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Le concept de dormir et manger et tellement révoltant lorsqu’on n’est sur une enquête que l’on doit résoudre.
Vous vous réveillez en trombe et sentez que que vous êtes sur votre lit car sentant une chose moelleuse. Vous asseyez et tenez votre tête en soufflant.
— Argh, je me suis endormie et le vioc ma sûrement mis au lit comme un enfant.
Vous tenez votre ventre en y sentant une léger douleur, vous avalez votre salive et descendez lentement du lit puis regarder les draps.
— Putain de merde ! De tout les trucs que j’ai dans ce monde, pourquoi c’est pas d’me faire buter par un gorille affamé !.
Vous soufflez en enlevant les draps et les couvertures. Vous regardez l’heure sur votre téléphone et voyez qu’il est 9 h 10.
Vous sortez de la chambre avec les draps mouillé et les mettait dans la machine, vous allez à la douche pour vous brossez les dents et le plus important, vous lavez, après çà vous mettez vos vêtements salle à la machine puis mettez des habits propre.
Dans votre chambre vous regardez votre armoire et remercier Jésus d’avoir des draps et des couvertures en stock. Vous en prenez et le mettez sur le lit puis regardez votre oreiller intensément, très intensément et vous dîtes que vous auriez put le changer aussi.
Après ce moment que vous trouvez embarrassant, vous allez prendre votre petit déjeuner.
Quinze minutes plus tard vous voyez le vioc arriver pour déjeuner avec vous.
— Bonjour le vioc.
— Bonjour, et tu peux arrêter de m’appeler le vioc.
— T’es plus vieux que moi donc le vioc.
— Je suis pas si vieux que çà, on à peine cinq ans d’écart.
— Oui le vioc. Sinon c’est toi qui m’a mis sur mon lit.
— On n’est que deux dans cette appartement donc tu t’imagines bien qu’il y a pas de fantôme pour te déplacer.
— Tu crois au fantôme maintenant.
Il vous regarde d’un air désespérer.
— Ça va le vioc.
— Pourquoi ta mis la machine en marche ?.
— J’ai mouillé les draps.
— En même temps t’es tellement fatigué que ton corps tient plus. Ça fait presque un mois que tes sur cette enquête sans aucune piste, repose-toi un peu, prend l’air.
— Je peux pas prendre l’air si je sais que le tueur ou la tueuse de cette fille est encore dehors. Je dormirais quand je l’aurai trouvé.
Il hausse un sourcil.
— Comme si dormir ou même manger est dans ton vocabulaire, tu dors presque jamais, non, tu dors jamais sauf quand tu prends des somnifères et encore… Parfois je me demande si tes pas un vampire sérieux, car même manger et une tâche difficile pour toi.
— Non, c’est pas dur pour moi de manger, la preuve.
Vous lui montrer votre petit déjeuner. Il vous regarde tel un véritable cas désespéré.
— C’est juste du thé.
— Oui, donc c’est pas difficile de manger.
— Tu en n’es sûr. Car si j’étais pas là tu serai morte de fatigue et de faim ou tu mangerai que des fruit en boîte.
— … Pas faux.
— Ou non, j’ai mieux, tu mangerais rien mais boirai du café et fumerai des clopes toute la journée comme tout flic qui se respecte.
Vous haussez un sourcil.
— Sérieusement, non mais tu penses vraiment qu’un flic sa bois du café et fume comme un pompier tout les jours.
— Laisse-moi réfléchir… Oui.
Vous faite une mine faussement choqué en clignant plusieurs fois des yeux.
— Alors là, je suis choqué, vous dîtes d’une voix fluette.
Vous le voyez prendre une pomme et des œufs dans le frigo.
— Et à ton avis le vioc comment, non mieux, pourquoi j’suis devenu détective.
Il semble réfléchir puis dit d’une voix prosaïque.
— Ta famille est morte, non, ta femme ou ton homme est morte tué par un tueur que la police n’a jamais arrêté et depuis ce jour tu tes juré d’attraper tout les criminels, mais surtout de retrouver le salaud qui a buté ton ou ta tendre aimée pour te faire justice et le voir croupir, tu as sombré dans une joyeuse dépression d’un mois avec une seul idée en tête : Vengeance.
Vous soufflez discrètement de rire à ce qu’il vient de dire.
— Mais c’est quoi ce cliché de merde s’est qui, qui a inventé cette idée à la con, que tout les flics on un passé dramatique et triste.
Vous le voyez haussez des épaules et dire.
— Je sais pas, demande aux scénaristes.
— Bah si je pouvais leur en toucher deux mots ce serai bien qu’il enlève cette merde, parce que c’est vraiment de la daube, vous dîtes en finissant votre thé.
Après avoir fini votre petite déjeuner, vous allez dans chambre.
— Tu devrais te reposer un peu !.
— Tu l’as déjà dit le vioc !, je dois juste voir un truc ! Promis.
Vous vous allongé sur votre pageot et fermez les yeux car des milliards de supposition vous traverse l’esprit concernant l’enquête.
— Qu’est-ce qui te pousse à faire çà.
Vous essayez de comprendre mais tout sonne comme un échos dans votre tête, rien n’est en place et tout n’est que brouillon.
Vous tournez la tête et voyez un post-it sur le mur avec écrit : « Tu devrais revoir les rapports de tes camarades soldat ».
Vous l’enlevez du mur et le mettez en boule.
— Revoir le rapport de mes camarades hein.
Vous sortez de votre lit prenant votre classeur, revenant dans lit.
Vous lisez les rapports plus en profondeur et regardez les photos de la victime ainsi que du lieu avec votre description.
Vous souriez car vous pensez savoir comment le tueur à fait.
Vous ouvrez ensuite un tiroir et voyez un livre précieux ainsi qu’une croix.
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Posté le 08/07/2021
Alors, oui je ne suis pas morte mais je devais préparer le bac, donc excusez-moi pour cette absence de 2 mois et demi, je devrai poster plus souvent maintenant, vu que je suis en vacance.
Et vous savez quoi ? Bah je les eu mon bac donc je suis contente de moi, sur ce merci de me lire malgré les fautes d'ortographe immense.
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