Chapitre 3.  La pommade miracle.

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### Ninah ###

Je restais époustouflée, Pierre infatigable avait enfin calmé Lysa ! Après une longue soirée qui avait commencé comme le scénario, Lysa s’était vraiment montrée sans limite, voulant du sexe, rien que du sexe. Il est vrai qu’elle était frustrée, son copain Jaspar était le dernier des mufles, finalement la pommade que Lysa lui appliquait régulièrement avait totalement manqué son but. Au lieu de donner une érection profitable à Lysa, c’est une autre, inconnue qui avait sans doute joui de son engin impressionnant.

Pierre était loin d’atteindre une taille aussi impressionnante, mais au moins il s’en servait en famille. Lysa faisait partie de la famille, non ?

Je l’avais laissé dormir, tout comme sa belle-mère, mais je craignais qu’à son réveil, elle en voulût encore. Si je voulais qu’il puisse encore faire face à la demande, il fallait que j’anticipe. Je me levais silencieusement, pour aller rechercher la pommade que j’avais préparée pour Jaspar, mais qu’il n’était pas question qu’il en bénéficie encore.

En passant je fis un détour par la chambre où reposait Amina. Elle dormait encore en étoile, occupant une grande partie de l’espace disponible. Je n’eus pas le cœur à la réveiller. Munie de mon pot de crème, je revins dans la chambre où Pierre et Lysa récupéraient.

Lisa s’était détachée de son amant, j’eus tout le loisir de la regarder. J’enviais quand même sa beauté, son corps svelte qui plaisait toujours. Tout homme normalement constitué ferait l’amour sans problème avec cette femme. Moi-même, j’avais des envies de la caresser et rien que d’y penser, j’avais des bouffées de désir et mon intimité se mouillait abondamment.

Mais je n’oubliais pas ma mission urgente. Pierre était couché sur son dos me laissant un accès total à sa lance, maintenant au repos. Je pris une bonne quantité de pommade entre mes mains préalablement chauffées et l’appliquais délicatement sur le gland que j’avais dégagé de son prépuce. Je me demandais si j’allais pouvoir rester impassible. Cette crème était vraiment efficace ! C’était la première fois que je l’utilisais moi-même. Jusqu’à présent je ne la connaissais que par sa réputation. Je massais délicatement l’engin de mon homme et très rapidement Pierre gémissait dans son sommeil et je vis sa queue se redresser et se déplier entièrement.

J’aurais dû arrêter de le masser, mais je ne pouvais détacher mon regard et mes mains de son chibre qui m’avait déjà donné tant de plaisir. Je finis par mettre une main sur mon bijou pour me calmer, mais le restant de ma pommade sur mes mains eut un effet totalement inattendu. Mon clitoris gonfla, devint dur comme un roc et mes caresses devinrent tellement efficaces que j’eus un orgasme sans m’être masturbé comme d’habitude.

Mes gémissements et sans doute mon massage réveillèrent Pierre qui me regardait avec désir.

– Pardon Pierre, je ne voulais pas te réveiller, murmurais-je. Je voulais seulement te préparer pour le prochain assaut avec Lysa, car à son réveil, je parie qu’elle voudra recommencer. Mais j’ai mis de la pommade accidentellement sur mon bijou et maintenant il est tout dur et sensible. Donne-moi du plaisir s’il te plaît Patron. J’ai très envie de toi.

– Alors viens ma gazelle, tant que lysa dort profites-en.

Je n’hésitai pas une seconde, sa lance me pénétra sans effort et à peine introduite elle me donna un premier orgasme. Mais j’en voulus encore et je continuai ma chevauchée, même si les vibrations de mon ventre étaient violentes.

– Oh Pierre, je n’ai jamais senti cela aussi fort ! Cette pommade a des effets insoupçonnés.

– Oh, oui Ninah, je n’ai jamais senti ton vagin aussi serré ! Ahhhh ! oui, continue !

– Je continuerai jusqu’à ce que tu me remplisses. C’est vraiment trop fort.

Nos cris finirent par sortir Lysa de sa torpeur.

– Alors, on profite de mon sommeil ? demanda-t-elle.

– Oh Lysa, tu vas en profiter aussi, j’ai préparé Pierre avec la pommade prévue pour Jaspar.

– C’est une bonne idée, car ce salaud n’en aura plus. Sa maîtresse sera déçue lorsqu’elle constatera qu’il ne pourra plus dresser son serpent, dit-elle. J’espère que plus aucune femme ne voudra de son engin énorme mais flasque. Ce sera pire que d’être castré.

– Oui mais de plus, j’en ai mis accidentellement sur ma fente et cela a multiplié mon désir. Pierre a apprécié. Tu veux essayer ?

– Oh oui, si cela te fait encore plus de plaisir, je veux en profiter aussi !

– Je n’en mettrai pas beaucoup, car pour moi c’était juste le restant qui était sur mes doigts. Mais avant je vais raidir le bâton de Pierre.

Je fis comme annoncé et je mis le restant de mes mains dans la fente de Lysa. Comme par enchantement, le clitoris de la femme gonfla et se durcit. Lorsque Pierre la pénétra avec un préservatif, Lysa ne put retenir un cri de jouissance. Ce qui réveilla Amina, qui vint dans la chambre habillée de sa nuisette. Ce qu’elle vit lui donna un grand sourire.

