253 - le mélange de nos entrailles

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Cheffe de Pôle pas, ça change rien dans mes aptitudes à nourrir Ariana qui prend son temps à grandir même si maintenant elle frotte sa main entre mes cuisses pendant la tétée et à la fin elle me vole un baiser à chaque fois plus profond. J’ai beau stimuler ses tétons avec ma bouche, ils ne réagissent pas encore et restent stériles.

  • Ton corps se braque. On va faire une pause. Ça vient de moi aussi je pense. Je dois me stabiliser. J’ai vécu trop de changements récemment.
  • Je devrais peut-être me nourrir à un niveau supérieur ?

Elle a raison, comme d’habitude. Elle m’accompagne pour que je l’introduise à Greta, et dans Greta qui l’accueille tout en caresses et en tendresse à d’abord faire l’amour avant de faire la mère. À la première gorgée de lait, Ariana se débloque et bascule sur moi où ses petits seins gonflés suintent déjà en se connectant aux miens qui peuvent enfin libérer la pression en elle. Évanouie de plaisir, je la laisse récupérer. Un baiser sur son front et je sors sur le balcon. Je retrouve la petite boite sur la table ronde et j’en sors une tige qui s’allume et remplit mes poumons de fumée blanche. Mon esprit s’aiguise mais je titube jusqu’à une chaise près de la balustrade où je m’appuie. J’éteins la tige et je la remet dans sa boite. Je n’ai pas assez mangé aujourd’hui. Il me faut plus d’énergie. Je me retourne pour regarder Ariana dormir, ses seins à l’air. Quel goût peuvent-ils bien avoir ? Je m’approche doucement d’elle et je me penche pour aspirer son premier lait. Douces sensations. Je passe à l’autre. Je reconnais le mien, il le sublime, ils vont très bien ensemble. Je me sens mieux. Je soulève ma jupe et je me positionne au dessus de son ventre. Juste un petit frottement. Puis un autre. Et de vague en vague, je finis par perdre les eaux. Ça la réveille.

  • Jenna, ça va ?
  • Je t’ai toute souillée, désolée.

Je la lève et on se dirige vers la salle d’eau et sa douche où mon corps se savonne sur le sien pendant qu’elle s’occupe de mes cheveux. Je finis par la coincer dans un coin pendant un baiser langoureux où je sens ses doigts entrer en moi, devant et derrière. Tout s’explique quand je commence à vibrer et elle aussi. Je l’accompagne jusqu’à l’extase mais elle se retient, elle me retient et s’allonge. Me voilà à genoux et assise sur son ventre, sous la pluie de la douche.

  • Jenna, re-souille-moi.

Est-ce une requête ou un ordre ? Je vibre et j’obéis, mes hanchent dansent en rond sur son ventre jusqu’à l’aspiration et le mélange de nos entrailles.

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