28* DRÔLE DE VILLAGE.

13 minutes de lecture

Dans un épais brouillard et quelques éclairs

de couleur rouge, bleue, mauve et jaune, le

dragon vole contre un vent assez fort qui les

ralentissent vers leur destination, ce qui convainc

Solveig de faire une halte dans un village qu’ils

aperçoivent du ciel. A vue d’œil, il n’a pas l’air

hostile, mais ils restent quand même sur leurs

gardes. En atterrissant, les villageois n’ont pas l’air

impressionnés par le dragon et les invitent

étrangement à le faire disparaitre s’ils veulent

rester dans ce lieu ne serait-ce que pour la nuit.

Anton n’apprécie pas l’ambiance qui y règne, car

c’est assez lourd pour lui. Quelle étrange tempête

qui ose se dresser sur leur chemin, mais ils ne

peuvent pas aller à l’encontre de la nature.

Solveig accepte de renvoyer le dragon dans sa

dimension, et lui promet de le nourrir dès qu’elle le

réinvoquera :

« - Voilà c’est fait, on peut entrer maintenant ?

demande Solveig.

- Oui, désolé mais nous n’apprécions pas du tout

les dragons. Veuillez me suivre. dit le mystérieux

villageois.

- C’est bizarre, on ne lui a même pas encore dit

pourquoi on est là. s’étonne Maëlo.

- Je suppose que vous êtes venus ici pour vous abriter

le temps que la tempête ne passe ? demande celui-ci,

comme pour répondre au questionnement de Maëlo.

- Oui, c’est exact, dès que la tempête sera passée,

nous repartirons tranquillement. dit Solveig.

- Comme vous voulez, mais ce ne sera pas à dos de

dragon. dit-il.

- Et pourquoi ça ? demande Anton.

- Parce que la tempête ne partira pas, cela éloigne juste

les bestioles volantes dans les environs, c’est une

protection de dame nature. répond-il.

- Alors on continuera à pied, ce n’est pas un

problème. rétorque Solveig.

- Comme vous voulez, mais vous devrez alors passer

par la jungle des cannibales, le lac des piranhas ou

encore le désert foudroyant. J’oubliais aussi, le cimetière

maudit. » répond-il.

A ce moment-là, tout le monde ressent un frisson

d’horreur leur passer le long du corps.

« - La jungle des cannibales ? demande Maëlo.

- Oui, beaucoup de personnes essaient de traverser

cet endroit, mais au bout d’un certain temps, ils n’arrivent

pas à en sortir, alors dès qu’ils croisent des gens, ils s’en

nourrissent. Du moins c’est la version que l’on m’a

rapportée. On peut apercevoir de la fumée sortant de

cette jungle parfois, alors on suppose que quelqu’un a

perdu la vie à ce moment-là pour servir de dîner. explique

le guide.

- Le lac des piranhas ? demande Anton, pas sûr de vouloir

entendre la suite.

- Oui, si vous avez la chance de traverser la jungle, vous

arriverez à un grand et beau lac juste après. Mais attention,

il est rempli de piranhas. En général les gens essaient de

venir avec des pigeons, je parle de personnes qui se font

entourlouper à la recherche d’un soi-disant trésor qui bien

sûr, n’existe pas, pour en faire des offrandes. Ils les jettent à

l’eau avec quelques coupures, les laissant à leur triste sort.

Si l’un d’eux réussi à sortir, il le rejette automatiquement à

l’eau. Les piranhas ainsi rassasiés, les laisse passer

tranquillement. » Répond-il sans état d’âme.

Ils sentent que la suite n’est guère plus joyeuse :

« - Et le désert foudroyant ? demande Solveig imaginant une

scène aussi terrible que la précédente.

- Oh, juste derrière le lac, il y a un endroit désertique sur une

très grande surface où la foudre tombe aléatoirement au sol.

