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Faire une chose normal n’est pas mal parfois. N’est-ce pas ?.
Tu te réveilles au côté de cette personne indescriptible.
Tu regardes l’heure: 6h30.
Tu dois te préparer pour aller au travail.
Tu sors du lit et va dans la salle de bain, te brosses les dents puis va sous la douche, tu sens l’eau chaude arriver sur ton corps, te rappelant de ton merveilleux souvenir.
Tu souris en sachant que cela sera dur de trouver le coupable pour l’enquêteur.
Sortant de la douche, tu sèches ton corps et te prépare mettant rapidement tes vêtements qui est une chemise blanche et un pantalon noir.
À la fin de ton petit déjeuner, tu écris sur un post-it que tu pars au travail.
Tu mets tes chaussures et sors de chez-toi prenant ta voiture.
Arrivé à ton lieu de travail, tu salues gentiment ta collègue et va dans les archives.
Aujourd’hui, tu dois classer des livres d’histoire à leur place et de ranger des articles de presse des années deux-mille à leur place.
Tu te dis qu’aujourd’hui il n’y a rien d’intéressant et que tu préfères t’occuper des actes de naissances car plus intéressante mais ranger des livres d’histoire et toujours un plaisir unique, car sentir le vieux papier et comme peindre un tableaux malgré le fait que tu ne sais pas qui les a mis dans le désordre.
Tu fais ton travail et cela dure environ six heures car classer ses articles de presse prends énormément de temps mais cela était intéressant de revoir ses articles unique, des articles que tout le monde oubliera d’ici quelques années.
Maintenant, il ne te reste plus qu’à classer les livres d’histoire, des livres datant de plus d’un siècle et dont la reliure et les mots sont écrit à la plume. Pour çà, tu descends au sous-sol, ouvres une énorme portes, faisant face à des milliers d’étagères métallique.
Tu vas dans la partie époque victorienne et y place les étonnant livres à la bonne époque.
Tu souris joyeusement en voyant que les que les livres sont à la bonne époque.
— Tu as terminé de mettre les bouquins.
— Oui, ils sont à la bonne époque. L’époque victorienne ! Je me demande qui les a placé aux moyenne-âge ! C’est une insulte à l’histoire.
Tu l’entends rire discrètement.
— Quoi ? C’est vrai... Non ?.
— Non, juste que tu es toujours comme çà, enfin tu es pire quoi et celui qui a placé au moyen-âge c’est sûrement le nouveaux, il a peut-être pas encore de repaire et puis… Il vient d’arriver, c’est normal. Les archives on les connaît comme notre poches mais pas pour lui.
— Mais comme même, c’est une insulte à l’histoire, tu imagines si tu mettais… Je sais pas moi, un service presse dans le côté histoire ou une cassette de la reine d’Angleterre dans… Attends…
Tu fais mine de réfléchir un moment.
— Ah voilà, les archives vidéos de la reine d’Angleterre dans des archives de reportage de trottoir, non tu ferais pas çà.
Tu la vois rire encore plus fort.
— Qu’est-ce qui te fais rire à la fin.
— Non, rien.
Tu t’approches en disant d’une voix d’enfant.
— Allez, s’il te plaît, c’est quoi qui te fais rire euh.
— Le fais que tu sois peut-être meilleur archiviste que moi ou juste beaucoup trop, comment dire… Pointilleux, dit-elle d’un sourire mesquins.
— Non, je suis pas pointilleux, je suis très bien organisé, c’est tout, tu dis d’un air faussement fier
— C’est cela ouais.
Elle part en te laissant seul et en disant que tu es pointilleux.
Tu souffles continuant ton travail, quand tu finis, tu retournes à la pièce principal, voyant ta collègue.
— Enfaîte… C’est qui le nouveaux dont tu m’as parlé.
Elle te rie au nez.
— Monsieur Pointilleux était tellement absorbé par le fait que les livres n’était pas à leur place, que quand je t’ai parlé du nouveaux tu n’as même pas fait attention.
— Mais c’est pas sympas, c’est qui?.
— Je te le dirai pas.
— Allez.
— Non.
— Il est comment?, il s’appelle comment?.
— Çà, s’est un secret, tu le saura quand il arrivera.
— Quoi?! Noon, allez je veux savoir au moins son prénom.
Tu joints tes mains en baissant légèrement la tête.
— T’auras beau supplier, je dirais rien.
— Il viendra quand?.
— Ces que maintenant que tu demandes, tes un peu à la détente, Pointilleux.
— J’ai juste demandé, j’ai fais un truc de mal?. Tu dis d’un air candide et un peu triste.
— Mais non tant fait pas, pleure pas, il viendra demain, tu feras ça connaissance. Aujourd’hui il les dans les archives d’une bibliothèque.
— Oh.
T’es yeux s’écarquille.
— J’aimerai trop faire dans une bibliothèque aussi!.
Elle rit.
— Tu es tellement émotif, ton visage exprime trop d’émotion d’un coup.
Tu la regardes en faisant mine de ne pas comprendre.
— Non t’inquiète. Sinon t’es libre ce soir.
— Non. Je retourne bosser, ma pause et terminé, je dois voir si les actes de décès des années mille-neuf-cent sont bien à leur place, si ton nouveaux est passé par là, je suis sûr qu’il a fait n’importe quoi. J’y vais.
Tu la laisse, allant aux archives, tu ouvres une porte et vois des milliers de livres vert, tu vérifies si chaque livres sont à leur place.
À 18h30, tu finis ton travail, tu dis au revoir à ta collègue avec un magnifique sourire enfantin.
Dans ta voiture, ton sourire s’efface. Tu roules en direction de chez-toi, en ayant hâte de revoir cette personne indescriptible.
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Posté le 21/04/2021
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