– Alors Maman, tu es contente ?

– Ouiii, ma fille, ton homme est génial et Ninah a découvert un effet inattendu de la pommade. Je sens beaucoup mieux la pénétration de ton mari, j’ai déjà joui dès qu’il m’a pénétré.

– Continue alors Maman, j’essayerai plus tard !

Pierre, sentit également le vagin serré de Lysa, il ne résista pas longtemps, sa verge était beaucoup plus sensible malgré le caoutchouc. Il rugit comme un lion lorsqu’il eut son orgasme en même temps que sa belle-mère.

Amina se blottit contre le corps de sa mère et reçut des caresses sur ses seins.

– Merci ma chérie de me prêter ton mari, je suis vraiment en manque de sexe et sous peine de faire la pute dans les rues des quartiers mal famés, je n’ai pas d’autres solutions. De plus, ton mari est un merveilleux amant, mais là, je ne t’apprends rien de nouveau.

– Oui maman, mais on ne va quand même pas faire un ménage à quatre ?

– Non, ma fille, si je sais que ton mari est disponible de temps en temps en attendant de trouver un homme sérieux, je pourrai espacer ma jouissance avec ton accord. Je pourrai me limiter et je le ferai toujours en venant ici, je ne veux pas le faire en cachette. C’est trop bon de le faire en compagnie de Ninah ou de toi si tu veux.

– C’est entendu Maman,

Cela me paraissait une solution raisonnable, j’espérais surtout que la pommade appliquée dans le vagin de Lysa allait lui donner plus de satisfaction et espacer ses rapports avec Pierre.

– En attendant, j’en veux encore ! Ninah ta pommade m’a excitée et je vois que la tige de ton mari est encore chargée. Amina, si tu le désires, tu peux en profiter, cela m’excitera encore plus de te voir jouir de ton mari. Je n’ai pas eu l’occasion de te voir copuler et maintenant qu’il t’a déflorée je voudrais assister à ta jouissance. Comme Ninah a découvert des vertus inattendues de la pommade pour Jaspar tu pourras aussi connaître de la jouissance sans souffrir des allées et venues du bâton dans ton vagin encore délicat.

– Merci Maman, par curiosité je vais essayer, mais Ninah ne me fait pas souffrir.

– Ma sœur, jusqu’à présent, ce n’est que les traces du baume sur mes mains qui ont donné cette satisfaction supplémentaire.

Je mis donc un peu sur mes mains avant de caresser l’antre de ma sœur, je notai que ce baume avait une odeur bien particulière sur mes mains et je me promis d’en parler avec mes copines qui préparaient cette crème. Dès que je passais mes doigts dans le vagin de ma sœur, je sentis une contraction de son vagin, contraction encore plus forte que chez Lysa ou dans mon vagin. Cela dépassait mes espérances.

Amina, ainsi parée eut des spasmes inouïs, Pierre ne devait pas faire grand-chose pour la faire jouir, même qu’il profita des contractions du vagin de sa femme. Il continua de longues minutes, je voyais que la pommade faisait de l’effet tant à sa lance que dans l’antre d’Amina. Amina cria de plus en plus pour finalement se retenir aux épaules de son mari. Au moment où elle allait demander grâce, Pierre éjacula puissamment au point que son sperme s’échappa en partie alors qu’il était toujours profondément uni à sa femme.

– Oh mon amour cria-t-elle, je n’ai jamais joui ainsi. Comment est-ce possible ?

– Je devine ce qui se passe, dis-je. La pommade fait gonfler et durcir le pieu de Pierre, mais elle est encore fraîche et remet une dose dans le vagin qui devient encore plus sensible. Lysa a eu moins d’effets car Pierre était protégé par le préservatif.

– J’ai compris, dit Amina, mais si on joue avec la pommade, il ne faudra plus m’en appliquer avant de copuler car ce que la verge de Pierre n’aura pas absorbé, suffira amplement à mon plaisir. Pour Maman, qui n’a pas le contact intime dû au préservatif, elle pourra profiter de ce supplément.

– Oui, dit Lysa, je suis d’accord avec ton raisonnement, car Jaspar était toujours couvert lorsqu’il me baisait. Je n’ai donc jamais senti les effets secondaires. Pierre, merci, pour ce matin, mais je vais m’arrêter, sinon je ne pourrai plus marcher et travailler à l’atelier. Oh, Amina chérie, est-ce que je peux revenir exceptionnellement ce soir ? Juste pour combler mon appétit. Après je tâcherai d’être raisonnable.

– Maman, il le faudra bien, mais il faut aussi penser aux forces de Pierre. Il doit pouvoir espacer le plaisir, pour garder assez d’énergie pour nous aimer Ninah et moi.

– Oui bien sûr, ajouta Lysa, Pierre viens plus près, oui, tu es un bon amant ! Comment je vais faire sans toi ?

NDA : À très bientôt ! Lysa va devoir se calmer, je ne pense pas qu’elle trouvera un substitut pour calmer ses envies.

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