La plupart de ceux qui la traverse essaient de courir le plus

vite possible, espérant juste de pouvoir s’en sortir. Bien sûr,

ceux qui se font foudroyés n’en sortent pas indemnes et

rares sont ceux qui n’en meurent pas. répond-il dans le plus

grand des calmes une fois de plus.

- Et le cimetière maudit, je suppose que c’est après le désert ?

demande Zia.

- Exact. Si vous avez le malheur de mourir à cet endroit, vous

ne trouverez jamais le repos éternel. De plus, vous devenez

les gardiens de ces lieux. répond-il.

- Oh ben si ce n’est que ça… dit Maëlo, choqué des propos de

cet étrange individu, qui a l’air de trouver cela normal.

- Mais pourquoi ne pas juste contourner tout ça, ce serait plus

simple non ? demande Zia.

- Si c’était si simple… une épaisse couche de brouillard se trouve

autour. Et quand on s’y engouffre, on revient dans le même

lieu. soupire-t-il.

- Ben il n’y a plus qu’à faire demi-tour alors. propose Solveig, ne

voulant pas tenter le diable.

- Impossible, dès que vous ferez demi-tour, vous reviendrez dans

ce village. répond-il sérieusement.

- J’y crois pas du tout, on ne compte ni traverser tout ça, ni rester

dans ce village bizarre. dit Maëlo, inquiet.

- Je ne suis pas le méchant de l’histoire, je ne fais que répondre

à vos questions. » souffle-t-il.

Natz l’observe depuis un moment et se décide à converser

lui aussi :

« - Cela fait combien de temps que vous êtes bloqué ? »

demande-t-il.

Les autres le regarde, surpris de sa question.

« - Depuis cinquante ans. répond-il.

- Quoi ?! s’exclame Maëlo, terrifié à l’idée d’être bloqué lui

aussi autant de temps.

- Il ne les fait pas du tout ! chuchote Zia.

- Je vois, et quelqu’un a déjà réussi à passer le cimetière ?

demande Natz, qui n’a pas du tout l’air choqué.

- Je veux bien croire qu’il a eu un passé sombre, mais là ça fait

peur. pense Zia.

- Non, je ne connais personne qui a réussi à passer. D’ailleurs,

je ne sais même pas comment ces endroits sont apparus

puisque je ne viens pas de ce village. répond-il à nouveau.

- Très bien, vous avez de quoi faire cuire de la nourriture pour

nous ? » demande Natz.

Etonné de sa question, et après quelques secondes de

réflexion, il lui confirme que oui :

« - Nickel, on va pouvoir se reposer, avant de repartir

alors. » sourit-il aux autres.

Anton sourit à son tour et propose de suivre les conseils de

Natz. Ils acceptent, se disant qu’ils n’ont pas trop le choix vu

les circonstances.

L’homme les dirigent vers une tente en leur disant que

c’est gratuit, ils n’ont rien à débourser. Puis, voyant qu’ils

n’ont plus besoin de lui, s’en va :

« - Je n’aime pas, mais alors vraiment pas cet endroit. se plaint

Maëlo.

- Tu crois que c’est un ancien sortilège encore actif ? demande

Anton à Natz.

- A tous les coups oui, c’est ce qui doit les bloquer depuis des

années. répond-il.

- Il faut passer le cimetière maudit sans devenir des gardiens

de celui-ci c’est bien ça ? demande Zia, qui suit beaucoup mieux

ce genre de conversation qu’avant.

- En théorie, mais comme la si bien dit cet homme, personne

n’a réussi à passer cet endroit. Donc, on ne sait pas ce qu’il

pourrait y avoir après ça, ni ce qui se cache derrière cette histoire.

dit sérieusement Natz.

- Tu crois que… peut-être que ce n’est pas un simple sortilège ?

demande Zia.

- Je ne sais pas, mais je trouve que c’est louche tout ça. Tous les

gens qu’on a vu avant d’atterrir ne doivent pas venir de ce

village, je pense qu’ils sont tous bloqués et se sont résigner.

dit Natz, pendant qu’ Anton regarde dehors, très mal à l’aise.

