Des Vacance Mouvementé Parti 2 : Un Maitre nageur m'apprend à Plongé

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En arrivant à l'hôtel, on alla directement dans nos chambres. J'étais dans la même chambre que Xavier et mes parents dans la leur. On n'était pas super riches, donc ce n'était pas un cinq étoiles super luxueux, fallait faire avec les moyens du bord et donc fallait partager ma chambre avec mon frère.

Paradoxalement, mon frère ne s'est jamais baladé à poil dans la maison, pourtant il est très loin d'être pudique, voulant devenir acteur porno, il n'avait pas intérêt, s'il voulait réussir.

La première soirée fut géniale, restaurant en bord de plage, on a parlé toute la soirée, c'était parfait, un moment inoubliable, de fou-rire à anecdote improbable, on les a toutes racontées... Enfin, je n'ai pas raconté mon histoire avec le jeune à l'aire d'autoroute, ni ma première fois, mais j'en ai racontées d'autres. Faut dire, dans ma famille on n'a jamais été pudiques et on a jamais eu peur ou honte de parler sexe, même sous le regard hébété des autres clients nous entendant parler sans aucune gène.

En rentrant à l'hôtel, je me retrouvais donc dans la chambre avec Xavier. Il prit sa douche le premier, sans même me demander mon avis.

Bon d'accord, pas de problème....

Ensuite, il sortit de la salle de bain en peignoir et s'assit sur son lit et sortit son ordi, puis commença à pianoter dessus, pendant ce temps-là, j'allais à mon tour me laver.

Après m'être lavée, fatiguée de la journée et de la route, je me couchai, le bruit de l'ordinateur et de mon frère ne me dérangeant absolument pas pour dormir, vu mon état de fatigue.

Mais juste avant que je m'endorme, soudainement j'entendis des gémissements et des claquements de fesses.

Je me tournai vers Xavier et vis qu'il se matait un film de cul tranquille derrière moi. Encore heureux qu'il ne se branlait pas devant.

- « Non mais t'es sérieux là ?! » Lui dis-je surprise et légèrement énervée.

- « Je ne fais pas ça pour mon plaisir, mais pour apprendre, le cadrage, la lumière... » Me disant ça ultra sérieusement.

- « Comment gémit et crie la meuf, tout en profitant de mater ses nibards et sa chatte se faisant défoncer. Arrête de me raconter des conneries, tu le fais pas pour t'améliorer, tu fais ça pour te faire kiffer avoue-le.»

- « L'un n'empêche pas l'autre. » Me répondit-il sur le même ton, sans même me prêter un regard.

- « Tu pourrais au moins mettre des écouteurs, non ? »

- « Le son est peut-être meilleur, mais je n'aime pas ça. »

- « Baisse le son au moins. »

- « Si je baisse le son, j'entendrais rien. »

Et on a continué comme ça au moins dix bonnes minutes. Toutes les excuses pour qu'il fasse soit moins de bruit, soit qu'il arrête étaient systématiquement refusées, ou avaient une explication soit-disant logique et rationnelle.

Je me retrouvais donc à devoir m'endormir avec le bruit de Claire Castel se faisant prendre par trois mecs. Le pire ce n'était pas le bruit, c'était l'excitation que cela me procurait. Entendre le bruit de la pénétration, les claquements répétés du bassin du mec sur les fesses de Claire, accompagnés de ses gémissements de plaisir, du bruit que fait sa bouche quand elle suce un autre pendant qu'elle se fait labourer. Franchement je me demande comment j'ai réussi à m'endormir sans devoir me doigter, tellement cela m'excitait.

Peut-être parce qu'il y avait mon frère juste à côté, sûrement d'ailleurs.

Le lendemain fut une journée pour le moins normale, pour une journée de vacances du moins. On a passé la matinée au marché, pour voir s'il y avait des trucs intéressants, ensuite on est allés à la plage, bronzer, se baigner, puis on est rentrés se reposer, tranquille en terrasse. Pendant deux ou trois bonnes heures, mes parents se son enfermés dans leur chambre, ce n'était pas compliqué de savoir ce qu'ils allaient faire... Même si à mon avis, ils vont dormir juste après avoir terminé le premier acte.

Pendant ce temps, moi je suis allée à la piscine pour encore plus kiffer et aussi pour mater de beaux mecs.

Arrivée là-bas, il y avait trop de monde, c'était un truc de fou, aucun transat de libre, la piscine bondée de monde nageant dedans. Les deux toboggans étaient aves des files d'attente faisant l'intégralité des escaliers.

