VMPS : vibrations modulées programme spiegel. - LTFJ : lactation, transfusion, fécondation, jouissance. / Tout va par 4. Et j’ai du mal à reprendre mes esprits, de retour de la quatrième dimension de la luxure avec Sabine dans sa chambre privée cachée dans les combles de la Maison Bleue à Laguna City. On est là, nues, accroupies face à face, en état second à côtés de nos minibris VMPS échoués autour de nous, Sabine est comme éclairée de l’intérieur, je vois son aura. Je caresse sa joue du revers de ma main qui coule dans son cou et danse entre ses seins, je m’approche pour humecter ses lèvres de ma salive et on glisse nos bouches dans un baiser de surface, comme un au revoir de nos corps qui tressaillent déjà d’impatience à se retrouver. Je ne peux pas revivre ça avec Marie, on n’est pas équipées pour.

• Ce sont des prototypes. Après notre rapport, je dois faire mon rapport.
• Brigitte est vraiment douée dans ce qu’elle fait, comme d’habitude. Et elle t’a faite, parfaite. Merci de m’avoir accordée cet honneur de ton corps et de tes humeurs, physiques et métaphysiques.

Quelle sorcière ! Elle est envoûtante. Mais cette fois-ci j’en suis consciente, pas comme avec Maëlle. Je sais que je ne l’aime pas, Sabine, mais quand même, ça fait quelque chose… Diantre. Fichtre.

• Jenna, je veux bien être la plus intime de tes amies, ta nouvelle première maîtresse, pour explorer jour après jour notre quatrième dimension, ici, dans notre super lit où je ne suis pas ta Papesse, je suis ta Popette : super lit Popette.

De son incantation elle en fait une chanson qu’elle fredonne comme un chant hypnotique. Je lui plonge le visage entre mes cuisses pour la faire taire et sous son nettoyage buccal c’est moi qui chante maintenant. Sorcellerie. Sortilège. Sororité. Avec mes pouvoirs je suis maintenant des leurs et je peux moi aussi lui envoyer des leurres pour l’attirer ailleurs en me retournant sur sa bouche pour lui ouvrir mes fesses où elle réinstalle un minibri en elle aussi pour prendre possession de mon territoire dans la simulation de son organe pénétrant dans mon séant, par ac-coups, encore et encore, de plus en plus fort, de plus en plus vite et moi, à plat ventre les bras en croix je me soumets à sa tentation de me soumettre à sa dévotion. Elle s’arrête après un long râle et je sens sa bave couleur sur mon dos. Quand elle se retire je suis submergée par un soulagement jouissif qui me terrasse et on s’écroule l’une dans l’autre, bombardées jusqu’à l’état de ruines par les missiles et les obus de l’amour.