24* UNE LUEUR D'ESPOIR POUR SOLVEIG.

13 minutes de lecture

Le soleil n’est pas encore levé qu’Anton se

penche sur son programme intensif, sous les

instructions avisées d’Astavia, toute aussi motivée

que son disciple. Voilà une semaine qu’il s’entraine

avec elle et le moins que l’on puisse dire, c’est

qu’elle ne lui laisse passer aucune erreur.

Evidemment, il n’y a aucune violence, mais la sévérité

est là. Ce n’est pas pour déplaire notre jeune ami

qui y voit là un enseignement de qualité. Entre temps,

l’équipe se sont mis d’accord pour ne pas dévoiler

tout ce qu’ils font pendant leur entrainement, afin de

leur laisser la surprise une fois le programme de

chacun terminé. Elle lui apprend avant toute chose le

pilier de la magie d’un bon Séraphin. Ce n’est qu’à cette

condition qu’il peut réussir les premières techniques

qu’elle compte lui transmettre. L’essence même de la

magie blanche qui a tendance à être négligé même des

meilleurs, d’où les mauvaises surprises. Pour ce faire,

elle le met dans des situations de stress extrêmes, avec

très peu de temps de réflexion, voire inexistante.

Sachant qu’il a tendance à paniquer sans un certain

temps de réflexion, elle lui fait travailler ce point en

priorité :

« - Etant donné qu’en général, tu es le stratège de ton

équipe, tu te dois de rester calme en toute circonstance.

Je ne dis pas qu’à la fin de l’entrainement tu seras parfait,

mais ce sera déjà un plus pour toi donc pour ton équipe

également. » explique-t-elle.

Il comprend parfaitement la théorie de ses consignes.

Maintenant, reste à voir la pratique. Tout à l’air de bien se

présenter de son côté.

Aux aurores, Zia se démène déjà pour apprendre ce que

Hyek tente de lui enseigner, avec la plus grande

détermination et reste attentive au moindre conseil donné.

Elle donne tout ce qu’elle a, ce qui n’est pas pour déplaire

son mentor, heureux de voir toute sa hargne. Elle commence

à s’habituer au fait de combiner sa magie de la terre à son

épée, et elle remarque déjà que la magie qui enveloppe son

arme est beaucoup moins aléatoire qu’au début, même s’il y a

encore des signes de faiblesses dans certains endroits. Sa

famille est tellement conditionnée dans le fait de ne pas utiliser

de magie, que ça s’est répercuter dans son esprit. Et c’est

exactement ce que son instructeur tente de casser, car ce sont

des limites imposées dans son éducation qui l’empêche

d’évoluer comme il se doit.

Actuellement, le cas de la magie combinée à une arme lui

ramène à l’image que cela appartienne uniquement aux

guerriers. En cassant ce mythe, son évolution peut grandir

plus rapidement avec plus de liberté d’action :

« - C’est bien, continues comme ça et en moins d’un mois tu

maitriseras cette technique. Et quand ce sera fait, tu auras

beaucoup moins de mal à en maitriser d’autres. Avec ta

personnalité tu feras des ravages, c’est moi qui te le dis ! »

assure-t-il. Flattée par ces paroles, Zia se surpasse davantage

pour réussir.

Au petit matin, Natz commence à aider Diggory à la

boutique. Celui-ci connait déjà le métier et sait déjà à peu près

ce qu’il faut faire. A la différence, c’est que dans cette boutique,

il y a beaucoup d’équipement très lourd à déplacer sans la

magie :

« - Tu ne vas pas me faire croire que tu n’utilises jamais la

magie ! s’étonne Natz, qui avoue avoir utilisé la magie pour ce

genre de travail.

- C’est exactement ça, pas de magie dans cet atelier, ça n’a pas

la même valeur avec et sans magie. C’est vrai que je l’utilise,

mais uniquement pendant la forge et la réparation, pas pour les

déplacements, et tu sais pourquoi ? demande-t-il.

