers qu’il connait déjà,

afin d’avoir plus d’infos sur un possible programme non violent :

« - On peut te balancer des pétales de roses pour commencer

ton renforcement ! » se moque l’un d’eux sans que Natz ne lui

aborde la parole.

« - Je ne t’ai pas sonné toi, retournes donc taper tes cailloux et

laisses moi tranquille! » réplique-t-il.

Celui-ci rigole à plein poumon, ce que Natz pense être un peu

trop exagéré pour être naturel. Décidant de l’ignorer, il repart

dans sa quête de trouver un bon guerrier sur la même longueur

d’onde que lui. Il pense alors à un ancien guerrier désormais

sellier qui voyage de temps à autre pour vendre quelques-unes

de ses pièces fabriquées par lui-même.

« - Hey salut mon grand, tu t’es enfin décidé à rendre visite à un

pauvre vieillard sans défense comme moi ? » tacle-t-il avec un

grand sourire.

« - Sans défense, ça reste à voir, mais je te salue quand même

l'ancêtre. » dit-il familièrement.

L’ancien guerrier est un homme assez banal ayant les

cheveux et les yeux bruns avec une cicatrice au niveau de

l’œil gauche fait par une arme blanche. Sa couleur de peau

est plutôt marron clair et ne donne pas l’impression de

savoir se battre. Dans le passé, il avait confié à Natz que

cette ancienne blessure était le résultat d’un poignard

d’assassin extrêmement agile qu’il a réussi à battre de

justesse pendant une bataille à mort, chose très rare dans

ce monde. D’ailleurs, ce n’est pas censé être autorisé.

Après quelques politesses, Natz expose sa recherche et

l’homme lui répond positivement. Il ne fait pas parti de ceux

qui se fait violence pour arriver à un résultat traumatisant,

même si l’entrainement peut porter ses fruits. Il propose

d’utiliser sa classe secondaire de sellier dans sa boutique,

afin de le rendre suffisamment endurant pour suivre un

programme pas trop violent par la suite.

Natz a des doutes quant à ses motivations et lui demande

si ce n’est pas juste pour gagner de l’argent sur son dos, mais

celui-ci lui rit au nez, expliquant que c’est un échange de bon

procédé. Il travaille dans sa boutique d’équipement en

échange de l’entrainer non violemment pour renforcer son

corps. Il assure pouvoir établir un super programme

d’entrainement modifiable au fil du temps, selon sa progression.

Et quoi de mieux que de l’avoir souvent à ses côtés pour

analyser ses progrès. Natz n’est pas tout à fait convaincu mais

accepte sa proposition, sachant que sa réputation de guerrier

n’est plus à prouver :

« - Je ne vois pas comment tu vas bien pouvoir analyser mes

progrès dans ta boutique, mais j’accepte ta condition Diggory. »

répond-il calmement.

Cependant, Natz prévient qu’il ne compte pas commencer

tout de suite, et préfère profiter pleinement de sa famille pour

le moment, même si à vue d’œil, il n’a pas l’air accompagné par

qui que ce soit. Amusé par ses paroles, l’homme confie que

cela ne l’étonne pas du tout, car à chaque fois qu’il le voit

accompagné, il se retrouve toujours seul. Pas étonnant quand

on n’a pas les mêmes centres d’intérêts que ses proches. Natz

soupire avouant être tout à fait d’accord avec lui, lui disant être

prêt pour la semaine d’après. Diggory acquiesce en lui

souhaitant une bonne balade. Il repart ainsi à ses occupations,

se disant que la seule personne qui ne le laisse jamais en plan est

son grand-père. Ce n’est pas que ses proches le rejettent, c’est

juste qu’ils ne communiquent pas vraiment de la même façon.

Ils préfèrent donc se séparer pour s’amuser chacun de leur côté

au lieu de s’ennuyer en famille.

A la fin de la journée, Solveig est épuisée de sa recherche

non fructueuse et se jette sur la bonne nourriture cuisinée

par la mère de Natz ainsi que d’autres proches de la famille.

Etant donné que le planning de Maëlo est plus que souple,

il est rentré beaucoup plutôt que ses amis et a mis la main à

la patte lui aussi, de bon cœur, l’occasion d’apprendre de

nouvelles recettes de cuisine :

« - Hmm ! Ch’ est trop bon ! dit Solveig en s’empiffrant comme

à son habitude.

- Ravi de voir que tu as toujours un bon appétit malgré tes

recherches infructueuses! » dit-il.

Elle rétorque qu’elle n’a peut-être pas encore trouvée son

mentor, mais qu’elle n’abandonne pas pour autant, et elle

fera tout pour le retrouver chaque jour qui passe. Natz

rentre avec Anton qu’il a croisé au passage, et tout a l’air

de bien se passer pour eux. Zia rentre quelques minutes

après, affamée. Elle rejoint donc Solveig, qui est toujours

à table.

La nouvelle arrivante lui conseille de changer de mentor

avant de perdre trop temps pour rien :

« - Pas question, c’est lui que je veux ! J’ai fait la bêtise de le

chasser, bien qu’il soit parti tout seul… je ne ferai pas l’erreur

de le laisser filer comme ça ! » assure Solveig.

Plus tard, Zia rejoint une fois de plus Uzforn pour lui parler

du cas de son petit-fils, et celui-ci l’invite à le rejoindre près

d’un feu.

« - Je suis parti aux archives après l’entrainement, mais je n’ai

pas eu accès à ce qui m’intéressais. D’après les bibliothécaires,

il faut être du village pour accéder à toutes les archives. »

explique-t-elle.

« - C’est un peu normal, sinon n’importe qui saurait tout sur

nous. » répond-il en souriant.

Elle lui rappelle alors le pourquoi de son envie de fouiller

les archives, il lui répond donc que peut-être en étant

accompagnée d’un villageois, elle aura plus de facilité à voir

ce qu’elle veut.

Elle rétorque alors qu’elle ne connait personne de ce village :

« - Vraiment personne ? insiste-t-il. Elle réfléchit et le regarde

ensuite.

- Comment j’ai fait pour ne pas y penser avant sérieux… »

se blâme-t-elle.

Il ricane en la rassurant que cela peut arriver à tout le monde :

« - Ta réaction prouve que tu ne veux pas spécialement le

faire en cachette, c’est plutôt bon signe par rapport à tes

valeurs. » lui sourit-il.

« - Oui mais… c’est le principal concerné, je vais lui demander

de m’accompagner quand je le verrai. » rougit-elle.

« - Je suis d’accord ma petite furie ! Je suis content de voir que

tu ne veux pas créer de secret me concernant ha ha ! »

s’exclame Natz, en sortant de sa cachette.

Elle lui fait remarquer qu’il donne

l’impression d’être un mauvais espion

en sortant de nulle part. Se doutant

qu’il se trouve ici depuis le début de la

conversation. Natz lui confirme ses

pensées, mais ne la blâme pas pour

autant. Au contraire, elle essaie de

l’aider de son plein gré, ce qu’il apprécie

particulièrement. Ils se disent alors de

faire un tour aux archives de temps en

temps pour avancer sur le mystère qui

entoure Natz. Pour le moment, ils comptent

passer une bonne soirée pour être en

forme le jour suivant.

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