- On se repose, et on règle le problème juste après. » dit-il.

Ils acquiescent avant de s’installer. Solveig, comme à son

habitude possède tout ce qu’il faut pour son bon confort.

Evidemment qu’elle a appris à s’en sortir sans confort avec

Trikon, mais tant qu’elle peut vivre dans son petit confort,

elle n’hésite pas :

« - Sa majesté est-elle à son aise dans ses quartiers ? pouffe

Anton la voyant très bien installée.

- Oui, elle est très à son aise, même si elle préfèrerait un

endroit beaucoup plus chaleureux agréable serviteur ! »

répond-elle ironiquement, amusant ses amis.

Zia commence alors à parler de la guerre de l’ombre qui fait

rage, et fait part de son avis comme quoi ça a peut-être un

lien avec tout ça. Anton ne nie pas cette possibilité, mais ils

ne peuvent être sûr de rien pour l’instant. Puis un blanc

s’installe, car personne ne sait quoi dire. Natz profite de la

situation pour vouloir parler de son cas, puisque l’ambiance

lourde s’est déjà installée :

« - J’ai un truc à révéler que Zia connait déjà. Je lui ai demandé

de ne rien dire parce que je ne me sentais pas prêt, bien qu’à

la base elle l’a remarquée toute seule. » dit-il en se

retournant vers Zia.

« Cool, enfin ! Oui je suis géniale. » se vante-t-elle.

Il raconte alors l’histoire dont il a discuté avec Zia à propos

de son énergie négative, et le fait de pouvoir se transformer

en quelque chose qu’il ne connait pas. Et que d’après Zia,

c’est sûrement un démon-gardien, même s’il ne sait pas

grand-chose là-dessus. Ils écoutent attentivement son histoire

sans en perdre une miette, et surtout sans l’interrompre. A la

fin de son discours, aucun jugement ne se fait à son encontre.

Au contraire, ils lui démontrent leur amitié précisant qu’elle

n’est pas fictive, et qu’ils acceptent pour ce qu’il est.

Soulagé par cette réaction, il promet de ne plus leur

cacher des choses aussi importantes, et demande à Zia

ce qu’elle a trouvé à ce sujet :

« - J’avoue que tu m’as prise au dépourvue, mais pendant

que tu racontais ton passé, je me suis permise de reprendre

mes esprits et préparer moi aussi mon discours.

répond-elle, précisant avoir demander au golem gardien

pendant son entrainement, des informations à ce sujet.

- D’après lui tu es un démon gardien chargé de récupérer

les sphères maléfiques qui sévissent dans le monde pour

les purifier. Comme je l’avais déjà dit, ils se sont tous

retourner contre la planète pour satisfaire les mauvais

penchant des terriens, et leurs propres intérêts.

commence-t-elle.

- Comme les fins gourmets je suppose. lâche Natz,

comprenant mieux pourquoi ils s’accrochent tant à sa

personne.

- Euh… sûrement. Une fois une sphère purifiée, ils doivent

la rendre à la planète. Comment, ça je ne sais pas, parce

qu’il n’a pas voulu me le dire. Pas étonnant de sa part.

Chacun à son rôle à jouer et le tiens c’est de t’occuper de

ces sphères. Il ne m’a vraiment expliqué toute l’histoire.

Apparemment, tu es censé collaborer avec les gardiens

personnels comme le golem ou ceux qu’on a affronter

pendant l’évènement flash. Mais bon, dans ton cas j’ai des

doutes, vu comment tu as l’air de t’entendre avec eux. »

dit-elle en regardant Natz, pas très convaincue.

Comme prévu il n’a pas l’air d’accord sur ce qui vient

de se dire :

« - Et ce n’était pas plus simple de directement me le dire

au lieu de tourner autour du pot ? Grr elle m’énerve cette

bourrique. rétorque Natz, toujours aussi aimant envers

mère-nature.

- Du calme Natz… dit Anton, intimement connecté à elle.