Je n'arrivais pas à le croire, mais malgré ça j'avais envie de rester, je commençais donc à marcher sur le bord de la piscine, cherchant un transat où me poser. J'ai dû chercher dix-quinze bonnes minutes facile, le pire c'était quand une place se libérait, elle était directement reprise par des clients qui arrivaient tout juste... Bande d'enfoirés, moi ça fait quinze putains de minutes que je cherche.

Mais à ce moment, le maître-nageur, me voyant tourner en rond depuis tout à l'heure, est venu me voir.

- « Bonjour, excuse moi, ça fait facilement vingt minutes que je te vois tourner en rond, tu veux que je te trouve une place ? »

Arrivant derrière-moi je me retournai pour lui répondre et j'avoue avoir buggé en le voyant.

En même temps, quand le Maitre-Nageur est le cliché de ce à quoi ressemble un Maitre-Nageur, on ne peut que bugger.

Il était grand, avec des muscles bien sculptés, ni trop gros ni pas assez, taillés en V et un visage lisse sans aucun poil apparent, des yeux bleus clairs et des cheveux bruns mi-longs, bien coiffés.

Franchement, je suis restée toute bête devant lui, cherchant mes mots, n'arrivant pas à empêcher mon regard de faire des va-et-vient de haut en bas.

- « Euh.... Je.... Enfin... Eeuuuh... C'est... C'est très gentil mais.... Enfin.... Enfin bref tu vois quoi ? »

Il rigola de me voir dans cet état, faut dire si on m'avait filmée et qu'on me l'avait montré, j'aurais sûrement rigolé aussi.

- « On dirait que je t'intimide, faut pas être intimidée, surtout que tu ne ressemble pas à une fille naturellement timide, si je puis me permettre, vu ton maillot et ta manière de marcher. »

Il n'avait pas tort, mon maillot était presque provoquant, un string avec une ficelle entre mes fesses, ne cachant pas grand-chose, avec un haut presque aussi inutile que mon bas, ne cachant que l'essentiel. J'aimais beaucoup ce maillot de bain, malgré le fait que tout le monde me regardait comme si j'étais une salope d'allumeuse.

Et d'ailleurs, s'il a vu mon maillot et ma démarche, ça veut dire qu'il me regardait.

Intéressant...

- « Ou... Oui c'est vrai en général, je ne suis pas du genre timide, mais quand un beau mec me surprend avec autant de gentillesse, ça m'arrive de bugger un peu, désolée. »

- « Je te remercie. Alors ? »

- « Alors quoi ? » Ayant complètement oublié la raison pour laquelle il était venu me parler.

- « Ha ha, est-ce-que tu veux que je t'aide à trouver une place ? »

- « HA ! Oui, euh... Oui bien sûr, ça serait très gentil, merci. »

Il commença donc à marcher avec moi, on se présenta. Il s'appelait Tristan, il avait 28 ans et était en train de passer son diplôme de plongeur-sauveteur embarqué, les sauveteurs qui sauvent les personnes en haute-mer en hélico. Et il venait ici tous les ans depuis maintenant sept ans pour pouvoir payer ses études et mettre de l'argent de côté. Et également faire de belles rencontres, m'a-t'il rajouté, en me regardant dans les yeux, juste avant de se perdre sur ma poitrine.

Je l'intéresse on dirait.

Après qu'on a fini la discussion et qu'un silence commençait à s'installer entre nous deux, il s'approcha d'un groupe de mecs qui avaient quatre transats alors qu'ils étaient trois.

Il leur demanda gentiment de me donner le quatrième transat. Ils acceptèrent non sans tirer la gueule, mais je m'en foutais, je pouvais enfin m'assoir et bronzer tranquillement. Je remerciais mon sauveur et me mis dessus le transat.

En partant il me souhaita une bonne baignade et bain de soleil et me dit que si j'avais le moindre problème, que je vienne le voir sans hésiter.

Je passais la première heure à bronzer tranquillement, en regardant ce beau mâle de Tristan surveiller la piscine, nos regards se croisant fréquemment. Pendant un moment, j'arrêtai de le regarder pour l'intriguer et l'inciter à me regarder plus longtemps, puis au bout de dix bonnes minutes, je me suis levée et m'approchai de l'eau. Sans me mouiller, pour ne pas passer pour une conne devant lui, même si la position pouvait être intéressante, mais il n'était pas dans le bon angle, je plongeai de la manière la plus élégante que je pouvais faire et ressortis comme une sirène, en faisant voler mes cheveux en arrière, en me courbant en arrière. Je ne vis pas sa réaction, mais la devinais sans mal, car juste après je ne le vis plus pendant quelques minutes. Soit il était juste allé faire un truc, soit je l'avais tellement excité que ça commençait à se voir et qu'il était parti se calmer ailleurs.

