41.Destitution gouvernementale

13 minutes de lecture

Angélina

Immeuble Gallagher, South Central, Houston, Texas

16 Novembre 2023

Bon sang, presque…encore un effort !

Accroupie face à la poignet de la porte de Brett, je me démenai contre la serrure, hurlant intérieurement d’impatience à chaque cran que je sentais céder sous mes outils, puis maugréant à chaque échec, obligé de recommencer. Vingt minutes auparavant, j’avais sonné, espérant me faire inviter. Je devais absolument refaire un tour des lieux, savoir. Et puisque mon chef n’est pas là

Cette fois, le chemin fut le bon. Je jubilais en tirant sur la poignée. Refermant avec précaution dans mon dos la porte que j’étais parvenue à crocheter, je fis quelques dans la pièce et passai au crible les lieux. C’est ici, c’est certain. Traversant la salle à manger, je me précipitai dans le salon, pour m’arrêter devant l’immense bibliothèque qui occupait tout un pan du couloir, dans la pénombre. Ce couloir mène à son atelier, me rappelai-je en scannant chaque étagère. Mes yeux s’arrêtèrent sur ce que j’étais venu confirmer. Je ressorti précipitamment mon portable pour comparer le logo figurant sur les contrats figurant à Alterwhite avec celui qui ornait la tranche du livre que j’avais sous le nez. J’avais raison ! Identique. Légèrement différent du sigle officiel. L’agence traitait des ordres de mission annexe, officieuses, sous un ordre de validation émit par une autre personne que le PDG de l’agence de pub. Si Brett est en possession de ce livre… Je jetai un coup d’œil vers l’escalier qui menait à l’étage, sentant l’impatience et l’horreur me gagner. Le bras droit du PDG d’A.J. Investigation travaille pour Aleterwhite, et indirectement pour le groupe Evy-Earth ! Sans perdre une seconde, je cadrai mon écran de téléphone plutôt que celui de mon Canon, de façon à inclure une partie de la bibliothèque de Brett, capturai le livre et l’envoyai à Alec. Il doit savoir ! Récupérant mon appareil photo, je repris le cliché, avant de me diriger vers l’étage. L’accès à l’atelier, lui aussi verrouillé, possédait une serrure bien moins résistante, aussi, je la crochetai sans mal. Lorsque j’entrai, les mots me manquèrent. Des piles et des piles de documents sur un large bureau, alors qu’autour, rien. Dans cette pièce aux dimensions démesurées en comparaison avec le reste de l’appartement, juste, un bureau l’ornementait. Pas de siège, pas d’armoire, pas de casiers. Rien. Des murs gris, un sol couleur sable. J’avais la sensation de me retrouver dans une maison en cours d’aménagement. Après quelques nouveaux déclics de mon Canon, je m’approchai de l’unique mobilier, parcourant du regard les premiers dossiers. Certains émanant de l’AJ., d’autres qui m’étaient inconnu. Je reculai d’un pas, puis m’accroupi pour inspecter l’envers du bureau, dont le font me parut beaucoup trop bas. Le bois doit être creux, pas plein. Aussitôt, je repoussai les quelques piles qui masquaient un calendrier. Je photographiai celui-ci avant de le soulever. J’ai vu juste. Sur la boiserie se découpait un cadre fin, comme une trappe. Elle aussi, verrouillée. Un juron m’échappa. Ce type voue un amour trop affirmé aux serrures. Balayant l’espace du regard à la recherche d’une clé, je laissai aussitôt tomber et sorti de mon sac un tournevis plat dont j’enfonçai le rebord entre le jeu que m’offrait le bois, proche de l’ouverture, avec l’intention de m’en servir comme levier. De toute façon, je ne pourrais pas cacher ma venue, alors j’ai besoin de preuves accablantes. Après plusieurs essais à mains nues, j’utilisai mon talon pour marteler la poignée de mon outil et l’entendis le bois, craqueler, céder.

