Sélène était assis sur sa couchette l’esprit étrangement actif elle aurait voulue dormir rapidement et être sur cette nouvelle planète. Elle se sentait comme une archéologue prête a embrassé n’importe quel mystère qu’Atropos allez leurs offrir. Ils seraient les premiers humains à poser le pied sur une autre planète et découvrirez une autre civilisation que celle de la terre.

Sélène n’était pas de nature a philosopher mais là son esprit était émerveiller par tout le spectre de possibilité qu’est qu’ils avaient battit ? quelle était leurs vie quotidienne ? est ce qu’ils travailler comme les terriens ? avait -il eut des guerres ? tellement de question dont les réponse serait a porte dans quelques heures.

Mais elle était aussi étrangement inquiète car elle se demande si la civilisation qui était là ou avait été auraient des dispositifs de sécurité comme sur terre ?

Apres tout personne ne savaient rien et tout serait a découvrir même les dangers si ils en avaient après tout ça ne serait pas un piquenique. S’il y avait des défenses est ce que leurs armements seraient suffisant ? sans doute que non mais personne ne pouvait être sûr après tous le véhicule blinde avait une tourelle de gros calibre mais a part ça ils avaient leurs fusils d’assauts.

Peut-être qu’ils n’y avaient rien a craindre mais Sélène faisait partie de ces personnes qui se préparer a un maximum d’éventualité on ne savait jamais sur quoi on allez tomber après tout.

C’était dans sa nature elle n’aimait pas l’improviste elle était rassurée seulement après avoir anticiper les choses sinon elle avait toujours ce sentiment de regret qui l’agacer énormément.

Certains disaient que c’était du a son entrainement de soldat c’était en partie vrais mais Sélène avait un esprit analytique c’était plus que dans sa nature elle se devait d’être toujours prête.

Bien sûr ça demander d’elle beaucoup d’effort mais elle ne pouvait faire autrement la vigilance faisait partie integrante de son être.

Certains de ces amis la comparer a un prédateur toujours à l’affut et cela lui convenait et correspondait parfaitement, Sélène était tous sauf une victime.

Pour elle se laisser submergé par les émotions est se perdre dans une masse de sentiment était impensable. Elle était au possible toujours calme et se contrôle en toute situation. Elle avait un tempérament très sanguin et puis avec l’Age venait la sagesse et la contenance alors elle se reréservait et contenait et sa rage dans une cage pourvue d’une trappe.

La détermination sans le contrôle avait toujours été un problème pour elle et source de conflit avec son entourage. Elle ce serait épargne bien des problèmes en étant jeunes si elle avait appris à se taire et ne pas agir dans l’instant présent.

Maintenant elle avait battu ces démons intérieurs et elle était au bas mot plus heureuse. Sa rage n’avait jamais réellement disparue même si elle avait essayé l’introspection, elle ne comprenait d’où venait se flot intarissable que l’avait au fil des années dévoré de l’intérieur.

Elle se bagarrer constamment a une époque sa rage ne trouve pas d’exutoire ni dans le sport ni dans les relations sociales ni dans la compréhension qu’elle avait sans doute un problème.

Elle avait beau cherchez rien ne venait expliquer se réservoir immense de colère et se disait qu’elle avait la colère de milles personne dans son corps frêle d’humain. Quand elle fermait les yeux elle ne voyait que l’avatar de la destruction et elle voulait constamment se battre pour écouler tout ça mais elle savait que même si elle s’était battue mille fois ou un million de fois ça n’aurait servie a rien.

Le problème venait du fait qu’elle avait un problème c’était un paradoxe qui la grignoter petit a petit et malgré sa bonne volonté et sa contenance elle ressentait cette rage inexorable c’était peut-être le fait que personne ne pouvait saisir ce concept.

