Chapitre 03: Demandes

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La journée de travail de Natacha se rapprochait petit à petit de son terme. Et alors que le bâtiment se vidait progressivement et que le soleil amorçait petit à petit sa descente, la jeune femme qui était visiblement stressée avait les yeux rivés sur sa montre. Et pour cause, il ne lui restait que quelques minutes avant qu’elle aille finalement faire sa demande. Barnes ne savait absolument comment son patron réagirait par rapport à cela, mais elle espérait que leur prochaine discussion ne se conclut pas négativement. Elle risquait après tout de se faire renvoyer dans les prochaines minutes.

Cependant, la jeune femme était confiante. Elle était tout de même une de ses meilleures employées, si ce n’était sa meilleure employée et estimait que cela lui donne une certaine reconnaissance auprès de monsieur Invictus. Natacha n’avait jamais été en retard à son travail ou dans la remise d’un de ses rapports elle n’avait jamais causé le moindre problème à l’entreprise. Il n’y avait donc aucune raison qu’elle ne puisse pas obtenir cette augmentation de salaire. Toutefois, malgré tous les encouragements qu’elle pouvait se donner, cela n’empêchait pas Barnes d’être très nerveuse, ce que Tess, sa collègue de travail, remarqua pendant qu’elle rangeait ses affaires.

- Natacha, est-ce que tout va bien ? demanda-t-elle.

- Oui, tout va très bien. Je pensais juste…je pensais juste à quelque chose que je suis sur le point de faire.

- Je vois. J’espère que tout se passera bien pour toi.

- Merci beaucoup. Dis, Tess…

- Écoute, Natacha, ce n’est pas que je n’ai pas envie de poursuivre cette conversation, mais il commence à se faire tard et j’ai d’autres choses beaucoup plus importantes à faire, rétorqua-t-elle soudainement sur un ton quelque peu condescendant.

À ce moment, Barnes se rappela à qui elle venait de parler. Tess, qui venait tout juste de ranger ses affaires, se leva de son siège et alla frapper à la porte du bureau de son patron. Pendant que Harlock se trouvait dans le bureau d’Invictus, Natacha ne put s’empêcher de penser à quel point elle détestait cette femme, cette femme qui ne pensait qu’à elle-même et qui avait récemment obtenu une promotion. Tout ceci lui donna toute la détermination dont elle avait besoin afin de faire également sa demande. Il était hors de question qu’une femme comme Tess Harlock soit mieux payée qu’elle.

Cinq minutes plus tard, la collègue de Natacha sortit du bureau de leur patron tout en arborant un léger sourire aux coins des lèvres. Tess souhaita alors à Natacha de passer une excellente soirée avant de quitter définitivement la pièce. En la voyant, la jeune femme ne put s’empêcher de se demander ce qu’ils s’étaient dit à l’intérieur. Elle avait l’air si joyeuse. Toutefois, l’état émotionnel d’Harlock n’était pas ce qui importait pour le moment. Barnes avait quelque chose d’important à faire et il était temps pour elle de s’y atteler.

Se retrouvant désormais seule, Barnes attendit quelques minutes avant de finalement prendre son courage à deux mains et de se diriger vers le bureau d’Herman Invictus. Le moment qu’elle avait attendu était enfin venu. Elle était sur le point de faire sa demande de promotion. Il n’y avait alors aucun mot pour décrire à quel point la jeune femme était nerveuse. Son coeur battait si vite qu’elle avait l’impression que n’importe qui pourrait l’entendre. Natacha essaya de se calmer, mais c’était peine perdue. Elle se dit alors qu’il n’y avait rien qu’elle puisse faire et cogna finalement à la porte.

Après être rentrée dans la pièce, Barnes se retrouva en face de son patron qui était une fois de plus debout devant une des énormes vitres de son bureau. Herman s’étonna de voir sa seconde secrétaire, pensant que celle-ci était déjà rentrée chez elle.

- Mademoiselle Barnes, que faites-vous encore ici ? Je croyais que vous étiez déjà rentrée chez vous.