— Pas du chêne, pour sûr, m’amusai-je, en forçant encore.

J’écartai la plaque dans un fracas pour découvrir un tiroir géant, emplit de documents divers, de photos. Les traits d’Alec se découpaient sur l’une d’elle. Son visage était bombardé de trous minuscules, de lézardes, comme piqué et égratigné avec une aiguille. Je dégainai mon appareil pour m’atteler à capturer chaque détail du labeur de Brett. Des papiers d’identité se trouvaient dans un classeur, ainsi qu’un passeport. Ça alors ! Qu’est-ce que… Les traits impassibles de mon supérieur, figé sur le papier glacé me fixait, mais là où je m’attendais à y voir figurer le nom de Samson, il n'en fut rien. Noah Peterson. Qui est-il ? Un acte de décès figurait au dos, au même nom. C’est quoi, ce cirque ? Qu’est-ce…

— J’aurai dû me douter que j’avais commis une erreur en te permettant d’entrer ici le week-end dernier.

Mon sang se glaça dans mes veines, mais j’eus la présence d’esprit d’appuyer sur le bouton d’appel de mon portable d’une main, camouflé dans l’angle du bureau. Le décompte des secondes s’amorça, sous le nom de mon PDG alors que j’enclenchai le haut-parleur, tout en faisant mine d’examiner les dossiers.

— Pourtant vous m’avez recruté, persiflai-je en redressant la tête vers le propriétaire des lieux en soulevant la photo d’Alec. Quel meilleur ami vous faites, Brett… ou peut-être devrai-je dire Noah Peterson. Vous avez trahi Alec !

Le sourire de Brett, terrifiant, n’atteignait pas ses yeux. Lorsque ces derniers se posèrent sur le cliché de son patron, son rictus se mua en une expression de dégout ostensible.

— Alec n’est pas mon ami. Tu ne sais rien, Angélina. Tu ne peux pas comprendre, même si tu progresses bien, répondit-il simplement en effectuant un pas vers moi.

— Ne bouge pas, criai-je en attrapant mon portable.

Il rit sans cesser d’avancer, m’observant comme une proie qu’on s’apprête à ravir.

— Que comptes-tu faire avec ce téléphone, appeler la police ? ils travaillent pour moi, ricana-t-il en se fendant d’une expression légère dissimilaire à son regard.

Tu ne sortiras pas d’ici. Ses yeux me le hurlaient autant que sa posture tranquille. Je reposai lentement l’appareil que mon regard effleura malgré moi, la communication toujours en cours. Alec entend tout, il sait.

— Marc Weaton seulement, lançai-je pour gagner du temps autant que pour me rassurer.

Cette fois, Brett éclata d’un rire qui me gela encore plus. Figée, je contemplai sa silhouette qui me barrait la sortie, évaluant mes maigres chances de fuite, en dépit du bureau entre nous. Il Faut que je réussisse à le faire courir autour, que je

— Weaton est l’un des seuls bons garçons de tout Houston, asséna-t-il, la voix tranchante.

— Il déteste Alec, répliquai-je, la voix moins stable que je l’eus souhaitée.

— Pas autant que moi, affirma Brett en posant ses grandes mains sur le rebord du bureau adjacent au mien.

Je tressaillis, puis m’écartai de quelques pas, et mon dos cogna contre le mur. Mon supérieur baissa les yeux sur la photo d’Alec que j’avais laissé choir dans le tiroir secret et une grimace amusée s’étala sur ses traits en découvrant l’écran de mon portable. Merde.

— Qu’est-ce qu’un muet peut bien faire pour toi, tu peux me le dire ? On va se revoir bientôt, Al’, ajouta-t-il à l’attention de l’appareil avant de s’en saisir pour mettre un terme à la communication.

