13
Les lamiers flotterons sur l’eau puis couleront sur ta peau telle un amas de joyau.
Elle est dans sa chambre, écouteur aux oreilles et à son bureau.
Tu t’avances lentement, ton ombre se confondant à la sienne est...
Enfin, enfin, OUI.
Tu souris, tu es en califourchon sur elle.
Le visage de ta proie devient bleu.
Elle essaie de se débattre tant bien que mal, de t’échapper mais ses pupilles tourne telle des girouettes et tu adores çà.
Quand elle ne bouge plus, tu continues de l’étrangler voyant le sang commençant à monter ses deux œil.
Plus aucune vie n’est en elle, tu lui a coupé le souffle. Quand tu enlèves tes mains, tu entends de faible gémissements de supplice donc tu la regardes gémir de douleur sans sourire.
Quelle stupidité !.
Tu remets lentement tes mains sur ton cou, les serrant longuement, elle n’a plus la force de se défendre, c’en n’est fini d’elle! Pour TOUJOURS.
Un rire discret sors de ta bouche, lorsque tu la vois faire son dernier souffle après une quarantaine de minutes sur son cou.
Pathétique.
Tu tiens son menton de ton pouce et ton index faisant bouger sa tête avec un sale goût d’amertume.
Ton sourire est radieux, tu descends du lit n’étant plus en califourchon sur elle. Tu vas dans la douche allumant la lumière t’avançant vers la baignoire, tu fais couler l’eau. Retournant dans la chambre, tu enlèves son haut voyant un soutien-gorge blanc et une petite poitrine.
Tu enlèves sa jupe voyant maintenant sa culotte en dentelle.
Tu observes son corps à moitié nue.
— Sérieusement, c’qu’il faut pas faire.
Maintenant tu vois son dos et déboutonnant lentement son soutien, tu dois maintenant la retourner pour correctement l’enlever en y bougeant ses bras pour le faire.
Tu dessines sa silhouette de tes mains et enlève très lentement sa culotte voyant à présent son intimité.
Tu transportes maintenant son corps, la traînant jusqu’à la douche.
Dans la salle de bain tu coupes l’eau lorsqu’elle est à bonne hauteur pour ne pas déborder, tu portes son corps l’insérant dans la baignoire sous un bruit d’effort mais l’asseyant délicatement pour ne rien maculer, quand tu accomplies cela, tu y déposes méticuleusement les fleurs de lamiers car tu sais que tendresse et prudence son importante.
Tu vois les fleurs flotter sur l’eau clair touchant le sein de cette boiteuse.
Tu souris, fière du résultat, une peinture de cette scène sera merveilleuse, elle montrera ses derniers instant, le moment de sa mort qui a été laborieuse et magique.
Tu prends de ton sac un appareil photo et la photographie, de face, de l’arrière et de haut.
Son portrait doit être parfait sur le tableau.
Tu te demandes si tu devrais le signer mais tu te dis que cela n’en vaut pas la peine, car, certes tu pensais le faire mais tu ne le feras pas ; parce que c’est beaucoup trop tôt, donc tu mets ton appareil dans ton sac et sors de la douche.
Avant de partir, vérifie chaque pièces, chaque endroit pour voir si tu n’as rien oublié et nettoies chaque surface malgré que tu es des gants. Il serai fâcheux que l’on découvre une trace de ton passage, n’est-ce pas?.
Après une bonne heure à cirer l’appartement, tu t’en vas s’en oublier d’éteindre les lumières et tu regardes par l’œil de Judas pour voir si personne ne rentre ou ne sort dans le bâtiment.
Tu souris car le fait quelle habite au rez-de-chaussez facilite les choses.
Tu es content car les lamiers on flotté sur son corps comme des bijoux et diamant qu’elle aurait pu porté.
Annotations
Versions