- J'étais sur le point de le faire, monsieur, mais…

Natacha cessa soudainement de parler. Et pour cause, elle était encore plus nerveuse qu’avant d’être rentrée dans cette pièce et avait peur d’aborder un sujet aussi délicat qu’une augmentation de salaire. Elle craignait que son patron rejette sa demande, mais surtout que cela ait des répercussions très néfastes sur sa carrière.

- Est-ce que tout va bien, mademoiselle Barnes ? Vous semblez ne pas être dans votre état normal, rétorqua-t-il en prenant place dans son siège.

Natacha se demanda ce qu’elle était en train de faire. Après tous les encouragements qu’elle s’était donnés quelques minutes auparavant, pourquoi n’arrivait-elle plus à s’exprimer ? Qu’attendait-elle ? Il était là devant elle, l’homme qui pouvait lui accorder ce qu’elle désirait. Il fallait juste qu’elle ouvre sa bouche et parle, qu’elle lui dise clairement ce qu’elle voulait.

- Mademoiselle Barnes…

- Monsieur, je suis navrée de vous interrompre de la sorte, mais il y a un sujet très important dont j'aimerais m’entretenir avec vous…

Natacha se sentait encore plus stressée qu’auparavant, d’autant plus qu’elle venait tout juste de couper la parole à la personne qui payait littéralement son salaire. Elle savait dès lors qu’elle ne pouvait plus faire machine arrière.

- Monsieur, cela fait plus de trois ans que je suis à votre service. Je me suis toujours donnée à 100% dans toutes les tâches que vous m'avez confiées, sacrifiant même certains de mes week-ends quand cela était nécessaire. J'ai toujours montré un comportement exemplaire et je n’ai jamais eu un quelconque retard dans la restitution de mes rapports. Néanmoins, ma collègue, Tess Harlock, qui n'est à votre service que depuis deux ans a déjà reçu de nombreuses promotions. Avec tout le respect que je vous dois, monsieur, pouvez-vous me dire ce qu'elle a de plus que moi ? Pourquoi lui avoir accordé toutes ces promotions alors que j’ai passé beaucoup plus de temps à votre service ? Ne devrais-je pas également en avoir une pour toutes ces années de bons et loyaux services ?

Natacha avait le cœur qui battait encore plus vite que précédemment. Elle venait de déballer tout ce qu’elle avait sur le coeur à cet homme qui la regardait désormais avec un air très sérieux. Connaissant à peu près la personnalité de la personne qui se tenait en face d'elle, la jeune femme savait qu’elle avait des chances de perdre son travail dans les minutes, voire les secondes qui suivent. Il était malheureusement déjà trop tard pour revenir en arrière et tout ce qu’elle pouvait désormais espérer était que son patron réagisse positivement.

Alors que les secondes devenaient de plus en plus insoutenables, Herman Invictus se mit soudainement à sourire. Il lui dit ensuite qu’il voyait exactement où elle voulait en venir et qu’il comprenait parfaitement son ressenti. À cet instant, Natacha devint moins nerveuse, pensant qu’elle était en voie d’obtenir ce qu’elle convoitait.

- Néanmoins, une promotion s'accompagne de toutes nouvelles responsabilités ou devrais-je dire d’une plus grosse charge de travail. Vous devez alors me montrer que vous avez les épaules assez solides pour les supporter…

- J’en suis capable, monsieur Invictus ! s'exclama brusquement Natacha en interrompant une fois de plus son patron.

- Ne nous précipitons pas, mademoiselle Barnes. Afin de me prouver votre valeur, vous allez devoir passer une série de tests. C'est uniquement après l'avoir complétée que je déciderai si oui ou non vous méritez une promotion et tout ce qui va avec.

Le cœur de Natacha battait cette fois-ci d'excitation. Non seulement elle ne perdrait pas son travail, mais elle avait désormais l’opportunité de prouver à son patron ce qu’elle valait vraiment ; mais elle avait surtout l’occasion de prouver à son patron qu’elle était bien meilleure que Tess. Avec tout ceci, Barnes était également impatiente de rentrer chez elle et d'annoncer la nouvelle à Michael. Elle se dit qu’il sauterait sûrement de joie lui aussi en apprenant cela. Le connaissant, il lui ferait sans aucun doute un de ces plats dont lui seul avait le secret. Mais avant toute chose, il y avait cette fameuse série de tests à passer.