- Désolé pour toi, pas pour elle, mais elle me sort par les

yeux. Au lieu de dire, Natz, tu es un démon gardien, tu

veux que je te dise ce que c’est ? Ben non ! Madame la

bourrique préfère envoyer ses gardiens au casse-pipe,

assombrir mon pass et laisser un mioche de six ans errer.

A part ça, tout est normal. répond Natz, agacé par les

façons de faire de la Terre.

- Elle t’as quand même donné une chance de le récupérer.

rappelle Solveig.

- Wow merci beaucoup madame la fée. Pff ! là n’est pas la

question, c’est de la manière dont ça s’est passé qui

m’énerve. réplique-t-il sans s’énerver après eux.

- Enfin bref, c’est ce qu’il m’a dit, et si tu te décides à aller

les voir en acceptant ce que tu es, ils t’aideront à te

maitriser. dit-elle, s’imaginant déjà son refus.

- Non. Ils se débrouillent, je n’ai aucune envie de leur servir

de larbin après tout ça. Bleeeeh ! » dit-il en tirant la langue

et montrant son œil vers le bas, comme s’il s’adresse

directement à la planète.

A ce moment-là tout le monde a l’impression de voir un

enfant gâté et capricieux, même s’ils imaginent ce que ça

peut faire de subir ce genre de choses. Il exprime alors sa

façon de voir les choses. Tout le monde se débrouille

chacun de son côté et laisse l’autre camp dans son coin.

Il remercie néanmoins Zia pour ses informations très

utiles pour lui :

« - Toute façon tu en fais ce que tu veux, cela ne me

concerne pas vraiment. dit-elle en hochant les épaules.

- Ok bon, cela étant réglé, parlons de la suite des évènements

héhé ! » dit Natz.

Ils commencent à se demander s’il y a vraiment des

cannibales dans la jungle, et est-ce qu’il n’y a rien d’autre

dont ils doivent se méfier. Dans tous les cas, ils doivent

redoubler de vigilance. Dans la nuit, Natz sort un peu

pour tenter de parler aux villageois et savoir ce qu’il en

est vraiment, pendant que ses amis dorment à point

fermés. Aucun d’eux n’a l’air joyeux et semblent regarder

dans le vide, comme pour se remémorer de lointain

souvenir. Confiant, il entame la conversation avec chaque

personne croisée, sortant de leur rêve éveillé. Certains

assurent que quelquefois, des personnes entrent dans ce

village en connaissance de cause, pour tenter de percer le

mystère et obtenir la gloire de cette réussite.

Malheureusement, personne n’a encore réussi ce coup

de maître. Certainement trop d’orgueil, de vantardise, de

superflue, de mauvaises intentions :

« - Je sens que ça ne va pas être de la tarte cette histoire,

mais ce n’est pas impossible. Ça risque d’être très

intéressant ! »se dit-il, rentrant à leur tente.

En arrivant, il voit ses amis endormis sauf Anton, qui précise

qu’il n’a pas totalement perdu ses vieilles habitudes. Natz

confirme que c’est bien ce qu’il voit et le rassure en disant

que les villageois ne sont pas bien méchants, ils ont juste

l’air perdus dans leurs pensées. Sur ces paroles, ils

s’endorment peu à peu.

Les voici enfin reposés, et ils commencent à prendre la

route vers la première épreuve à passer, mais le villageois

qui les a accueillis plus tôt se dresse sur leur chemin.

D’ordinaire, Zia est en tête de ligne pour agresser

verbalement ceux qui osent se dresser sur son chemin,

mais là, elle lui demande simplement ce qu’il veut. Il

répond qu’il veut juste les guider vers la jungle, pour

éviter qu’ils ne se perdent dans cet épais brouillard en

face d’eux. Bien qu’ils ne soient pas très rassurés, ils

acceptent sa proposition :

« - Très bien, je ne me suis pas présenté tout à l’heure,

je m’appelle Valiant des producteurs de l’Est. dit-il, avant

de les guider vers leur étape.

