Introduction

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Une jeune fille impertinente se fait interpellé par un gars alors qu'elle s'apprêtait à rentrer chez elle. Une mais se pose sur son épaule et lui demande si elle connaît le nom d'une certaine madame B. Elle l'ignorait alors qu'il lui tendit le livre dans ses mains où il fut indiqué le nom demandé et elle reconnut l'un de ses livres préférés. Puis elle lui dit qu'elle savait qui serait la renseigner et elle allait l'y conduire. Ce devait sûrement être un amant fougueux de sa mère qui plus est. Il est à l'entrée de leur deux âges. Il veut savoir comment elle s'appelle et elle va s'arranger pour le renseigner.

Ils traversèrent un grand couloir en pierre devant le dortoir de l'institution des enfants abandonnés de leur parent, et ce lieu est devenu leur foyer en plus de les instruire. Chacun la regardèrent marcher rapidement, ceci pour qu'elle se détache de cette mission au plus vite. Elle ne savait pas encore ce qui la troublait, sure il était un bel homme mais il ne fallait pas exagérer non plus, elle n’en était pas au point de se prosterner à ses pieds. Elle feuilleta à la va vite les pages du livre fébrilement et ce que cela provoqua en elle, en se rappelant l'histoire dans sa tête de Véro l’héroïne du livre sur une amante émérite et qui fut aussi le nom de sa mère. La demoiselle demanda à la réceptionniste madame B, et lui dit qu'elle est sa fille. D'une impertinence peu commune, elle lui demande ce qui sera le mieux. Lui dire son prénom et son âge, quoique l'âge ne se demandait pas chez une femme mariée de bonne condition, ou lui apprendre son nom de jeune fille De Séville, pour pouvoir répondre à la question de cet homme. Celui qui la regardait intensément, et lui fit battre son cœur se répercutant jusqu'à son pouls dans son poignet. Elle ne comprenait pas ce qu'il rechercha d'elle.

Ça pouvait n'être rien, et surtout pourquoi l'interrogea-t-il ?

Elle était plus jeune et gracile, elle en avait du moins dix-huit ans ou elle pourrait se rapprocher des vingt pour qu'il ne prenne pas peur du moins ne serait-ce qu’un temps. Elle le voulait et la concurrence sera rude. Sa mère tenait le dortoir des jeunes enfants comme des sortes d'orphelins. Elle avait eu une expérience avec son père, que son corps s'ouvrira plus que le sien. Elle fut une sorte de grande sœur pour ces abandonnés d'amour à leur rappeler un certain nombre de valeur morale. Mais il lui fit oublier l'essentiel, et lui proposa qu'ils se promènent. Il était un brin ténébreux, une sorte de poète qui voulait sans doute rédiger des vers dans son cahier après lui avoir fait l'amour. Cette vision l'horripilait qu'un autre que son père imagina sa mère ainsi. Elle lui fit comprendre de laisser tomber, de toute façon, s'il voulait la rencontrer, sa mère serait bien trop occupée qu'elle ne se donnera même pas la peine de lui faire visiter le coin, et de faire un tour avec lui. Confus il se dit qu'il y avait méprise, vu le ton qu'elle employa avec lui, et qu'il connaissait sa mère depuis plusieurs années, étant restés en contact avec elle par lettre.

Quelques minutes plus tôt, miss Sou-Ann était pressée de rentrer chez elle, pour ne plus avoir à penser à sa journée qui fut fatigante à l'école. Des gens de son âge l'avaient bassiné avec leur problème, sans prêter attention qu'elle pouvait aussi avoir les siens. Il semblerait qu'au tout à chacun pensait qu'elle fut capable de les résoudre d'un coup de baguette magique, car ses conseils s'étaient avérés utile. Mais elle en avait plus qu'assez de tout ceci. Et il serait temps qu'elle pense à ce qu'elle voudrait vraiment. Déjà l'une de ses amies se précipita pour lui faire savoir que quelqu'un lui plaisait, en lui demandant de l'aider pour un jeune homme qu'elle ignorait qu'il fut celui qui lui plaisait. Elle avait trop attendu et ne s'était pas déclarée. Il ne faisait aucun doute qu'il avait du remarquer cette amie, et la regardait avec intérêt puisqu’ils furent ensemble.

Pourquoi n'avait-elle pas pu être à la place de cette fille ?

Si seulement elle lui avait coupé la parole pour le lui dire. Elle était partie dans une interminable explication avec l'homme avec qui elle était sortie dans la cour pour pouvoir vider son sac, et que cela lui fera le plus grand bien pour finir sa journée avait-elle décidée. S'il tenait vraiment à avoir le nom de B, il lui faudra d'abord l'écouter, tout ce dont elle n'avait pas pu se plaindre, et il ira en faire les frais.

Pendant ce temps, il griffonna quelques mots dans un cahier lui accordant toute son attention, de cette attention que sa mère aurait pu lui témoigner, si elle ne s'occupait pas tout le temps de ces pauvres malheureux qui n'avaient juste plus de parent. Son cœur se serra rien qu'à cette idée, et elle savait qu'elle n'aurait pas du se plaindre, car ses parents furent encore là, et elle pouvait encore compter sur eux dans les mauvaises passes. Elle lui confia ce qu'elle n'avait jamais osé dire à qui que ce soit. Peut-être n'était-ce pas si évident de le faire, et qu'elle inspira tout simplement à ce qu'on lui fasse confiance pour tous ces gens malgré son visage impassible qui les intriguaient. Elle aurait voulu savoir si elle fut une jeune femme intéressante. Il lui répondit que si elle fut comme sa mère, elle l'était forcément, car chaque mot qu'elle prononça, il n'avait de cesse de s'ennuyer tant c'était subjuguant.

Ce que les gens eurent du mal à comprendre, ce fut qu'à force d'être sans cesse comparé à ce modèle de perfection qu'il fut facile d'en avoir jusqu’à des complexes. En tout cas d'avoir une mère si exceptionnelle, lui devait l’être tout autant, et elle aimerait qu'ils apprennent à se connaître s'il le lui permet. Ceci en leur permettant de se revoir à la même heure, au même endroit à la tombée de la nuit, alors qu'elle était sensée être rentrée. Cette ballade nocturne lui avait fait le plus grand bien. Il lui dit qu'il verra ce qu'il peut faire, et la quitte d'un simple baise-main, car elle n'est pas celle qu'il recherchait se dit-elle amer.

Pourquoi fallait-il qu'un homme si jeune que lui veuille sa mère et pas elle ?

Il fallait qu'elle comprenne la raison et pourra-t-elle y remédier ?

Elle ne savait pas encore son prénom, mais normalement les gentlemans tenaient leur parole. Quoique l'incertitude l'assaillait, et qu'il lui parut trop approximatif, quand il refera appel à ses services ne lui ayant pas dit de qui il s'agissait.

Note à part, Véro est l’héroïne du livre de madame B, et aussi le prénom de sa mère, puis elle a tendance à la confondre avec celle-ci. Et une vrai femme pensa-t-elle, celle qu'elle ne sera probablement jamais, étant trop propre sur elle-même.

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