Il attrapa mon appareil photo et le projeta au sol. Mon outil de prédilection se fractura dans un bruit sourd, expulsant des bouts de plastique et autres composants dans un large rayon autour de lui. Brett, ou Noha l’acheva de son talon en se dirigeant vers moi. Je contournai à la hâte le bureau, prise de court par mon supérieur qui avait anticipé ma tentative. Je rebroussai chemin dans un cri, et au moment où il s’apprêtait passer par-dessus la surface, je pivotai pour effectuer le tour du bureau par la gauche, et sprintai vers la sortie. Son timbre rauque accompagna ma descente des escaliers, se répercutant de manière lugubre dans toute la partie supérieure de l’appartement.

— Tu vas m’accompagner que tu le veuilles ou non. Tu n’as aucune échappatoire, Angie, coopère et tu t’en sortiras peut-être sans égratignures. Ne te fais pas désirer.

Sans répondre, je fonçai jusqu’à la porte pour l’ouvrir et constatai avec effroi qu’elle était fermée à clé. Il avait pris soin de la verrouiller à son arrivée. NON ! C’est pas possible, c’est pas vrai ! J’avais mis tant de temps à la crocheter… Me retournant à la recherche d’une autre issue, la silhouette de Brett se découpa au bas de l’escalier. Son assurance et son calme redoublèrent ma frustration. J’attrapai un cadre que je lui envoyai dessus, puis un livre, tout ce qui se trouvait à ma portée dans l’entrée.

— Qu’avez-vous fait de Joyce ? Qui êtes-vous ? m’époumonai-je en constatant qu’il n’était pas ralenti le moins du monde par mes projectiles, les repoussant ou les esquivant avec aisance.

— Ne t’inquiète pas de ton binôme, lâcha-t-il avec froideur en tendant néanmoins la paume vers moi dans un geste conciliant, tu la rejoindras bien vite. Je te le demande encore une fois, suis-moi de ton plein gré.

Je réfléchis à toute vitesse, mais ma réponse fut lancée du ta-au-tac.

Qui je dois suivre, hein ? braillai-je.

Son regard s’assombrit, sembla se vider de toute émotion, alors qu’il plongeait la main dans le passant de sa ceinture pour en sortir une arme-à-feu.

— Ton supérieur hiérarchique te l’ordonne, allégua-t-il en pointant le canon en direction de ma tête.


Alec

Immeuble Gallagher, une heure plus tard, Houston, Texas

16 Novembre 2023

Le nuage de fumée opaque qui émanait du bâtiment alors que je sortais du véhicule de police de Weaton m’arracha un grognement. Les pompiers déjà sur place, s’activaient à éteindre l’incendie qui provenait, sans aucun doute possible, de l’appartement de Noah. Le salaud. Marc à mon côté, lâcha à ma place un juron.

— Il a pas perdu de temps, gronda-t-il. J’ai dit à mes gars de contrôler les frontières de l’Etat, si un Noah Peterson ou un Brett Samson tente de franchir les barrages, il est grillé.

Sauf que ses relations s’étendent bien plus loin que la ville. Je secouai la tête.

« Il n’a pas quitté le territoire, il n’en a pas besoin. Sans compter que tu as entendu la conversation. Il a du soutien externe. »

A l’instant où j’avais répondu à l’appel de Fritzberg, j’avais mis l’enregistreur en route, après avoir muté le son des environ, complètement rivé sur leur échange. Mes mains tremblaient de rage alors que dans le même temps, j’avais envoyé un SMS au seul agent de police qui, conformément aux dires de Noah, n’était pas de connivence avec lui. Marc avait agi dans la plus grande discrétion dont il lui était possible de faire preuve, ne mettant sur le coup que son équipe. Après avoir ouvert l’enquête sur le kidnapping de Joyce et d’Angélina, il avait cependant été contraint de mettre son supérieur dans la confidence, ce qui m’agaçait profondément.

« On ne connait pas le nombre de corrompus », ajoutai-je au travers de mon iphone.

Marc répliqua sans tarder avec véhémence.

— J’ai confiance en mes hommes.