Hmmm, j'opte pour la deuxième option, beaucoup plus intéressante et amusante.

Je suis restée dans l'eau une bonne demi-heure, sans vraiment chercher à intéresser Tristan, faut savoir se faire désirer et oublier aussi.

J'ai passé le reste de l'après-midi à bronzer tranquillement sur le transat, jusqu'à la fermeture de la piscine.

Tristan, qui fermait les lieux, est venu me voir pour me demander de partir.

- « Excuse-moi Cora, mais la piscine est fermée, je dois te demander de partir. »

- « Vraiment ? Oh c'est dommage, j'allais justement te demander un truc qui doit se faire dans l'eau. »

- « J'aurais énormément aimé t'aider, mais je dois absolument fermer les lieux, désolé. »

- « Même pas cinq petites minutes, tu me montres comment faire, puis je men vais. »

- « Bon cinq minutes d'accord, pas plus, que voulais-tu me demander ? »

- « Je voulais savoir si tu pouvais m'apprendre à bien plonger. Je me suis sentie bête tout à l'heure, en plongeant comme je l'ai fait et j'aurais aimé que tu me montres comment toi tu fais, vu que tu es un pro.»

- « Un pro ? Non pas encore, mais je t'ai vue plonger et tu y arrive très bien tu sais, tu n'as pas à te sentir ridicule, j'ai vu mille fois pire, crois-moi. »

Il était mignon, ne comprenant pas une seconde ce que j'insinuais derrière ma fausse demande.

- « Mais si tu veux, je peux toujours te corriger comme je peux. »

- « Super, merci. »

On s'approcha donc de la piscine et je me mis au bord et mis mes bras volontairement n'importe comment pour plonger, pour qu'il me corrige.

- « Comme ça ? » Lui demandai-je, telle une idiote.

- « Non pas du tout, plutôt... Comme ça. » Me corrigeant en frottant ses mains sur mes bras, en les déplaçant doucement.

- « Ah d'accord et comment je dois faire pour bien m'élancer ? Comme ça ? » Me penchant en avant et mettant mes fesses bien en évidence.

- « Hé hé, non pas du tout, mais pourquoi tu fais exprès de faire n'importe quoi ? Tu l'as très bien fait tout à l'heure, pourquoi maintenant tu fais ça ? »

- « Je te l'ai dit, je ne sais pas plonger, alors dis moi si c'est comme ça ? »

- « Non, tu dois rester droite et utiliser tes jambes, comme un ressort pour te jeter à l'eau, tout en te penchant de manière à rentrer dans l'eau, comme ça. » Dit-il comme un professeur de natation à son élève, mais ses mains elles, on aurait plutôt dit qu'il était en train de me masser.

Il alla de mes bras jusqu'à mon bassin en caressant ma peau tout du long, se mit derrière moi et releva mes fesses, non pas avec ses mains, il était bien plus malin que ça, mais avec son bassin, tout en me faisant cambrer le bassin de la bonne manière avec ses deux puissantes et douces mains.

- « Oh je vois, donc là je suis bien placée pour plonger c'est ça ? »

- « Oui, exactement la position que tu as utilisée tout à l'heure pour plonger, tu vois, tu savais déjà le faire.»

- « Je veux quand même voir s'il y a une différence. »

Il recula et je plongeai, sentant qu'il était bien trop sérieux pour céder à mes avances, j'avoue avoir été un peu... Disons, coquine sur ce moment.

Une fois sous l'eau, je bougeai volontairement une de mes brassières, de manière à ce que le moindre mouvement brusque de ma part dévoile l'un de mes seins.

Dés que je sortis la tête de l'eau, il m'applaudit en souriant et en me félicitant.

Je m'approchai du bord, en ne gardant que la tête à l'extérieur de l'eau pour ne pas dévoiler ma fourberie.

Tellement gentlemen, qu'il me tendit la main pour m'aider à sortir, j'avais envie de le tirer avec moi, mais vu ses muscles, je n'aurais jamais réussi.

Je sortis donc de l'eau et comme prévu, ma brassière tomba et dévoila un de mes seins, mais je fis semblant de ne rien avoir senti en faisant la greluche, fière d'avoir réussi à sauter.

