Séances de psychothérapie avec Pippa, délégation de la direction de l’Ambassade à Ariana, interdite de Basilique Blanche, je rends ma navette diplomatique et je me cache en 72. Oubliez-moi. Greta revient en 44 pour être à proximité. Je partage Marie et Camélia avec Clara. Et ça va. Je prends le vélo et je passe par la route pour aller en 44 voir Greta, disponible et seule, Victoria ne peut pas s’éloigner de sa Cathédrale Votre-Dame en Principauté. Entre deux baisers tous doux, elle m’explique :

• C’est le syndrome du Pôle positif, Bri l’a eu aussi mais elle est très forte et stable psychiquement alors elle n’a pas eu besoin de beaucoup d’aide alors que toi, si. Je vais bien m’occuper de toi ma petite Jenna.
• Je me sens déjà mieux dans tes petits bras, dans ta bouche profonde, sur ton sein juteux, entre tes cuisses moites.

Je la retourne pour la lécher entre les fesses, elle adore ça et moi aussi, le goût profond de ma déesse. Nos corps se connaissent bien. On a juste à les laisser faire et profiter de ce qu’ils nous procurent en sensations absolues. Je retrouve une forme d’équilibre, de sérénité, à proximité de ma terrienne préférée. J’ai trop interféré avec la civilisation, je suis en overdose sociale. Je ne dois pas trop en faire trop vite dans l’éternité, sinon je m’efface et j’oublie. Jenna en stand by. Je rentre rassasiée en 72 et une silhouette attend devant la porte. Sabine. Toute seule. Toute belle.

• Moi aussi j’ai des pouvoir à te céder. Mes prototypes.
• Je ne sais pas si je suis capable de revivre ça. C’est un peu fort, même pour moi. Après tout, je ne suis qu’une simple primaire. Garde-les.
• Non, s’il te plaît. En plus tu sens la Greta à plein nez. Avec elle, essaye, elle va adorer. Un cadeau d’adieu. Pour marquer le coup.

J’accepte ses outils de sorcière fabriqués par ma prédécesseuse. Je les range précieusement dans le tiroir de ma table de chevet dans notre chambre à Marie et à moi même si je ne vais pas lui infliger ça, à Camélia non plus. Sabine a raison, Greta est intéressée. J’ai de quoi l’attirer dans ma couche, sur mon territoire, pour lui faire vivre ça. Et on s’y met, dans mes effluves de mes ébats avec Marie, on passe par toutes les lettres, le L pour prendre des forces de nos laits respectifs, le T pour remettre à niveau nos mamelles entre elles, le F où on s’emboîte avec la force de nos aspirations et le J où elle découvre une position impossible et des sensations nouvelles de part et d’autre de ses coups de reins entre mes cuisses. Au plus haut de son plaisir je la bascule pour l’interrompre et subir à son tour le sort virtuo-réel de mon moi en elle.