- Franchement non. répond Natz, se demandant si c’est juste

pour l’embêter.

- La magie circule via l’énergie, et l’une comme l’autre, imprègnent

les objets, qui eux même possède de l’énergie. Donc en les

déplaçant avec la magie, on en change forcément la qualité.

explique-t-il.

- Tu vas loin quand même… dit Natz.

- Ah oui, pendant que tu seras ici, interdiction d’utiliser la magie,

ça fait partie de ton programme d’entrainement ! Comme je sais

que tu as du mal avec ton énergie obscure, je vais tout

simplement la bloquer via les objets si tu es d’accord. Ce sera

comme un contrat. demande-il.

- Si c’est possible, d’accord. » répond-il sans connaitre l’existence

de ce procédé.

Il compte d’ailleurs en parler à Zia pendant leur recherche

aux archives, si ça peut faire avancer les choses. Une fois le

contrat établi, il commence à l’aider avec des petites charges

à déplacer. Voyant son employeur porter une grosse armure

qui semble peser des tonnes, il tente à son tour d’en faire de

même avec un équipement similaire, mais n’arrive même pas

à soulever un petit peu, ce qui fait rire Diggory. Il le rassure

disant que ce n’est que le début et qu’il portera des charges de

plus en plus lourdes progressivement, mais que pour le moment

il doit s’en tenir à son programme, faisant rougir Natz qui

s’exécute sans demander son reste. Amusé, son employeur

continue également son travail sans en dire plus.

Dans la matinée, Maëlo commence son entrainement qui lui

correspond parfaitement, sachant que ce n’est pas un acharné

des combats. Son planning est plutôt souple, même si le

programme est de qualité. Il commence dans la matinée, profite

des petites pauses de temps en temps, et termine l’après-midi,

sans oublier les conseils de cuisines qu’on lui donne entre-temps.

Un entrainement vraiment royal comparé à ses amis. Il ne s’en

plaint pas, bien au contraire, cela l’arrange, comme ça il peut

également profiter de son temps libre :

« - J’ai vraiment de la chance dans ce village. L’entrainement n’est

pas facile, mais ce n’est pas non plus le plus intense qui puisse

exister ha ha ! Je le ressens quand même dans tout le corps. On

ne dirait pas mais ça travaille là-dedans. » se dit-il, tout en se

promenant dans les rues de commerces.

Solveig continue sa recherche mais sans aucun résultat. A

courir partout, elle en est tout essoufflée et épuisée de ne toujours

rien trouver. Son ventre gargouille, elle décide donc de faire une

pause pour se restaurer. Elle passe par un lieu déserté des

villageois, car il n’y a rien d’intéressant dans les environs :

« - J’en ai marre de le chercher et j’ai trop faim, je le chercherais plus

tard ! » se plaint Solveig, se dirigeant vers un endroit où se rassasier.

A chaque fois qu’elle le retrouve, il disparait sans crier gare, l’agaçant

au plus haut point, puisqu’elle n’a toujours pas commencé à

s’entrainer. L’homme l’observe à distance pensant qu’elle n’a toujours

pas lâcher son envie de se venger de lui pour l’avoir effrayé. Il trouve

ça stupide et se dit qu’au lieu de gâcher son temps pour ces

broutilles, il vaut mieux penser à s’améliorer :

« - Ça ne m’étonne pas vraiment, les personnes nées avec une cuillère

en or dans la bouche ont leurs propres priorités egocentriques. »

dit-il sûr de lui.

Elle réussit à trouver un stand qui vend de bonnes choses à

manger, et espère se remplir le ventre avant de pouvoir repartir.

Des plats chauds aux plats froids, celle-ci engouffre tout ce

qu’elle peut, étonnant le vendeur qui pense fermer plus tôt que

prévu ce jour-là, vu comment ses produits partent. Une fois

terminée, elle le remercie pour toutes ces bonnes choses à

manger et le paie en conséquence. Le stand vient d’être rasé

par une simple petite fille. Celui-ci n’a pas travailler longtemps

avant d’avoir tout vendu, étonné mais heureux de pouvoir rentrer

chez lui, et lui fait remarquer que beaucoup de vendeur n’attend

qu’une cliente comme elle pour gagner sa croûte en très peu de

temps.