- De quel genre d'épreuves s'agit-il, monsieur ? questionna-t-elle.

- Chaque chose en son temps, mademoiselle Barnes. Tout d'abord, dites-moi, avez-vous quelqu’un dans votre vie ?

Natacha était perdue. Elle ne comprenait absolument pas pourquoi son patron lui demandait cela. Sa situation matrimoniale n’avait aucun rapport avec ses compétences intellectuelles et son dévouement à son travail. Elle lui répondit néanmoins et lui dit qu'elle n'était pas mariée, mais fiancée et qu’ils comptaient tous les deux s'unir dans quelques mois.

- Je vois. Quittez-le.

La jeune femme tomba des nues lorsqu’elle entendit la demande d’Herman. Au début, elle pensa qu’il s’agissait d’une erreur et qu’elle avait peut-être très mal compris ce qu’il venait de lui dire. Ce fut donc pourquoi elle lui demanda poliment de réitérer ses propos.

- Mademoiselle Barnes, comme je vous l’ai si bien dit, la promotion que vous désirez obtenir vient avec tout un lot de nouvelles responsabilités accompagnées bien évidemment de nouvelles tâches que vous allez devoir accomplir. Nous parlons ici de tâches qui demanderont votre totale dévotion tant sur le plan physique que sur le plan émotionnel. De ce fait, votre relation avec cet homme ou femme apparaît comme un obstacle à cela.

Barnes n'en croyait pas ses oreilles. Ce que son employeur venait de lui demander était tout simplement inimaginable pour elle. Il était hors de question pour Natacha de sacrifier sa relation avec Michael pour une simple promotion. Et même si cela venait avec une augmentation conséquente de son salaire, il s’agissait tout de même de l’homme qu’elle aimait et qu’elle s’apprêtait à épouser. Il n’y avait aucun moyen qu’une avancée dans sa carrière lui apporte la même joie de vivre et le même sentiment de bien-être qu’elle éprouvait en se trouvant à ses côtés. Cela ne valait pas le coup. Dès lors, la seule chose qui lui restait à faire était tout simplement d’abandonner cette idée de promotion. À bien y réfléchir, sa position actuelle était plus que convenable pour elle.

Alors qu'elle s'apprêtait à lui dire qu’elle refusait de participer à cette série d’épreuves, Invictus se mit soudainement à rire.

- Pas la peine d’afficher une telle expression, mademoiselle Barnes. Ce n'était qu'une petite farce de ma part, veuillez m’en excuser. Jamais je ne vous demanderai de mettre un terme à votre relation avec votre fiancé, d'autant plus que votre hésitation me fait bien comprendre que vous l'aimez énormément.

Natacha était soulagée d’apprendre cela, mais elle était également intriguée parce qu'elle ne s'imaginait pas qu’une personne aussi sérieuse que son patron pouvait s’adonner à ce genre de choses surtout dans une telle situation.

- Pendant un court instant, vous m'avez fait peur, monsieur.

- Il y avait effectivement de quoi avoir peur. Votre employeur qui vous demande soudainement de mettre un terme à votre relation amoureuse juste pour obtenir une promotion, n’importe qui dans cette situation aurait sans doute réagir comme vous. Mais comme je viens de vous le dire, jamais je ne vous forcerai à mettre un terme à votre relation si ce n’est bien sûr dans un cadre bien précis. Toutefois, cela ne signifie pas que je ne vous demanderai pas d'accomplir certaines tâches spécifiques pour moi.

Natacha était à nouveau confuse. Qu’entendait-il par « cadre spécifique » ? Et pourquoi avait-elle soudainement un très mauvais pressentiment à propos de tout ceci ?

- Monsieur, de quel genre de tâches parlons-nous exactement ?

À ce moment précis, le patron de Barnes se mit à afficher un léger sourire narquois, ce qui n'annonçait rien de bon pour la jeune femme.

- De temps en temps, j'aurai certaines envies à satisfaire. Je compte alors sur vous pour m'aider sur ce plan, si vous voyez où je veux en venir.

