Chapitre 10 : Une erreur fatale

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Profitant de leur amour juvénile en sachant qu'ils ne pourraient rester ensemble en permanence, le jeune couple ne vit pas le temps passé. Une joie et un apaisement sans nom envahissaient le coeur d'Altaïr qui avait enfin put la faire sienne. Il savait pourtant qu'il la mettait en danger, mais il ne pouvait plus nier ses sentiments pour elle. Il l'a voulait et il l'avait enfin. Jamais il ne la laisserait partir. Jamais aucun autre homme ne poserait la main sur elle. Il avait posé sa marque, elle lui appartenait.

Quand la lumière baissa dans la pièce pour laisser place a l'obscurité, puis a la lumière blafarde de la lune, le jeune assassin récupéra ses affaires et quitta sa dulcinée pour repartir a son activité favorite; se balader dans les rues ténébreuses sans vraiment avoir de but. Laissant Daenerys se reposer au chateau après lui avoir promit de revenir le lendemain matin. Mais il ne érait pas vraiment sans but, ayant reprit du poil de la bête et retrouvé goût a la vie, il se remit a la recherche de son frère ennemi. Prenant en compte le moindre indice ou les moindres paroles de villageois qui pourrait le mettre sur une piste satisfaisante. Après de longues minutes sans rien, il commença a se dire qu'il ne trouverait rien cette nuit la. Mais quelque chose attira son attention. Il avait passé de longues minutes a passer au crible fin le lieu ou il avait faillit être tué, puis les scènes des différents meurtres. Et il parvint a tracer un ittinéraire que prenait régulièrement le meutrier. Une piste qui le mena a une vieille batisse en sale état. Les roches blanches qui entouraient les colombages pour monter les murs s'effritaient. Et les poutres de chêne étaient rongées par les termites, prêtent a céder sous le poid des pierres et du toit. Toit, dont il ne restait qu'une parties. Les ardoises qui le composait reposaient en tas a l'intérieur, détruites par le temps et la météo. Cela pourrait être la planque d'Aguilar; se dit l'assassin. Mais la fustration le fit serrer les dents quand il se hissa sur l'une des fenêtres et découvrit que la maison était réellement abandonnée. Le serpent devait l'avoir quitter pour s'assurer de ne pas étre mit a jour. Les meubles étaient restés a l'intérieur de la batisse et l'odeur du bois pourrit ainsi que de la poussière, était difficilement supportable. Les rats et souris filaient a toutes vitesse dans les trous des murs pour se cacher du danger. Danger qui les guettait de l'une des poutres. Sur celle ci se trouvait un nid et Altaïr reconnu la façon de faire des chouettes, oiseaux majestueux, maîtres de la nuit. Et il vit la propriétaire entrer et se poser a côté du nid. Des oeufs devaient surement reposer dans l'assemblage de branches, de mousse et de plumes. Déçu de sa trouvaille, le jeune homme souffla et sortit pour retourner en ville. Un échec de plus. Mais au moins, il avait apprit une chose. Aguilar changeait régulièrement d'abris. Une technique ingénieuse qui n'allait pas aider Altaïr. Le voila de nouveau au point de départ. Sans aucun indice. Mais ne perdant pas fois, il continua ses recherches toutes la nuit et finit par tomber de fatigue dans une charette de foin qu'un fermier avait laissé derrière une maison. Même si il avait grandement apprécié la douceur et la chaleur du lit a baldaquin de la reine, le jeune assassin se contentait largement d'un matelat de foin, bien plus agréable que les tuiles en ardoise des toits sur lesquels il lui arrivait souvent de s'assoupir. Apres une ou deux heures, le temps que le soleil soit déjà bien haut dans le ciel et réchauffe la peau froide de l'assassin, celui-ci se réveila dans un sursaut a cause d'un mauvais rêve. Un grognement de mécontentement passa ses lèvres alors qu'il s'étirait en regardant son aigle se lisser les plumes. Une fois bien réveillé, il se leva et prit le chemin du château, saluant les gardes qui lui lancèrent air un regard déçu qui fit sourire Altaïr. Ils le laissèrent rentrer et il rejoignit sans plus prêter attention a ce qui l'entourait, la salle du trône. Remarquant qu'elle était en pleine discussion avec deux paysants, surement pour régler un conflit ou un mal entendu, le jeune homme resta un peu a l'arrière et se contenta de la saluer en s'inclinant respectueusement. Puis il attendit en silence qu'elle en ait terminée avec ses sujets. Il ne put s'empêcher de lui adresser un tendre regard quand les deux hommes sortirent et qu'elle posa le regard sur lui en se levant pour le rejoindre.

- Bonjour Altair.

- J'ai cherché toutes la nuit des traces d'Aguilar; lui apprit calmement l'assassin. Mais je n'ai trouvé qu'une ancienne cachette.

