244 - sur nos visages
Avec Dimitri on a maintenant nos habitudes avec nos traditionnelles pauses intimes dans la suite de l’Ambassadrice au Palace de Sylvania non loin de notre lieu d’enregistrement de notre travail d’écritures des lois au Parlement Bleu. Je le stimule avec ma bouche pour lui dresser son envie. Il me stimule avec la sienne pour préparer mon entre-jambes. Il les soulève pour se décharger en moi pendant que j’arrose son visage de mon lait qui gicle d’excitation jusqu’à ce qu’il s’écroule sur ma poitrine en faisant des bulles pour éviter de trop en absorber, on sait jamais. Mais de mon côté je ne jouis pas. Je lui offre juste mon corps à son bon plaisir, machinalement. Après l’entracte de ces premiers ébats, je l’échoue sur le dos et je le remets manuellement en condition pour le placer et le chevaucher, à mon rythme, il me ramone en interne pendant que de ma main gauche la plus habile, j’agite tout ce que je trouve en externe sur mon bas ventre pour accompagner mon plaisir. Quand j’atteins mon orgasme c’est à moi de m’échouer sur lui et comme il n’a pas fini sa deuxième pression à chaud, il me pose délicatement sur le ventre, soulève mon arrière-train et entre doucement pour se terminer en mon séant d’où il se retire enfin pour une autre sensation de bien-être qui recouvre ma conscience comme une couverture chaude de ses fluides sur les miens. Je l’honore ainsi par mes trois trous à chacune de nos séance de travail à Sylvania. Et j’aime ça. Et c’est toujours aussi bon, à chaque fois, parce qu’il n’est pas à moi, parce qu’on ne vit pas ensemble, parce qu’on n’est pas un vrai couple, parce qu’il est mon premier maître et que je suis sa première maîtresse. Avant de rentrer à l’Ouest, on se faits beaux pour descendre au restaurant du Palace et s’offrir les autres jouissances des autres sens à assouvir de la faim, de l’envie, de la vie que l’on s’offre et se partage à deux, lui et moi. Ce soir Rachelle se joint à nous et se permet aussi de le regarder amoureusement pour me révéler que :
- Je sais ce que tu ressens Jenna. Je l’ai eu avant toi. C’est mon gémeau.
- Rachelle D. Tout s’explique. Eloa a bien gardée le secret. Ou alors je l’ai oublié. La prochaine fois, Rachelle, tu peux te joindre à nous, pendant les pauses. Auguste, qu’est ce que tu en penses ?
- Je ne pense pas Jenna, je t’obéis. Rachelle ?
- Pourquoi attendre, il est encore tôt. Après notre repas, je vous propose de visiter ma suite municipale.
À deux on le stimule en s’embrassant, je les regarde d’abord se retrouver et j’observe leurs gestes intimes et personnels avant d’entrer dans la danse et me connecter à Rachelle, par nos poitrine, pendant qu’il gicle entre nos bouches où on se vole sa semence sur nos visages.
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