Évidemment il l'a vu immédiatement, mais il était tellement adorable et sous le choc, qu'il ne voulait pas me couper la parole. Peut-être aussi parce qu'il aimait beaucoup la vue. Il regardait autour de lui pour voir si personne ne me voyait et essayait de me le faire comprendre avec des gestes discrets. »

Mais je faisais semblant de ne rien voir bien sûr et bougeait dans tous les sens pour bien les faire bouger et bien lui donner envie de moi.

Et à ma grande surprise, sûrement à cause de l'eau et de mes mouvements brusques, la deuxième brassière tomba également, dévoila entièrement ma poitrine.

Là, je ne pouvais plus faire semblant de ne rien sentir ou voir. Par contre lui... Disons qu'il avait intérêt à vite se retourner ou aller dans l'eau pour qu'on ne voie pas la bosse dans son maillot.

Moi, j'ai joué la fille super gênée, ne sachant pas quoi faire, ni quoi dire, à part :

- « Oh j'ai honte. Je suis vraiment désolée. » et d'autres trucs, en plus de mettre maladroitement mes mains sur mes tétons, durcissant sous l'excitation de la situation.

- « Je... je suis désolé, je te promets que je n'ai rien vu, enfin... Pas assez longtemps pour vraiment voir... Enfin... »

Sa timidité commençait à m'agacer, j'avais envie de lui, mais visiblement il ne voulait pas de moi, ou se refusait à céder. Je passai donc à la vitesse supérieure.

- « Vraiment ? Pourtant tu es tout dur, là.» Lâchant un de mes seins, pour mettre mon doigt sur le bout de la bosse de sa bite.

Surpris par le fait que j'ose toucher, il s'immobilisa quelques secondes en regardant mon doigt. Puis me regarda droit dans les yeux.

Et d'un coup d'un seul, il chopa ma main qui touchait sa bosse, de son autre main il attrapa mon sein et m'emmena jusqu'au vestiaire, où il ferma la porte rapidement, avant de baisser son maillot de bain, me montrant son sexe en érection. Il s'approcha de moi et me plaqua contre le mur en mettant ses mains sur mes seins. Sa soudaine violence et bestialité m'excitait, ça me surprenait aussi. Lui qui est si calme et gentil, on aurait dit que j'avais réveillé la bête qui dormait en lui.

Sans aucun préliminaire aucun, il enfonça sa bite en moi, sans même enlever mon string, il l'avait simplement déplacé pour accéder à ma chatte au plus vite. Il se mit à me baiser comme un animal, m'écrasant littéralement la poitrine dans ses mains musclées, à m'en faire presque mal par moment. Mais je vous avoue avoir été surprise de me rendre compte qu'il était précoce, car à peine cinq petites minutes après m'avoir pénétrée, il se mit à éjaculer en moi. Ne m'attendant pas du tout à ce que ça soit si rapide, je n'eus pas le temps de le retirer. Tant pis, j'irais acheter des pilules du lendemain, pour être sûre, déjà qu'on le fait sans capote et puis de toute façon je déteste ça, donc tant mieux.

Pensant que c'était fini, je commençai à bouger, mais il me renfonça soudainement sa queue plus loin en moi, me surprenant et me faisant pousser un cri.

Nom de dieu, mais il est reparti !

Sans aucune seconde de repos, voilà qu'il se remet à me baiser tout aussi sauvagement qu'avant, même ayant l'intérieur déjà en partie rempli par son premier tir.

Il continua de me baiser encore environ dix minutes, avant de rejouir à nouveau en moi, étant en train de devenir folle à cause de la puissance et de la rapidité de ses va-et-vient, encore une fois je ne réagis pas.

À peine le temps de comprendre ce qui venait de se passer, qu'il se retira, faisant couler le sperme de ma chatte au sol, qu'il me retourna et me plaqua la tête contre le mur et recula mon cul.

- « Montre-moi comment tu voulais plonger tout à l'heure ? Car ce n'est peut-être pas une bonne position pour plonger, mais pour te baiser c'est parfait. » Me dit-il plus excité que jamais.

Je me remets dans la position que j'avais abordée pour plonger et il me pénétre soudainement dans cette position. Les cris que je poussais ne faisaient que le faire accélérer, mais plus il accélérait plus je criais, c'est un cercle vicieux. Ce mec était juste increvable et surtout invidable. Toutes les cinq minutes environ, il éjaculait et pas de petites quantités, à en inonder ma chatte à chaque fois, j'avais déjà vu ça dans des hentai mais... Mais putain j'ignorais que le sexe excitait les hommes comme ça.