- Cela voudrait dire qu'il change de repère pour ne pas qu'on le trouve aisément; réfléchit la reine en baissant les yeux.

- Je pense. Mais je le trouverais.

- Je n'en doute pas; lui dit Daenerys avant de venir passer ses bras dans son dos en posant sa tête sur son épaule.

- Tu as bien dormis ? demanda Altaïr en posant ses mains sur les hanches de la reine.

- Je me suis endormie comme une brique; ricana celle-ci tout sourire.

- La journée d'hier a été mouvementé. Dis-moi, que dis-tu d'une petite balade nocturne ce soir ?

- Avec plaisir.

- Super. Moi, je vais profiter de la journée pour continuer mes recherches. Aguilar sera sûrement sortit. Il me sera plus aisé de repérer sa cachette.

- Bien. Fais tout de même attention. Il a déjà faillit te tuer...

- Je ferais attention; lui promit-il en décalant une mèche de son visage pour déposer un baiser sur son front. Mais la jeune femme se mit sur la pointe des pieds pour venir l'embrasser. L'assassin sourit en répondant avant de reculer. Ce n'est pas que je n'ai pas envie, Daenerys. Mais nous sommes dans la salle du trône. Et quelqu un peut entrer a n'importe quel moment.

- Je sais. Je n'ai pus m'en empêcher, excuse moi.

- Pas de problème, je comprend; la rassura-t-il. Bon, je te laisse, j'ai du travail.

- Oui. Tu viendras me faire ton rapport directement dans mes appartements, j'ai beaucoup de papiers à signer.

- A vos ordres; obéit l'assassin qui reculait en s'inclinant respectueusement sans perdre son sourire, poing sur le coeur.

Par la suite, l'assassin fit volte-face et quitta fièrement la château, se délectant des grognements haineux des deux gardes qui le regardèrent passer. Maintenant qu'il faisait jour, Altaïr retourna a la vieille batisse dans l'espoir d'avoir plus de chance de trouver quelques indices que ce soit grâce a la lumière du soleil. Mais il semblait que celui qu'il cherchait avait été assez malin pour ne rien laisser qui puisse lui nuir. Pas une seule trace de la présence d'un homme ou de quelques serpents. Les seuls habitants étaient les rats, les souris, les insectes et la petite famille de chouettes. Le jeune homme repartit donc en ville et se mit a écouter les conversations de vieillards assit sur les différents bants des rues. Lui, restait caché dans l'ombre ou s'asseyait a côté d'eux en faisant semblant de faire une petite sieste. Il apprit qu'un inconnu encapuchonné rôdait souvent dans les parages la journée pour disparaître la nuit. Un inconnu qu'ils décrivaient comme mystérieux et inquiétant, toujours accompagné d'un serpent aux écailles noires et aux yeux rouges perçants. Il n'y avait pas de doute, il s'agissait d'Aguilar. Mais il n'avait pas encore assez d'informations pour le retrouver, ou du moins sa planque. Il se mit donc a interroger les citoyens. Mais ses interrogatoires ne l'avancèrent pas vraiment. Aguilar sortait le jour mais disparaissait complètement la nuit, sans laisser aucunes traces. Mais tout ça ne l'étonnait absolument pas. Après tout, ils avaient tous deux reçu le même entraînement. Dans une impasse, le jeune homme s'assit sur un banc pour réfléchir, les mains au menton et les coudes appuyés sur ses genoux. Il en vint a penser qu'attendre qu'il passe a l'action serait le plus simple. Mais cela mettrait un innocent en danger... Quand soudain, le cri effrayé d'une femme attira son attention et le fit réagir dans les secondes qui suivirent. Agile et rapide, il atteignit rapidement la place ou une jeune femme accompagnée d'une petite fille, étaient menacées par un serpent. Altaïr ne bougea pas du toit sur lequel il se tenait, attendant de voir sortir le propriétaire du serpent. Mais quand il vit luir la pointe d'une flèche et comprit qu'il resterait caché, il sauta de son toit et s'interposa entra la mère, son enfant et la flèche. Fixant l'ombre d'une ruelle d'un regard emplit d'un certain dégout.

- Tu es pire que je ne le pensais. Tu te cache pour tuer.

- Non; sourit le meutrier. J'ai simplement remarqué qu'un parasite revenant m'observait. Tu ne sera jamais aussi discret qu'Ayla.

- Je te retourne le compliment, ta flèche se voyait a des centaines de pieds a la ronde.

- Mais c'était voulu.

- Tu as cherché a m'attirer…; comprit Altaïr en fronçant les sourcils.

- Exact. Attaquer cette gamine et son gosse n'était qu'une diversion; lui apprit Aguilar sans quitter son sourire.

- Que me veux-tu ? La fois dernière ne t'a pas suffit ?

- Tu devrais le savoir, Altaïr.