Elle avait du en parle a un moment a son entourage mais ils n’avaient rien compris et lui avait demander de consulter un spécialiste ce qu’elle fit de bonne grâce. Ça n’avait rien donner même le spécialiste n’avait rien compris ce n’était ni ces relations passe ni son travaille ni ces aspirations non.

Elle ne savait pas tout simplement comme cela était une sorte de tare et que c’était sa faute en quelque sorte. Peut-être que c’était sa faute peut être qu’elle n’était pas honnête avec elle-même. Ou elle était trop honnête avec elle-même.

Peut-être que c’était le monde ou peut être le fait d’être l’entoure de gens qui ne la comprenait pas tout simplement. Peut-être que l’acception d’elle-même l’énerve ou que sa rage venait du fait qu’elle était là elle-même.

Sélène se disait que la chose n’était pas juste mais elle savait aussi pertinemment que l’univers n’était pas juste, il ne devait pas être juste car tous ce qui vivait était en quelque sorte arrache du chaos et pour les humains ou les formes consciente c’était pires.

Se rendre compte qu’on était la juste pour être la et que l’univers sans fiche éperdument car il était l’antithèse de la vie et en même temps beau et cruel. Elle savait que c’était idiot de faire des prières au cosmos car il était imperméable a tout même le temps ne le controller pas réellement.

Il s’était arraché au vide et avait tout occuper comme place et maintenant il refuserait grâce à ces lois de retourne au vide a la non-existance. Il était devenu la réalité d’entre la réalité et son espace était la pour dure aussi longtemps que la lumière exister.

Ainsi il serait la jusqua que le dernier soleil s’éteigne et que la lumière cosmique meurt terrassée par les ténèbres du vide mais cela ne risque pas d’arriver car la mort des étoiles entraine la vie des autres étoiles.

Le cosmos était mauvais joueur il avait tricher dans ces règles et avait créer une boucle qui lui permettrait d’être la pour toujours.

C’était la même chose pour les dieux de la Grèce antique ils trichaient sur les lois pour être tout puissant mais les hommes les avait tuer par l’oublie et par la rationalisation et le panthéon des dieux finit par s’écrouler sous les lois des hommes.

Sélène se disait que sa rage venait peut-être du fait qu’elle voulait retourne au vide et ne plus être pour être un avec le vide mais cela était impossible car il aurait fallu tuer le cosmos et même le cosmos ne pouvait se tuer lui-même car ces lois était immuable.

Elle se disait que ça devait être horrible pour ceux qui croyez en la réincarnation de revenir sans cesse sur terre et répéter leurs cycles indéfiniment. C’était la définition pour elle de l’enfer et même le paradis n’échapper pas à cette règle.

Le lieu où le bonheur était éternel la aussi c’était de la triche ce disait sélène comment vouloir que les choses eussent du sens si elle était constamment figer dans un cycle identique car le bonheur exister parce que le malheur et la souffrance était là.

Sans ces deux paramètres l’idée du bonheur était une chimère et un mensonge.

Peut-être que sa rage venait du fait que la vie après la vie était de la triche car si le bonheur était éternel alors il ne restait plus a rien a accomplir et plus de détermination a essayé de vivre. C’était un cycle et peut être que c’était le lieu de sa rage immense.

Pour Sélène l’absence de toute chose sonner plus comme un vrai paradis car il n’y aurait plus rien que l’ordre absolue du vide, la non vie de la non existence et cela serait le repos le vrai repos là ou même les atomes n’existe plus.

Le retour ultime ou le big bang n’aurait jamais eu lieu et le vide serait éternel.

Ainsi sa rage n’existerait plus.

Rien.

Elle soupira cette question la hante depuis toujours ou elle comprit qu’elle était différente du reste du monde elle vivait en décalage de quelques secondes.

Elle n’était pas ancre dans la même dimension et elle le sentait comme un poids constant comme si ça gravite avec quelque G en plus que le reste souvent elle regardait le ciel de la terre et s’étonner que le monde des hommes soit coincer sur cette petite boule de roche perdue dans un coins de l’univers.