Il ne fallait pas être diplômé d’une grande université pour comprendre où cet homme voulait en venir. Cependant, pour Natacha, il était hors de question qu’elle s’adonne à ce genre d’activités inappropriées et immorales, ce qu’elle lui fit bien évidemment savoir.

- Monsieur, avec tout mon respect, je ne suis pas le genre de femme qui vend son corps pour grimper les échelons. D'ailleurs, votre demande est dégueulasse. Jamais je n'aurais cru ça possible venant de vous. Vous êtes un porc.

Barnes n’en dit pas plus et prit immédiatement le chemin de la sortie. Elle n’arrivait pas à croire que son patron, une des personnes qu’elle admirait le plus, était ce genre de personnes. Avec ce qu’elle venait de découvrir, il était clair pour elle que cet endroit, cette société n’était plus fait pour elle. Cependant, au moment où la jeune femme s’apprêtait à saisir la poignée de porte, Invictus s'adressa de nouveau à elle.

- Êtes-vous vraiment prête à assumer les conséquences qui s'abattront sur vous lorsque vous franchirez cette porte, mademoiselle Barnes ?

La jeune femme s'arrêta brusquement et se retourna vers Herman Invictus qui continuait de s’adresser à elle.

- Je me demande comment tous vos proches réagiraient s'ils venaient à tout perdre du jour au lendemain, et ce par votre faute.

- Vous n'oseriez pas aller aussi loin ?

- Mademoiselle Barnes, vous savez pertinemment qu’il n'y a aucun secteur d'activités qui échappe à mon influence. Je peux facilement leur faire perdre leur travail et m'assurer qu'ils n'en retrouvent jamais un. Je peux les mettre à la rue sans qu’ils comprennent le comment du pourquoi. C'est donc à vous de voir. Vous pouvez soit franchir le pas de cette porte et dire adieu à votre emploi et celui de tous les membres de votre entourage, dire adieu à votre petite vie tranquille, ou vous pouvez revenir vous asseoir afin que nous discutions des conditions de votre promotion. La décision vous appartient.

Natacha se sentait prise au piège. Et pour cause, l’homme qui se trouvait en face d’elle l’avait non seulement menacée, mais avait également menacé de s’en prendre à toutes les personnes qui lui tenaient à coeur. Cela faisait de nombreuses années qu'elle travaillait pour Herman Invictus et savait donc à quel point il avait le bras long. Ses paroles n'étaient donc pas à prendre à la légère. Elle savait également que peu importe le choix qu'elle allait prendre, cela aurait des conséquences désastreuses sur elle. Dès lors, elle décida, et ce à contrecoeur, d’aller prendre place en face de son patron.

- Vous avez pris la bonne décision, mademoiselle Barnes.

- Que dois-je faire exactement ?

L’homme demanda ensuite à Natacha d’approcher un peu plus avant de diriger lentement son regard vers son entrejambe. La jeune femme comprit immédiatement où il voulait en venir et fit de son mieux pour cacher le dégoût qu’elle éprouvait à cet instant précis.

- Nous allons commencer par quelque chose de simple. Je suppose que ce n'est pas la première fois que vous vous adonnez à ce genre de pratiques. Vous avez sûrement dû acquérir une certaine expérience avec votre fiancé.

Devant de tels propos déplacés, Barnes garda le silence et se contenta de serrer le poing très fort, manquant de se blesser avec ses propres ongles. Après plusieurs secondes d'hésitation, Natacha, qui était debout à côté d’Herman, finit par s'agenouiller devant lui. Elle posa ensuite ses mains sur son entrejambe et ouvrit lentement sa fermeture éclair. Pendant ce temps, toute sorte de pensées lui traversaient la tête. Elle se demandait notamment pourquoi elle se retrouvait dans cette situation. Pourquoi fallait-il qu’elle ait à commettre un acte aussi répugnant ? Pourquoi ? La réponse était simple, c’était parce que si elle ne le faisait pas, les personnes qui comptaient le plus pour elle souffriraient.