Le bonheur se lit sur son visage, et il part en la remerciant

pour sa visite. Elle se remet directement à la recherche de son

futur mentor, déjà choisi dans sa tête. Mais le soir arrivé, elle

n’est encore pas satisfaite de sa journée, et se demande si elle

peut vraiment le retrouver pour s’entrainer avec ce type. Elle

s’assois alors près d’une rivière en jetant des cailloux tout en

réfléchissant. Elle tente de faire une invocation en pensant très

fort à lui, mais rien ne se passe. Elle vient d’utiliser ses dernières

forces dans quelque chose aussi futile que désespérée.

Elle a l’air fatiguée et préfère se reposer près de cette rivière :

« - Alleeeeez, montres-toi ! J’en ai ma claque de te chercher pour

rien ! C’était bien la peine de m’interrompre dans mes pensées

la dernière fois si c’est pour me snober de la sorte ! Il faut

vraiment être sadique pour faire ça à la jolie fille distinguée que je

suis ! Tu ne vois pas que je gaspille énormément d’énergie pour te

retrouver, tu abuses là ! Tu devrais en être honoré, mais tu

continues de te cacher comme si j’allais te sauter dessus ! Et puis tu

m’énerves AAAAAA ! » dit-elle à voix haute avant de lâcher un cri

de ras-le-bol.

« - Ça va, ce n’est pas la modestie qui l’étouffe celle-là. » pense

l’homme pas très loin.

Une fois de plus, le hasard a fait qu’ils se retrouvent encore

non loin l’un de l’autre. Il commence à se demander si la

planète ne l’a pas mise sur sa route pour avoir refusé de

devenir l’un de ses gardiens personnels. Il se rappelle avoir

refuser la demande en précisant que ce genre de chose n’est

pas pour lui, énervant les deux gardiens venus sur place à ce

moment-là :

« - Ce n’est pas juste, je suis la seule à ne pas m’entrainer, même

Natz est en plein dedans alors qu’il ne voulait pas à la base. se

plaint-elle en regardant le ciel étoilé.

- Elle n’essaie pas de se venger ? s’étonne l’homme, se disant

que cela confirme que le poste de gardien personnel de la

planète n’est vraiment pas fait pour lui.

- Attends un peu que je te trouve demain ! » lance Solveig,

étonnant l’homme qu’elle veuille encore continuer.

Elle rouspète un moment avant de se lever pour rentrer se

reposer :

« - Tu es vraiment obstinée comme fille. » lance une voix grave

sortant de derrière un rocher. Elle n’en croit pas ses yeux, il

s’est montré de son plein gré, sans qu’elle n’ait à courir après

lui :

« - Tu te montres enfin, ce n’est pas trop tôt ! J’ai cru que tu

allais continuer à te cacher encore longtemps ! » lâche-t-elle

enfin.

Il se retourne alors pour repartir :

« - Hey ! Non attends, ce n’était pas une critique, mais je voulais

vraiment te voir avant c’est tout… le prends pas mal, je n’ai pas

envie de te chercher encore. Aller soit cool, je veux juste te parler

un peu... » dit-elle en essayant de le convaincre, de peur de ne plus

avoir l’occasion de lui demander de l’aide.

Il se retourne alors une nouvelle fois, en la regardant comme

pour attendre sa demande.

Celle-ci respire un grand coup pour se calmer et se lance :

« - J’aimerais que tu m’entraine. Ecoutes, je sais que je n’ai pas

fait bonne figure la dernière fois et je m’en excuse, mais tu m’as

tellement fait peur que je n’ai pas réfléchis sur le moment. Et je

ne pense pas trouver meilleur enseignant que toi, je suis sûre

que tu es de classe Assassin. » dit-elle en joignant ses mains

l’une sur l’autre devant lui comme pour appuyer sa demande.