- « Si tu continue d'éjaculer comme ça en moi, je vais tomber enceinte. » À la base je disais ça pour le ralentir et l'inciter à jouir ailleurs, mais l'intonation que je pris, mélangée à la voix que j'avais, n'a fait que lui faire comprendre l'inverse.

- « Tu veux que je te foute en cloque salope ?! Parfait, je vais te baiser jusqu'à ce que tu puisses plus marcher ! »

Juste après avoir dit cela, il saisit mes cheveux et les tira en arrière et éjacula au plus profond de mon vagin. Cette soudaine violence physique et verbale me fit jouir comme une folle. Et moi qui pensais n'être aucunement excitée par le sexe violent suite à ma première fois, qui était tout sauf douce, me voilà en train de jouir de plaisir sous cette violence inattendue.

Après plusieurs longues minutes et plusieurs éjaculations en moi, il me retourna face à lui et me tira jusqu'à à un banc, où il me jeta dessus pour que je m'assoie, puis il m'écarta les jambes et en mit une sur son épaule et tenait l'autre dans l'autre main, puis la remet en moi soudainement et continua de me baiser comme une chienne.

Mon vagin était en feu, j'avais l'impression qu'il allait fondre sous la chaleur que procurait notre violente copulation. J'avais également l'impression que mon ventre était rempli, à cause de tout le sperme qu'il crachait en moi sans se poser de question.

Mes seins se balançant violemment à contre-rythme avec ses va-et-vient en moi.

La sueur mélangée à l'eau remplie de chlore de la piscine, glissant sur ma peau, essayant vainement de me refroidir dans cette ambiance des plus chaudes.

Après presque une heure entière de sexe, Tristan cracha une dernière fois, mais cette fois il le fit sur mon visage, comme pour dire que c'était la dernière. Je suçais sa bite pour la nettoyer et également la remercier de cette expérience des plus surprenantes.

Puis je me redressais et regardais Tristan droit dans les yeux.

- « Et bah dis-moi, tu cache bien ton jeu mon cochon, monsieur a un très gros vice on dirait, sans parler de ta belle queue bien sûr. » Lui dis-je en lui touchant du bout des doigts.

- « Excuse-moi si ça t'a surprise, mais c'était pour ça que j'étais réticent à accepter tes avances, ça a déjà fait peur à plusieurs filles, cette soudaine violence venant de moi. »

- « Ne t'excuse pas, j'aime les surprises et franchement tu t'es bien débrouillé, par contre, vu les litres de sperme que tu as craché en moi, si je ne fais rien dans neuf mois t'es papa mon gars. »

- « Oh merde pardon, je... Je te payerais les pilules et ce qu'il faudra pour ça, promis. »

- « Hi hi, ne t'inquiète pas, je compte pas le garder, je suis trop accro au sexe pour être maman, crois-moi. »

- « En tout cas... J'ai passé un très bon moment avec toi. »

- « De même, j'ai bien kiffé, si tu veux un de ces quatre on pourra remettre ça. »

- « Ha... Je... Je suis peut-être stupide de refuser mais... Vois-tu je... »

- « Non, t'inquiète, tu fais comme tu veux, je ne vais pas t'obliger à me baiser, enfin, je l'ai fait une fois, je ne le ferais pas une deuxième. T'inquiète pas pour moi, tu as bien vu de quoi je suis capable, je trouverais sans mal. »

- « Oui... Oui effectivement, tu es une très bonne séductrice et compagne de sexe. Tu ne devrais pas avoir de problème. »

- « Bon et bien, à plus. »

Je repris mon soutien-gorge, qui était tombé pendant la baise, puis je suis sortie comme si de rien n'était du bâtiment et de la piscine et suis rentrée à l'hôtel tranquillement.

En arrivant là-bas, mes parents, visiblement venaient de s'engueuler, ils essayaient de me le cacher, mais je les connais par cœur et ça se voyait de loin. Mais je fis comme si je n'avais pas vu et allai dans ma chambre.

À peine j'ouvre la porte que j'entendis Xavier en train d'encore regarder un film porno. Soupirant et levant les yeux au ciel en entendant cela et du manque de pudeur et de respect de sa sœur venant de mon frère, j'allais me laver pour me nettoyer de tout ce chlore et de sperme, que j'avais sur moi dû à la piscine.

Merci à @Auguste_Fregate pour la correction

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