197 - bien sûres
Marie a l’air plus sûre dans tout ce qu’elle fait. Même quand elle bouge elle est plus femme que fille. Elle sent qu’elle doit laisser sa croissance se dérouler et elle atteint lentement son stade 20, me laissant profiter de tous les changements qui s’opèrent en elle. Je la compare en regardant notre portrait de famille à une réception de l’Ambassade. Alexa était là, toute belle, collée tendrement et chaleureusement à sa jeune maman. Il y a aussi une autre photo, sans Alexa, où Énola et Eloa nous ont rejointes. Eloa est au bras de Arona, Énola entre Marie et moi, elles nous tient par les épaules, c’est la famille 72.
- C’est pas la première fois que je me transforme, j’ai dû faire de même pour sortir Alexa de mon ventre et je suis restée comme ça un moment, le temps d’attendre qu’elle sorte de la couveuse pour la nourrir correctement avec mon corps de femme qu’elle a absorbé jusqu’à redevenir moi au stade 15.
- Alexa te ressemble plus que moi. Heureusement, elle est si belle.
- Elle a quand même tes gènes primaires et tes yeux noirs, ça lui donne plus de charme je trouve, et plus de stature, elle fait moins poupée.
Marie, elle, a le charme et la stature d’une Victoria, en mieux même, avec des formes plus affirmées encore. Je n’ai plus le choix, je suis obligée moi aussi d’aller au stade 20 même si je suis sûre, ça ne va pas changer grand-chose, je suis et je reste un petit gabarit. Énola nous rejoint et fait un gros bisou à Marie qui est maintenant à sa taille et tout aussi provocatrice et audacieuse aussi :
- Énola, qu’est ce qui t’a décidé de rester avec nous, dans notre dimension ?
- Juste deux raisons, pas trois. La première est que c’est la version la plus tranquille de notre Humanité où je peux dormir la nuit et le jour parfois aussi, ça me fait le plus grand bien. La deuxième, c’est qu’il n’y a que ici où Jenna existe. Il n’en faut pas plus que j’arrête de chercher ailleurs.
Et j’ai le droit aussi à mon tour à un gros bisou d’amour plein de tendresse, par Marie aussi qui vient rétablir l’équilibre sur mon autre joue. Je me surprends, par réflexe, à caresser leurs poitrines respectives mais je ne sais à quelle sainte me vouer ou vouer mes mamelles excitées qui ne demandent qu’à être bues, je sens déjà le lait couler sur mon ventre et se perdre le long de mes jambes qui vont s’allonger un peu pour me mettre à leur niveau à elle, les deux femmes les plus importantes de mon existence, en dehors de Greta et Brigitte, bien sûres.
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