Elle espère profondément qu’il accepte, surtout qu’elle a passé

beaucoup de temps à le chercher. Il se détourne pour repartir.

Solveig se dit alors que c’est peine perdue, elle a tout gâché. Il va

falloir qu’elle trouve quelqu’un d’autre, même si ce n’est pas le

meilleur :

« - On en reparlera demain. Je te retrouverai moi-même, et tu

ferais mieux de te reposer vu ton état. » dit-il avant de disparaitre.

Le visage de Solveig s’illumine alors instantanément, car elle n’y

croyait plus :

« - Merci ! » lâche-t-elle, les larmes aux yeux, avant de rentrer chez

Natz.

Un peu plus tard, l’homme rentre chez lui en repensant à la

tête de Solveig, au moment de son accord :

« - Et moi qui pensait qu’elle voulait se venger pour une broutille,

alors qu’elle voulait juste s’entrainer. Mes ressentis se sont bien

émoussés de ce côté-là. Il va falloir que je me reprenne, car la

guerre de l’ombre n’est toujours pas terminée. Ce serait bête de

se faire avoir si facilement. » pense-t-il.

Il se dirige directement dans sa chambre et compte dormir sur

le tapis pour ne pas prendre son bain. Epuisé par des recherches

intenses au sein du village depuis quelques semaines, en plus

d’éviter cette fille, même si cette discussion lui a permis de relâcher

la pression accumulée jusqu’ici :

« - Je prendrai mon bain demain matin tant pis, j’en peux plus! »

décide-t-il sans hésiter.

En repensant à l’obstination de Solveig, il lâche un sourire, avant

de fermer la porte de sa chambre. Finalement, il prend tout de

même son bain, mais s’endort dedans sans s’en rendre compte.

Pendant ce temps, Natz discute avec d’autres villageois,

pendant une réunion de village évidemment interdite par les

autres membres de l’équipe :

« - Encore un village qui ne donne pas de nouvelles depuis

quelques semaines. dit l’un d’entre eux, guérisseur aux

cheveux roux et aux yeux bruns.

- Le camp de mercenaires avec qui on s’est alliés il y a cinq

mois ne donne pas de nouvelles non plus. Rajoute une autre,

mage de terre aux cheveux et yeux noirs.

- Où en sont les recherches de ces satanés infiltrés, ça avance,

ou dois-je le faire moi-même ? s’impatiente encore un autre,

guerrier chauve aux yeux marrons.

- Hé ho, doucement ! Trikon ne peut pas tout faire non plus, c’est

déjà pas mal qu’il soit de notre côté ! défend Natz.

- Oui, pendant que certains se la coule douce. lui fait remarquer

la villageoise précédente.

- Je sens comme une pointe d’ironie, je ne suis qu’un enfant sans

défense moi ! se moque Natz, énervant celle-ci.

- N’empêche qu’on a toujours trois infiltrés chez nous. Affirme le

mage précédent.

- Je croyais qu’un assassin pouvait trouver une cible et la détruire

rapidement ? ironise le clerc.

- C’est le cas, mais ils sont trois et aguerris, tuer un seul d’entre

eux reviendrait à mettre le feu aux poudres, sachant que l’on ne

sait pas quelles sont leurs capacités. Dites-moi juste de les tuer

sans restriction et ce sera réglé. En revanche, les conséquences

vous appartiennent. J’espère que vous êtes prêt à assumer vos

prises de décision. » dit une silhouette en tenue d’assassin, d’une

voix grave et glauque, sortant de l’ombre.

Ce n’était autre que l’homme que veut Solveig en tant que

mentor. Apparemment, il n’a pas eu l’occasion de se reposer et est

sorti de son bain plus vite que prévu :

« - Euh Trikon, tu n’étais pas prévu, bonsoir, quel vent t’amène ?

demande le guérisseur beaucoup moins confiant qu’au début de

la discussion.