« Comme tu faisais confiance à Noah », raillai-je.

— C’était ton cas aussi, tu te fais berner depuis des années, t’es mal placé pour la ramener, Jones, rétorqua-t-il, cinglant.

Un râle m’échappa et j’encaissai la vérité avec rage. Ça brûlait toujours sous mon épiderme, cette fureur alimentée pas sa trahison. Je revoyais ces soirées d’étudiants imbibée d’alcool, ces rires et ces franches déconnades que je savais à présent factices. Ces nuits d’enquêtes, ces dossiers épluchés ensemble, tandis que je le pensais œuvrer dans la même direction que moi. Plus d’une fois, je lui avais totalement fait confiance pour traquer des indices pour moi. Je réalisai maintenant qu’il en avait probablement falsifié certaines pour me tenir à l’écart. Comme il avait falsifié sa propre vie pour coller à la mienne et s’y loger une place, s’y fondre. C’était devant moi, tout ce temps ! Des années durant lesquelles je me cru bien entouré. Même mon détective privé n’y avait vu que du feu. Bien qu’à la réflexion…Je grinçai des dents en me tournant vers Marc.

« J’ai besoin que tu inclus le nom de mon détective privé dans ton enquête. »

J’écrivis son patronyme sous le regard narquois de l’agent.

— C’est Noah qui te l’a dégoté, celui-là aussi ?

Je souspirai en guise d’affirmation, et il prit note.

— Il est aussi possible qu’il s’agisse d’une fausse identité, tu t’en doute. S’il est lié à cette histoire…

Il fonctionne en binôme. Je tapai frénétiquement sur mon écran, soudain à court d’oxygène.

« On a besoin d’un nouveau parloir en urgence ! Dickens peut l’identifier ! s’il s’agit du comparse de Noah, c’est peut-être le même qui l’accompagne à la prison d’Houston. Dudson Thrirston. »

Le regard de l’agent se rembrunit.

— Va falloir que tu m’accompagne au poste pour qu’on tri tout ça, Jones, parce que je sens que ta déposition ne va pas être une partie de plaisir.


***


21 heures plus tard, Département de police, environ 1 kilomètre d'A.J. Investigation, Houston, Texas

17 Novembre 2023

Au poste, Marc avait enchainé les cafés, les questions, ses doigts martelant son clavier d’ordinateur avec détermination. Je l’avais secondé avec mon témoignage, mes pistes et mes déductions qu’il consignait, à part pour ces dernières, sur une page annexe. Pour éteiller mes propos, il avait eut besoin d’avoir accès à mon matériel, aussi, nous avions une nouvelle fois pris sa caisse aux gyrophares éteints jusqu’à mes locaux avec deux de ses hommes. Je leur avait déverrouillé les portes sans faire d’histoires, notant que leur présence avait causé un émoi visible parmi mes employés de l’étages inférieur. Tandis ses comparses parcouraient mes fichiers, je fouillai le poste de Noah.

Au bout de plusieurs heures de boulot et un retour au poste, nous étions tous sur les nerfs. L’agent Grayson, le plus flegmatique des deux équipiers de Marc brailla depuis sa chaise.

— C’est quand même étrange qu’aucune demande de rançon ou de présence ne nous soit parvenu.

— Tu te trompes, contesta Marc d’une voix éraillé par la fatigue. Son but n’est pas d’obtenir de l’argent ou du pouvoir, ça il l’a très certainement déjà. Il veut une reddition totale de Jones, un arrêt d’enquête des bureaux de l’A.J., des nôtres aussi, en attendant que les ripoux ne se débrouille pour étouffer l’affaire. Le signalement de la première victime a déjà sauté du fichier des disparus.

Quoi ? Je levai brutalement la tête, un grognement inaudible sur le bord des lèvres.

Avant que je ne puisse écrire quoique ce fut, la porte d’entrée du bureau de Marc et de ses accolytes s’ouvrit brutalement à la volée, faisant s’effondrer le porte manteau qui s’échoua dans un bruit mou.