- Je suis surprit que tu cherches a m'attirer vers toi au lieux de me prendre par derrière comme le làche que tu es.

- Moi ? Lâche ? répéta Aquilar alors que son serpent sifflait de colère, appelant ses congénèrent qui entourèrent les deux assassins.

- Tu n'a même pas la fierté d'assumer tes actes devant Père; lui fit remarquer son frère sans vraiment être inquiété par la présence des reptiles.

- Je les assumes. Je n'ai juste point envie de voir Père.

- Ca n'est pourtant pas a lui que tu en veux.

- En effet. Mais j'ai décidé de ne pas le voir tant que je n'aurais pas vengé la confrérie en te tuant.

- Quel dommage...; soupira Altaïr. Que vous ne compreniez pas mes choix... Enfin, je n'y peux rien. Et tu compte m'attaquer ici en public ?

- Personne ne viens dans ces ruelles. Mais si tu désire un combat dans les règles de l'art, soit. Je te montrerai ce qu'il en coûte de mettre en danger notre ordre pour lécher les bottes d'une gamine tout simplement car elle a le cul posé sur le trône.

- La reine n'a jamais été notre ennemie et tu le sais aussi bien que moi. Les seuls ennemis que nous avons sont les Hideos.

- Les Hideos, qui sont au service de la couronne.

- Tu parles sans savoir; lui reprocha le brun en fronçant les sourcils.

- Vraiment ? demanda le meurtrier en remarquant le changement d'humeur de son interlocuteur. Et qu'est-ce que je ne sais pas ?

- Tu ne sais rien de la royauté. Vous vous battez pour la justice sans même vous rendre compte de l'aide que peux nous apporter notre reine. Enfin, ILS se battent pour la justice. Toi, tu tue pour ton bon plaisir. Cela fait de toi un criminel et nom pas un membre du Crédo. Tous comme moi, tu ne mérite plus cette marque.

- Tu n'as aucun droit de dire ce que je mérite et ce que je ne mérite pas.

- Tout comme tu n'as aucun droit de juger des personnes sans les connaître.

- Pourquoi défendre cette femme, Altaïr ? sourit sadiquement l'assassin. Te serais-tu épris d'elle ?

- Ne dis pas n'importe quoi, imbécile. Si je la défend, c'est seulement car il s'agit de celle qui gouverne cette cité et lui permet de prospérer en évitant tout conflits.

- Oh... tient donc... En évitant tous conflit ? Et que fais-tu des autres nobles qui ne cherchent qu'une chose, qu'elle laisse le trône ?

- Est-ce ton problème, Aguilar ?

- Non. Je m'en contre fiche.

- Alors ne pose pas la question.

- Je fais ce qui me chante. Tu n'as aucun ordre a me donner.

- Oui. Je suppose.

- Reste bien sur tes gardes Altaïr. Je ne te préviendrai pas lorsque je viendrai t'affronter; le mit en garda Aguilar avant de faire demi-tour por disparaître en bifurquant dans une ruelle.

Altaïr le regarda partir avant de soupirer. Une fois de plus, il le laissait filer. Il nous voulait pas engager de combat avec lui. Il était son frère et ne voulait pas l'affronter. Mais il savait aussi que le jour viendrait où il n'aurait plus le choix. Il ne pourrait plus éviter le combat et devrait se faire a l'idée qu'il devrait le tuer ou cela serait lui qui mourra. Silencieux, il se tourna et partit s'assurer que la jeune femme et son enfant n'avait rien. Rassuré de voir que ce fut le cas. La femme le remercia de tout coeur avant qu'il ne les laisse pour rejoindre le bar de son vieille ami. Pour manger un bout et se changer les idées en lui faisant part de ses doutes et ses craintes. Une fois a l'intérieur, il s'assit et le salua avant de lui avouer qu'il s'était passé beaucoup de choses et qu'il y avait trop d'oreilles dans la pièce. Luke ne put s'empécher de sourire en comprenant qu'il allait apprendre des nouvelles croustillantes. Il l'amena dans le sous sol ou il avait installé une table et lui apporta de quoi manger avant de s'assoir en face de lui.

- Alors ? Raconte moi tout.

- Tu avais raison; lui avoua l'assassin après avoir avalé un morceau de viande. La reine est tombée sous mon charme...

- Oh... Elle te l'a avoué ? Et que c'est il passé par la suite ? lui demanda-t-il une fois qu'il eut hoché la tête.

- J'ai...cédé...

- Ha ? Vous avez...? Et bien, il a fallut une reine pour faire fondre ton coeur de glace, rien que ca.

- Rha, sa va... Je me suis assez foutus dans la merde tout seul... pas la peine d'en rajouter.

