Une semaine sans nouvelle. Jeanne ne me parlent plus, ne m'appelle plus, ne répond pas à mes textos et ne donne même pas de signes de vie sur les réseaux sociaux. J'ai donc réussi ? Elle ne me parlera plus et nous ne nous verrons plus ? Si j'ai réussi, alors pourquoi est-ce que je me sent si mal ? J'ai l'impression d'avoir perdu une part de moi. Mais de toute façon elle ne faisait que m'attirer des ennuis. Je vivrais bien mieux sans elle. Même si ma poitrine est sur le point d'explosé, même si mon nez me pique, même si mes larmes coules, je dois admettre qu'avec elle s'était peine perdu. Je ne pouvais pas continuer. Je ne dois pas continuer.

je pleur. Je me lave et je m'endors avec un gros mal de crâne. Au réveil, mes yeux sont piquant, j'ai la bouche très sèche et un énorme mal de crâne, pire qu'au moment de me coucher. De l'alcool est éparpillé partout autour du lit. Je sens un mouvement à côté de moi qui me fais sursauté. Je soulève la couette et découvre Ruth. Elle se réveille doucement.

"Mais t'es bête, je dormais ! J'ai mal au crâne, donne moi un cachet."

Je ne comprends pas. Je crois que ça fais 10 bonnes minutes que je reste là à la fixé se rendormir. Je ne sais pas ce que fais Ruth içi. Plus j'essai de me souvenir, et moins je comprends. Je me lève. Je prépare un doliprane et un verre d'eau. Puis, mon mal de tête me sonne. Je m'en prend un. Mais qu'est-ce qu'elle fait là ?? Elle est nue ? Je regarde au sol et sous les cadavres de bouteilles, je vois une culotte rose ... Merde.

Je la réveille. Elle ronchonne un peu et bois son doliprane. Je détourne les yeux de son corps qu'elle me dévoile sans même être intimidée.

"Je suis désolée pour hier soir Pat."