- Ok, je ne connais pas mais je suis sûr que c’est un bel

endroit. Vers l’Est, il y a toujours des paysans qui travaillent

de leur mieux pour varier leurs productions. En général ils

alternent certaines variétés pour toujours en avoir, même

si ce n’est pas vraiment le même goût, le résultat est le

même. explique-t-il, demandant confirmation au concerné.

- Oui, c’est exactement ça, je ne me rappelai pas ce détail,

merci ! Un connaisseur on dirait. dit-il, en souriant pour la

première fois.

- Je m’intéresse surtout à ce qui rejoint le domaine

culinaire. » avoue Maëlo, un peu gêné.

Le guide affirme qu’il faut de tout pour faire un monde,

et que chacun à sa spécialité. Natz se dit que ce villageois

veut vraiment partir de cet endroit, pour vouloir faire

confiance à des inconnus. Zia assure qu’ils se donnent

toujours à fond dans une quête, quel qu’elle soit.

Celui-ci affirme qu’ils vont pouvoir se défouler au

maximum sur ce coup-là, tellement c’est périlleux.

Beaucoup de personnes sont mortes pour avoir tenté le

coup, mais tous ne sont pas morts avec les épreuves en

elles-mêmes.

C’est plutôt le comportement de certains qui ont fait

plus de victimes :

« - Le comportement des gens, une grande histoire ! dit

Solveig.

- Et pas que d’amour. Ironise Anton.

- Tout le monde ne vit pas que d’amour et d’eau fraîche.

Beaucoup en abuse. Ils font partis des gens que l’on doit

mettre une bonne raclée. Afin de raviver la flamme de la

vie. lance Zia.

- Tiens, il y avait longtemps que tu n’avais pas parler de

raclée ! Retour aux sources haha ! s’amuse Natz.

- J’espère que tu es content que je ne te vise plus autant

qu’avant ! sourit-elle d’un air sadique.

- Oui, je dois bien l’avouer, et j’espère que ça va durer

d’ailleurs. avoue Natz, souriant nerveusement.

- Haha, je l’espère aussi ! s’amuse Zia.

- Pour l’instant, j’espère surtout qu’on va réussir à sortir

de ce pétrin, parce que je n’aime pas du tout cet endroit.

se plaint Maëlo.

- Franchement, j’espère aussi que vous allez réussir,

certains attendent depuis plus longtemps que moi, et je

suis las d’attendre. N’étant pas fort, je ne peux rien faire,

alors je ne peux que compter sur votre réussite. avoue

Valiant.

- Si tu pouvais te réincarner, qu’est-ce que tu voudrais

être ? » demande Anton curieux.

Celui-ci réfléchit avant de donner sa réponse:

«- Hum. Attends que je réfléchisse. Un esprit avec un super

invocateur, j’aimerais être super fort ! J’ai déjà pensé aux

fées mais elles ne sont pas très fortes en combat, même

si elles restent très intelligentes, et jolies à regarder. J’adore

leurs petites ailes. Même s’il n’y en a pas par ici. Donc un

esprit tout mignon et puissant. Et je veux aussi que mon

invocateur ou invocatrice soit gentil avec moi ! dit-il

pensivement.

- Je te le souhaite haha ! s’amuse Natz.

- C’est gentil d’avoir demandé ! lâche le villageois,

sincèrement.

- La question est bizarre, mais c’est toujours bien de parler

avec les gens qui n’ont pas de mauvaises intentions. »

répond Solveig, ressentant néanmoins une gêne envers

Valiant.

Elle n’arrive pas à ressentir ses émotions, pourtant elle ne

s’est pas entraînée avec n’importe qui. Ils arrivent enfin

devant la jungle des cannibales, et le villageois leur souhaite

bonne chance avant de repartir en arrière. Ils se dressent

alors devant celle-ci, bien décidés à en découdre.

Annotations

Vous aimez lire Demone Barjotte ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0