- Ok, ok...; le calma Luke en accompagnant ses paroles d'un mouvement apaisant des mains. Maintenant tu va devoir encore plus te faire oublier, si tu veux continuer d'être avec elle. Et si jamais t'as besoin d'aide, vient frapper chez moi. Je trouverai une place pour toi dans mon sous sol aménagé.

- Et Aguilar qui continue de faire des siennes en ville... bon sang…; souffla Altaïr dans un soupir découragé.

- Tu l'as rencontré ?

- Juste avant de venir ici.

- Ca n'est jamais bon signe quand il se montre ainsi; réfléchit le barman en se frottant le menton.

- Je sais... Mais c'est moi qu'il veut.

- Oui. Tu l'as dis a la reine ?

- Je ne l'ai pas revus depuis cette conversation. Nous ne pouvons pas rester tout le temps ensemble. Cela éveillerais les soupçons.

- C'est vrai. Si vous passez trop de temps ensemble les habitants commenceront à se poser des questions.

- Bon sang...; grogna le jeune homme. A croire que j'aime me retrouver dans de telles situations...

- Si tu es discret, tout devrait bien se passer. Jusqu'au jour ou elle devra prendre un maris.

- Merde...; jura-t-il en prenant cette révélation comme une gifle en plein visage.

- A moins qu'elle renonce au trône. Mais je doute que son frère soit qualifié pour avoir ce poste. Il est encore trop jeune et impulsif.

- Ca c'est certain... Mais elle ne renoncera pas a moi non plus... Et cela la met en danger...

- C'est une reine. Elle n'a pas appris à renoncer. Et puis.. Je pense qu'au fond de toi, même si tu as peur pour elle, tu ne peux t'empêcher de vouloir qu'elle ne renonce pas à toi.

- C'est évidement... Mais je suis perdu entre l'aimer et la mettre en danger ou renoncer a elle pour la protéger...

- Je comprend… Désolé je ne peux pas t'aider. Mais juste, je pense qu'en réfléchissant à ça, tu devrais prendre en compte ce qu'elle veux.

- Oui...; murmura-t-il avant de regarder l'horloge au dessus de Luke. Pfou... déjà quinze heures et j'ai l'impression que cette journée n'en finit pas... avec ce mauvais pressentiment que je vais encore en baver avant qu'elle se termine.

- Bon courage, je connais ça.

Les deux amis discutèrent tout le reste de l'après-midi de tout et de rien, permettant au jeune homme de se changer un peu les idées pour ne pas se montrer a moitié dépité devant le reine quand la nuit tomberait. Il était vingt-deux heures et la nuit était deja tombée quand il se décida a retourner au chateau. Il passa discrètement derrière et monta jusqu'à la fenêtre. Sans un bruit, accroupit pour garder l'équilibre, il l'a regarda un moment sans qu'elle ne le remarqua. Puis il fit état de sa présence et la salua avant tendresse. Tendresse qu'elle lui rendit, toujours aussi heureuse de le voir. Puis il l'invita a monter sur son dos pour sortir par la fenêtre. Agile et peu gêné par le poids de Daenerys, il s'accrocha au rebord de la fenêtre avant de descendre en s'aidant des pierres qui ressortaient un peu de la façade du chateau. Atteignant rapidement de le premier toit avant de sauter au sol pour la faire descendre de son dos. Heureuse de sortir en sa compagnie, Daenerys gardait le sourire alors qu'il lui mettait la capuche sur la tête avant de commencer a se promener dans les ruelles, restant a l'écart des lieux animés et pleins de monde. Altaïr lui fit découvrir son royaume des ombres. Ce monde dans lequel il vivait et sur lequel il régnait. Après une vintaines de minutes de marche, Altaïr s'arrêta dans une ruelle et se tourna vers elle pour l'embrasser avant amour. La reine répondit a son baiser en passant ses mains dans sa nuque pour le rapprocher encore un peu. Mais oubliant complètement les danger qui planaient sur eux dans un lieux pareil, se pensant en sécurité dans les ombres, il l'a plaqua contre un mur en lui retirant sa capuche. Puis il vint lui embrasser le cou en descendant ses mains sur sa poitrine après avoir baissé l'une de ses bretelles. Bien qu'elle levait la tête, appréciant ses baisers, la jeune reine repoussa ses avances.

- Altaïr… On ne… devrais pas…

- Un peu s il te plais...; insista l'assassin, prit dans une dangereuse transe.

- Quelqu'un pourrait… nous surprendre…; voulu le raisonner la reine.

- Aller... Un peu...

- Tien, tient... Je vois que certains ne savent pas se faire discrets.

Le brun se figea quand cette voix atteint ses oreilles. Il venait de prendre conscience de son erreur. Brusquement, il lâcha Daenerys et fit volte face en mettant son bras devant elle dans une position de protection. Fixant, sur le toit de l'une des maisons qui les entouraient, l'homme qui venait de parler.

- Aguilar...

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