Pendant que je l’ai sous les fesses, je rends les prototypes VMPS à Bri. Notre civilisation doit garder son innocence. On n’en est qu’au début des pratiques LTF chez les femmes, le J arrive trop trop et il risque de se propager aux filles. Si on découvre le J trop tôt, ça compromet l’équilibre physique et psychologique de chacune.

• Bri, tu es allée trop loin dans tes recherches de plaisir intime. Il y a des limites à ne pas dépasser comme Sandrine et ses pilules rouges et bleues.
• Je vais à la même vitesse que toi, tu n’as pas attendu beaucoup entre tes deux dernières lettres.
• Ça va à la vitesse de nos corps. Ta technologie, elle transcende, trop. Et tu le sais. Sinon tu l’aurais essayée toi-même sur tes bien aimées.
• Tu as raison. D’accord. Tu as la Pôle alors je t’obéis. C’est tellement plus simple de ne pas avoir à décider. Merci de me limiter.

En guise d’accord et de signature, elle me plaque sur le dos, lève mes jambes, écarte mes cuisses et appuie son ventre qui va et vient de plus en plus fort et réveille mes envies profondes et les siennes aussi. À chaque mouvement sa langue valide mes seins en alternant à chaque fois. Je préfère ce genre d’inventions douces qui prend soin de nos corps, esprits , cœurs et âmes plutôt que de les mettre à l’épreuve de l’extase absolue qui, si on l’atteint, on ne la recherche plus et tout s’arrête. La jouissance est comme l’infini, elle ne doit pas avoir de fin. Et c’est très reposant de ne pas avoir à faire l’effort physique. J’adore cette position. Je n’ai plus à me concentrer sur mon ventre qui aspire et éjacule en elle au rythme de ses assauts. Même mes seins se coordonnent avec un petit jet dans sa bouche qui passe ici et là dans sa danse chorégraphiée de l’amour physique. Je sens son lait couler sur mon ventre et lubrifier notre mécanique des fluides. Chaque orgasme est un battement de cœur qui projette la vie dans nos corps, j’essaye de reprendre mon souffle entre chaque extase de cette rafale infinie. Elle s’écroule.

• Pourquoi tu arrêtes ? C’est si bon.
• J’arrivais plus à compter.

Bri est une sportive. Elle cherche à battre des records. Elle vient encore de me faire découvrir une nouvelle façon de jouir, comme un courant alternatif, plus ou moins. À enseigner sur les locales qui se frottent aux primaires.

• Comment tu fais ça ?
• C’est grâce à un pulseur, le microbri C.E.R.P., il se nourrit du battement de coeur pour capturer, amplifier, reproduire et propager l’orgasme à ce moment là.