L’histoire des hommes l’avaient appelé le jardin d’Eden puis la planète bleue puis le berceau de la vie mais elle savait que ce n’était qu’une prison gigantesque sur laquelle se battait toutes les formes de vie pour exister.

Il n’y avait pas de but réel et même si la volonté divine était d’avoir un lieu qui était diffèrent du vide cosmique au final c’était la limite ultime. Sélène savait que la culture avait arrondie les angles et que même la logique éviter d’étaler sa conclusion aux yeux du monde.

C’était une réalité qui exister pour elle mais qui n’était pas la pour le reste du monde est ce que c’était la le lieux de sa rage qui se trouver derrière les barreaux d’une prison invisible qu’elle seule pouvait percevoir.

Elle était le borgne dans un monde d’aveugle qui ne savaient pas qu’ils l’était peut être que la compréhension de ce fait était sa propre malédiction car elle voyait le vide entre les strates de la réalité et ces mêmes strates la nargue car ils était la a quelque atome d’elle mais sans jamais lâcher leurs promesse de ténèbres.

C’était peut-être ça aussi qui matérialise sa rage intérieur le constant flux de ces atomes qui baigne dans d’autre atomes mais jamais se mélange car une barrière exister a l’échelle de Planck.

Un lieu infiniment petit et infiniment infranchissable peut être que c’était là que résidait la rage de Sélène.

Des fois elle se disait que c’était juste parce que sa rage existé parce qu’elle avait un mot pour la décrire, un mot qui la matérialiser en dehors du vide sans les mots peut être que sa rage serait intangible car la compréhension lui ferait défaut.

Peut-être que sa prison de mots était le lieu de sa rage et que les mots étaient ces barreaux qui lui rappeler qu’elle avait un problème.

Sans les mots elle ne s’aurait pas qu’elle est heureuse ou triste et elle ne saurait même pas qu’elle était elle-même sans ces mots elle serait surement libre de tout ça.

La compréhension était la rage qui l’animer et qui la hante car elle exister pour elle-même et sans elle rien n’aurait lieu d’exister c’était un cycle immuable qui s’auto-alimenter sans cesse et qui forme les strates de la réalité et peut être même de tout le reste.

Sélène sentait qu’elle devrait en vouloir a tout l’univers mais une vague étrange la submergea d’une certaine tristesse car le cosmos serait a jamais couper de tout car il était le tout.

C’était en quelque sorte la déesse Diane elle était condamne a être présente mais aussi loin dans l’ancien temps elle était la lune qui hante les humains et aussi la preuve qu’ils étaient baigne dans sa lumiere depuis l'aube de la terre.

Elles les toisaient belle et insondable sans jamais les quitter, elle était la preuve qu’il était la sur un lieu et qu’ils avait une place dans ce tout.

Apres les humains avait percer ces mystères et la déesse n’était plus c’était juste devenue un satellite qui accompagner la terre et qui le fera peut-être encore pour des milliards d’année.

Pourtant les humains la regardent encore même si son secret était révélé certain sentait sa lumière blanche les bercer et tranchez les ténèbres de la nuit.

Repoussant encore leurs terreurs tel une vaillante guerrière protectrice.

Quand la lune est là elle est toujours belle et sa beauté dure depuis des milliards d’année ainsi elle bercera encore le cœur des humains encore longtemps.

Un petit sourire apparut sur le visage de Sélène elle savait que le cosmos été lie à elle et qu’elle était lié au cosmos car elle été la seule a connaitre ce secret.

Elle avait les paupières lourde mais son esprit était maintenant en paix les question du jours allez prendre leurs place dans sa mémoire et son esprit allez partir dans les limbes du sommeille ou la déesse Diane se trouvait peut être et Sélène rêverait de grand vide cosmiques qu’elle parcourait elle seule.