— WEATON, QU’EST-CE QUE C’EST QUE CE BORDEL ? QU’EST-CE QUE T’AS FOUTU ?

L’agent leva les yeux vers ce que je présumai être son supérieur.

— Mon boulot, boss.

Le nouvel arrivant le fusilla du regard, avant d’en faire de même avec Grayson et son voisin de bureau.

— Plus maintenant, cracha-t-il en se retournant vers le concerné. Tu rends ta plaque et ton flingue, Marc.

Ce dernier se leva de sa chaise, l’indignation et la frustration se peignant sur ses traits.

— Tu peux pas faire ça, Éric ! Qu’est-ce que tu fais des deux femmes disparues bordel ?

— Ce n’est plus ton affaire, renchérit le prénommé Eric en secouant la tête alors qu’une sorte de tristesse envahit son expression. Ordre direct du Gouverneur. Motif : ingérence dans une enquête interne.

Le Gouverneur, rien que ça lui aussi est mouillé. Je cru que les yeux de Weaton allait lui sortir de la tête. Ce dernier le fixa, la mine sombre.

— Ingérence de quoi ? Tu comprends bien qu’il y a un problème, si on m’écarte en un claquement de doigt, le raisonna-t-il.

Le calme de son interlocuteur se fissura et sa voix chuta d’une octave.

— T’as mis le pied dans un bassin trop gros pour toi comme pour moi, Marc. Je ne peux rien faire. Si je m’oppose aux injonctions d’un Gouverneur, c’est la tête du commissariat tout entier qui saute. Ta mise-à-pied prend effet immédiatement.

Le flic mit quelques secondes à réagir, durant lesquelles seul le son de l’imprimante déchirait le silence. Il finit par claquer son badge sous le nez de son chef, suivit de son arme de service.

— Tu as ordre de mettre fin à ton enquête et de restituer le fruit de tes recherches et pistes auprès de ton supérieur, poursuivit Eric en se désignant lui-même du doigt, alors que Marc s’emparait de son blouson d’un geste rageur. Cependant…

— T’as qu’à te servir, le coupa abruptement Marc en le fusillant du regard.

Cependant, reprit-il plus fermement, il me semble n’avoir eu aucune consigne concernant Grayson.

Un regard passa entre les deux hommes. Je tournai la tête vers l’agent de Marc, dont le sourire sardonique s’affichait alégrement. Ce dernier se leva et brandit une fine liasse de feuillets fraichement imprimées.

— Je peux donc conserver les informations concernant Noah Peterson-Samson, suggéra-t-il.

— Tu n’as plus la possibilité de les transmettre à Marc, rappela Éric.

Grayson me contourna, laissant échapper les documents à mes pieds.

— C’est l’heure de ma pause, boss, envoya-t-il à l’attention du grand chef.

Ce dernier hocha le menton, tournant les talons à son tour.

— Moi j’ai à faire, une pile de dossiers s’amoncèle sur mon propre bureau. Je compte sur toi pour quitter les locaux et escorter ton plaignant avec toi, Marc sans trop trainer.

— Merci, Eric, souffla Marc en se saisissant des documents laissés par Grayson.

Le bip d’un e-mail s’afficha, et l’agent grogna à sa lecture.

— Droit de visite accordé, c’est pas trop tôt. Grayson t’accompagnera puisque…je ne suis plus vraiment flic, pour le moment.

Il s’attela rapidement au dossier qu’il feuilleta, et je me redressai pour lire au-dessus de son épaule des informations qui me vrillèrent le crâne.

L’enfoiré.

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Bonjour tout le monde !

Alec découvre le double jeu de Brett /Noah et trouve un allié en la personne de Marc Weaton, Angélina se fait kidnapper à son tour... Les événements s'enchainent et s'accélèrent, le dénouement est proche...à très vite !

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