- A vous de me le dire, je ne fais pas bien mon travail ? demande-t-il

d’un air narcissique.

- Non, ce n’est pas ça, tu fais très bien ton travail… on se demande

juste où ça en est c’est tout. se rattrape-t-il.

- Quelle bande de faux-culs, ils étaient en train de le critiquer juste

avant ! se dit Natz.

- C’est moi qui l’ai invité, après tout il est tout aussi concerné par la

situation. » dit le grand-père de Natz d’un ton sec.

Evidemment c’est un nombre restreint de villageois qui parle

de la situation de ce village, dans un endroit très discret.

L’assassin assure qu’il est sur le coup et qu’il compte aborder

la situation uniquement s’il juge nécessaire d’en parler :

« - Il y a peut-être des mages superpuissants ici, mais Trikon en

impose un max ha ha ! » pense Natz.

Ils parlent de choses et d’autres, concernant cette histoire. Une

fois terminé, le grand-père de Natz demande à l’assassin de lui

parler en privé, invitant son petit-fils à rentrer à la maison seul :

« - Mais j’ai peur tout seul dans le noir ! dit Natz d’un ton appeuré.

- Ne t’inquiète pas mon garçon, alors attends un peu, et Trikon

te raccompagnera en toute sécurité. » lui dit-il en souriant.

Trikon regarde Natz, ce qui l’incite automatiquement à refuser

son raccompagnement. Il se doute que l’assassin est épuisé, et

le raccompagner risque de l’irriter encore plus, surtout pour

une chose aussi futile :

« - Ça va je plaisante, je rentre à la maison, bonne nuit Trikon ! »

dit-il nerveusement avant de partir.

Trikon lui fait un simple signe de la tête avant de parler de choses

sérieuses avec le vieil homme.

Natz est fatigué de cette réunion et s’écroule plus vite que

prévu dans son futon. Il pense alors à ce qu’il s’est dit à la

réunion, puis à ses amis. Il repense ensuite à ses rêves,

souvenirs, il ne sait pas vraiment lui-même, mais est content

que Zia essaie de l’aider dans sa quête. Il pense en parler aux

autres de ce que Zia sait déjà. Ils risquent d’avoir des

problèmes à l’avenir et ne veut rien cacher à ses proches.

Cette histoire d’infiltrés dans le village, fait partie d’une guerre

de l’ombre qu’il vaut mieux ne pas ébruiter à tout va, et il n’a

qu’une envie, c’est de partager tout ce qu’il sait avec ses

camarades. Avec ce genre d’information, la motivation ne peut

être que plus grande, et c’est exactement le genre de réaction

auquel il s’imagine s’il leur en parle. Attendant que son

grand-père rentre à son tour, il compte lui demander de

partager leurs renseignements avec les autres membres de

son équipe. Une belle amitié est basée sur la confiance, et il

ne veut pas perdre celle de ses amis.

Quelques heures plus tard, le vieil homme rentre et Natz

ne dort pas encore. Celui-ci dort chez n’importe quel membre

de sa famille, quand il en a envie et tout le monde y est

habitué. Donc il n’est pas étonné de voir son petit-fils dormir

chez lui. Une fois installé, il fait part de ses sentiments envers

son grand-père. Connaissant les mentors de ses amis, celui-ci

lui confie qu’ils le sauront le moment venu, quand ils seront

prêts à accepter ce qu’il se passe, car pour le moment ils sont

encore au début d’un apprentissage de qualité, donc il vaut

mieux pour eux de se concentrer sur leur programme. Natz

remarque à quel point il peut être rusé, en mettant tout à

son avantage. Il assure que Trikon compte entraîner Solveig,

ce qui le rassure de ce côté-là. Natz se demande dans un sens

si c’est ce que la planète à prévue, même leur rencontre, pour

enchainer plusieurs évènements dans une certaine optique. Il

discute avec son grand-père un moment avant de s’endormir.

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