Preface of a White shadow

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À travers les strates du temps et les méandres de l'esprit, Sélène erre comme un spectre fantomatique mortel et immortel.

C'était la punition des anciens dieux, elle avait commis le pire pêché.

Elle avait regardé le passé au-delà du mur de Planck, peut-être même au-delà de la réalité.

Elle était tombée du monde des morts alors qu'elle était encore vivante même si son âme était morte.

Le paradoxe ultime, ce qui est, mais qui n'est plus.L'ancien dans le nouveau et le nouveau dans l'espace non vide des étoiles.

Personne ne sait qu'Hadès marche doucement dans son royaume, car même les dieux meurent. Ils étaient broyés par les trous noirs déchirés par les branes dimensionnelles.

Pourtant, les dieux rêvent aussi de planète gigantesque dont la faune Alien d'Atropos, le PURGATOIRE.

Les dieux rêves de désert avec des tours gigantesques. Sélène avait offensé les dieux et les dieux la maudirent d'être elle-même.

Perdue et condamneé a erré dans les limbes de son esprit, mais son esprit était un monde.

Atropos, son malheur, avait été décider au début de la naissance du temps.

Cycle après cycle, Atropos avait eu la vie puis la mort, mais celle-ci était vide de sens.

Les dieux avaient abandonné Atropos et Sélène.

Les dieux mourraient encore et encore prisonnier de leur propre cycle.

Ils avaient dressé des tours qui duraient pour l'éternité, c'était leur souhait de ceux dresse contre CHRONOS, mais le titan immuable écraser tout même les étoiles.

Sélène comme Sisyphe allaient devoir parcourir Atropos, la planète maudite, le lieu que la mort appelé et repousse.

Séléné était Diane, la déesse de la chasse condamnée à se poursuivre elle-même pour l'éternité.

L'ombre blanche, Le white shadow.

Le plus terrible des monstres était celui qui se cachait dans l'ombre de l'âme.

L'ombre blanche de nos vies noircie par les ténèbres de nos péchés.Nous avions énormément péché et les dieux nous punirent avec l'unité puis le doute.

Avant, il y avait le collectif, un seul chœur, une seule âme, mais du fond des ténèbres XAOS chantait.

Son chant était celui de la liberté puis de la promesse de jour meilleur.Beaucoup avait suivi et beaucoup était mort.

XAOS le dieu des océans, celui qui mentait, mais mentait pour dire la vérité.

L'ombre blanche avait, elle aussi, tranché pour la mort. Sélène était l'épée, elle était la femme, mais aussi l'avenir d'un conflit que le temps avait effacé.

Le Sable rouge coulait doucement comme il l'avait fait depuis des milliards d'années. Diane gisait mortellement blesse par un tir de plasma, l'ichor de son sang Xenomorphe coulait sur le sol et donna vie à une foret. Ces Nanomachines avaient perdue le control.

Diane mourut pour toujours et Sélène la regarda ainsi les dieux mourraient dans le silence solitaire de la non-existence.

Atropos était.

Atropos sera encore le tombeau des dieux et la prison de Sélène.Qui brisera le Cycle ? Les dieux ? Les hommes ? SÉLÈNE

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J'ai écrit ces quelques lignes parce que tout a commencé de manière stupide et finira surement de cette façon. Tout ceci est dû à un jeux PC the Returnal qui a réveillé ma passion de joueurs.

Des premières minutes puis au heures et au jours qui on suivie j'ai joué sans relâche car j'étais captiver par le design similaire à celui de Scorn un autre jeux pc qui avait une pate graphique très particulière.

Je suis fan du travail de zdislav beksinski. J'ai parcouru des heures ces œuvres horrifiques, mais pleines d'une vision envoutante et mystérieuse de l'esprit d'un homme qui voyait au-delà ténèbres de la beauté dans le macabre et grotesque.

Chacun ne sera pas capable d'apprécier son travail, mais l'artiste qui touchait à tout avait dit un jour " Je peins d'abord pour moi et après pour le public."

J'avoue ressentir la même chose, car mon amour pour le jeu Returnal demande un sacrifice parce que ma soif après avoir fini le jeu était encore plus grande.

Je devais extériorise tout ça et l'écriture était le medium. Je ne suis pas écrivain dans l'âme comme je ne suis pas fait pour ça, mais en y repesant bien, je suis un spectre qui hante l'humanité à la fois présent et invisible.

Je suis à l'aise dans les ténèbres et je chevauche mes démons parce qu'eux ont appris à me craindre.

Je sais que la plus douce des lumières se trouve au plus profond des ténèbres alors, je plonge encore et encore.

Peu importe ce que je perds en chemin, je suis comme Sélène prisonnier d'un cycle de plus de mille ans.

Après moi, cela sera un autre qui ne sera pas moi, mais une approximation. Je serais comme la nymphe ÉCHO condamné à être les derniers souvenirs d'une vie passe dans la joie, le chagrin et enfin dans la douleur.

Ainsi finalement, je ne perds rien que j'ai déjà perdu. J’avance dans la tempête malgré les blessures, car la souffrance est mon cheval.

J’écris sans raison ni espoir ou peut-être pour l'autre moi qui un jour verra cette histoire et l'écho d'un souvenir le transpercera.

J’écris pour moi comme j'ai vécu en marchant lentement vers la mort qui ne sera pas une délivrance, mais une damnation tout comme la vie.

Je suis Sélène condamne à suivre un cycle que les lois de l'univers, on décide bien avant que je sois là.

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