Prologue
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C’est comme un brouillard infini
Un chemin de mie,
Qui me perds dans cette réalité
Avec l’espoir que revienne l’été,
Un désespoir sans fin,
Délaissement vain,
Ma langue ne goûte plus à la vie,
Par ta faute, je ne suis plus Amie,
Plus Amie de moi-même,
Plus d’Elle, Je est partie,
Que fais-tu de mes je t’aime ?
Faussées par l’accalmie.
Baisse les pupilles,
Tu n’es plus de ta mère la fille,
Nourris mes démons,
Car ce sont eux qui te domineront.
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