250 - tout doux se ment

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Avec un programme spécial, nos minibris nous aident à préparer nos ventres et à les rendre juteux. Marie étendue sur le dos, je suis assise sur son ventre et je m’agite encore et encore jusqu’à ce que la magie opère, l’effet ventouse m’enfonce en elle, j’aspire ses fluides que je sens tourner dans mon ventre avant de repartir vers le sien. Je sème ainsi les graines de ma Fémunité hybride en elle. Terrassée de vagues enivrantes, je m’appuie sur ses seins qui me giclent au visage, elle attrape les miens qui visent sa bouche ouverte et la pluie de nos laits glissent vers nos ventres où ils sont absorbés par le va et vient de nos humeurs maternelles en nous. Je sens au loin Greta tressaillir dans son sommeil, secouée par les ondes orgasmiques que je lui envoie. Chacune sent l’autre. le lendemain, c’est instinctivement que je retrouve Greta dans un square à Laguna City. Quand je l’embrasse, c’est plus pareil. Il y a plein de sensations nouvelles. L’endroit limite nos ardeurs mais la Maison Bleue est à proximité. Serrée contre moi, on en prend le chemin.

  • C’est tellement bon de te revoir, Jenna. Tout est plus intense avec toi.
  • Et avec Dimitri, je peux continuer ou pas, les rapports, intimes.
  • Oui, il ne risque rien, juste l’impression de me baiser, au pire.
  • Super, ça risque de l’exciter encore plus.
  • Normal, je le sens un peu en moi maintenant, depuis toi.

Une chambre est libre pour nos ébats. Pas de transfusion ou autre. On boit juste un peu de nos laits en bouche pour humecter nos entre-jambes respectives et en 69, on se mange nos extrémités les plus sensibles pour partager ensemble un maximum de plaisir primaire, de plus en plus fort au sommet de chaque extase de pleine conscience jusqu’à plus soif et l’évanouissement sous l’épuisement bestial de nos corps chauffés à blanc comme le lait fumant qui entourent nos ébats dans la brume de nos efforts à transmettre à l’autre le plaisir de la chair où en rentrant j’enchaîne avec Marie, on se lape entre nos fesses giflées pour s’introduire ensuite de gros et longs brisims postérieurs qui vont cogner nos minibris antérieurs et entrer en résonance à travers tout notre corps, de la pointe de nos pieds à celle de nos longs cheveux, rien à voir le jeu simpliste d’un Dimitri ou d’un Aaron qui n’ont plus rien pour nous impressionner maintenant qu’on a vécu cette expérience intense. J’entends déjà d’ici Greta me réclamer : « Je veux essayer ça ». C’est pas un truc pour les déesses, c’est le plaisir de la populace à se sentir humiliée et conquise jusqu’en ses contrées les plus profondes. Mais c’est à la fin que le meilleur est à venir, quand on les retire tout doux se ment.

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