J’ai écrit notre histoire dans un de mes livres de Megan H. Autant je m’interdit d’écrire, autant j’évite de lire aussi. Je ne vais pas déterrer mon passé, encore moins essayer de le retrouver, je ne suis plus Megan Honest, il reste donc un simple souvenir qui n’a pas sa place dans mon présent. C’est ce qui ressort de mes séances avec Pippa. Je peux donc aller de l’avant et il sera toujours à moitié là, à mes côtés, c’est le père de Arona. Mais contrairement à aujourd’hui, on a jamais été une famille.

• T’inquiète pas maman, j’en ai aucun souvenir. En plus, toi et moi, on n’est plus les mêmes aujourd’hui. Je suis sûre que lui non plus.
• Tu as raison. C’est juste que je sens sa présence à chaque fois que je récupère ta semence avec ma bouche. Je le faisais aussi avec lui.
• Alors le message est clair. On arrête. Je suis assez grande maintenant.

Juste une dernière fois, comme pour dire au revoir ? Et une dernière tétée aussi. J’ai une autre fille à nourrir désormais. Je veux qu’elle fasse partie de la famille, elle y travaille déjà, en famille avec Marie. Quand je lui propose, elle en est bouleversée et fait une crise de maladresses rigolotes en essayant de reprendre ses esprits mais elle n’en a pas le temps car je commence déjà à l’entreprendre dans le salon privé de l’AZU où je la mets à nu pour lui ouvrir ma nouvelle poitrine et lui coller le visage dessus. Ariana. Je lui enlève ses lunettes froides pour mieux lui transmettre ma chaleur jusque sur ses yeux mi-clos.

• Je n’en avais jamais bu, avec personne, même pas celui de Greta.
• Tu n’en est qu’à la moitié, il faut aussi goûter de mon autre sein.

Ma petite Ariana m’aspire timidement en osant à peine poser sa main dessus. Je lui fais appuyer, je lui montre comment le masser et mon autre main se promène entre ses fesses pour la stimuler aussi, lui montrer le chemin de la digestion. Elle fait ensuite un gros dodo, bien au chaud sur moi. Je laisse des consignes à Pauline pour qu’elle prenne le relais de la tétée pendant son stage à l’Est, il lui faut plein de mamans à Ariana, je vais aussi demander à Greta. Ariana est trop importante pour que je sois la seule à la gérer, je dois la partager. J’attends qu’elle se réveille pour lui faire sa toilette et la rhabiller. Un bisou sur le front et je la laisse reprendre ses marques dans les couloirs courbes de l’AZU avant de rejoindre Marie dans son bureau où elle est en conversation audio, debout dans son tailleur chic noir et blanc que je déchire en la plaquant contre une armoire, je mets à nu ses mamelles pour y plonger mon visage sous ses gémissements de surprise et de plaisir en mettant fin à son travail pour se consacrer à moi et assouvir ma faim.