Natacha finit par sortir le sexe d’Herman de son pantalon. Et pendant qu'elle le caressait délicatement afin de le rendre un peu plus ferme, ses yeux devenaient de plus en plus humides d'autant plus que l'homme devant elle ne cessait de sourire. Ne pouvant plus se retenir, Barnes se mit finalement à pleurer au moment où le pénis de son patron devint suffisamment raid pour passer à l’étape suivante. La jeune femme approcha timidement ses lèvres de la tête avant d’introduire ce corps étranger et dégoûtant dans sa bouche. Au même moment, Invictus prit une profonde inspiration et ferma les yeux.

Pendant que Herman profitait de ce que sa secrétaire avait à lui offrir, cette dernière retenait ses envies de vomir. Elle n’arrivait pas à croire que le pénis d’un homme autre que Michael se trouvait dans sa bouche. Natacha détestait son patron, elle le haïssait pour ce qu’il l’obligeait à faire, mais également à cause de ce qui lui avait dit. La jeune femme n’avait malheureusement pas d’autre choix hormis de le satisfaire et continua donc de le sucer avec beaucoup d'amertume et de dégoût dans le cœur.

- Oui, c'est ça ! Continuez comme ça, mademoiselle Barnes.

Invictus posa soudainement sa main sur la tête de sa secrétaire et l'aida dans cette nouvelle tâche qui était la sienne. Sa bite s'enfonça alors un peu plus profondément dans sa bouche, atteignant l’entrée de sa gorge. Par réflexe, Barnes essaya de la retirer, voyant que ça allait trop loin. Cependant, Herman l’en empêcha, lui disant qu’elle pouvait faire mieux que ça. Natacha se retrouva donc à faire des gorges profondes contre son gré, ce qui fut une expérience des plus traumatisantes pour elle en plus d’accentuer son envie de vomir et la haine qu’elle éprouvait à l’égard de son employeur, Herman Invictus.

La jeune femme essaya de ne pas penser à l’acte qu’elle était en train de commettre, mais la tâche s'avérait être très difficile. Il était en effet très compliqué d’ignorer un tel corps étranger, d’autant plus qu’il se trouvait dans sa bouche, et ce contre son gré. Finalement, après plusieurs minutes de calvaire, Herman finit par lâcher un léger gémissement et jouir. Natacha sentit alors l'horrible liquide blanchâtre visqueux se répandre à l’intérieur de sa bouche avant de se diriger vers le fond de sa gorge. Elle voulut retirer le pénis de son patron avant qu’il ne soit trop tard, mais ce dernier maintint fermement sa tête en place, la forçant ainsi à avaler.

- C’est presque fini, rétorqua-t-il.

Finalement, après un certain moment, Herman permit à Natacha de se mouvoir librement, ce qui donna finalement l’occasion à la jeune femme de retirer son pénis de sa bouche. Et pendant qu’elle toussait, l’homme attrapa un des mouchoirs jetables présents sur son bureau.

- Vous voyez, mademoiselle Barnes, ce n'était pas si terrible que ça, lui dit-il en lui tendant l'objet.

Barnes dont le visage était livide à cet instant précis ne saisit pas le mouchoir qu’on lui tendait et resta silencieux devant ce qui venait de se produire. Non seulement elle avait fait une fellation à un autre homme, mais elle avait également été forcée d’avaler son sperme.

- Quoi qu'il en soit, à compter d'aujourd'hui, vous satisferez chacune de mes envies sur une période que moi seul déterminerai. Aucune résistance ne sera bien évidemment tolérée et notre accord ne devra absolument pas s'ébruiter. Si cela venait à se produire, eh bien, il vaudrait mieux pour vous que cela ne se produise pas. Sur ce, je vous souhaite de passer une agréable soirée, mademoiselle Barnes.

Herman se leva soudainement de son siège et rangea son sexe dans son pantalon avant de refermer sa fermeture éclair. Il se saisit ensuite de son téléphone portable dans la poche de sa veste et composa un numéro.

- Michel, préparez un nouveau couvert pour la séance, dit-il avant de raccrocher.

L’homme lança un dernier regard à sa secrétaire qui était toujours assise sur le sol, esquissa un sourire narquois, puis prit finalement la direction de la sortie, laissant Natacha Barnes seule dans son bureau.

A suivre !!!

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