As Salam Aleykoum. Je le pressentais déjà lors de la chronique du mois dernier, mais je n’ai toujours pas repris l’écriture. Je suis même étonné du caractère positif de celle-ci. Aujourd’hui, j’ai l’impression que ma réalité est bien moins lumineuse. En vérité, je lutte presque chaque jour depuis cette date. Je suis très fatigué, je n’arrive pas à me remettre à écrire ni à entreprendre quoi que ce soit de productif, bien que cela occupe mon esprit constamment. C’est un combat de fond que je ne parviens pas à remporter. J’essaie vraiment de toutes mes forces, mais je n’en ai plus beaucoup. Et, chaque fois, quelque chose vient contrarier mes efforts, me ramenant au plus bas. On m’appuie sur la tête dès que je suis sur le point de respirer hors de l’eau. Je ressens un besoin immense d’écrire, de poursuivre ce chemin. Inch’allah, j’y parviendrai.
Nous sommes maintenant à vingt-quatre jours du début du Ramadan, et j’aimerais profondément le vivre avec sérénité. Actuellement, je m’en sens incapable, je suis si instable. Accepte ma sincérité, mon seigneur, s’il te plait. Amin.