Un accord capable de la compromettre

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Mais que pouvait-elle bien lui trouver ?

_ Vous n'êtes pas sans savoir que même les adultes sont capable de bêtises pire que celle d'une enfant. Et je vous le dis de vous à moi. Vous êtes entrain de commettre la pire erreur qui soit, surtout si vous prétendez l'aimer ! Vous devriez vraiment réfléchir à vos actes, car cela l'affectera au plus haut point, lorsque les gens la montreront du doigt.

Sou-Ann fut hors d'elle et ses doigts tremblaient enfin son corps dans son entier, puis elle se tendit rouge de colère.

S'il ne trouvait pas un moyen pour que cela change, elle se sentait capable de venir lui donner la migraine afin qu'il retrouve la raison.

_ Vous êtes si inquiète que cela pour votre mère ? J'en suis désolé pour vous mais j'ai besoin de distraction le temps que je reste dans le village, et il me reste quelques mois d'attente. Il se pourrait cependant que je change d'avis, si vous faites quelques choses pour moi en échange. Cela ne sera pas sans conséquence ma chère enfant.

     Son ton devint plus chaud tout en le disant à mesure qu'il se rapprocha d'elle, elle ferma les yeux se doutant qu'elle risquerait de se prendre une claque en le lui demandant.

_ Quelle est votre proposition pour que vous acceptiez d'éconduire ma mère qui reste engagée à mon père ? C'est l'unique raison qui me fait vous poser cette question.

Il n'était pas certain que Baptiste l’en croit capable, alors que ses doigts caressa l'angle de sa mâchoire, et de la voir réprimer un frisson qu'elle eut tant de mal à contenir.

_ Très bien dans ce cas, je souhaite que vous me distrayez. Et je ne dis pas cela au sens le plus arrangeant. Mais de celle qui peut vous faire sentir sale, si vous n'y êtes pas un tant soi peu préparée.

L’homme pensa que cela avait suffit et qu'elle abandonnerait en vue des circonstances, et qu'il puisse être habitué à ce genre de situation. Cela lui fit froid dans le dos, car cela fut plus compromettant pour une jeune femme. Il pensa à son amie qui sera furieuse si elle venait à l'apprendre. Sou-Ann s'était plus ou moins préparée à cette éventualité, mais c'est une chose de supposer ce fait que d'y être. Elle ne souhaiterait plus qu'une seule chose s'enfuir, pourtant elle ne bougea pas.

Elle se sentait honteuse des mots qu'elle allait prononcer, et ce fut son seul atout.

_ Alors permettez-moi que je prenne sa place mon seigneur et maître.

La jeune trembla comme une feuille de tout ses membres de faire la plus grosse bêtise de sa vie, et il aura raison de lui dire que l'enfant qu'elle fut avait été sa faiblesse.

Mais de quelle façon aurait-elle pu fait mieux, pour qu'il ne tente plus sa mère ?

Il la regarda sur toutes ses coutures en défaisant sa cape et en appréciant mieux la vue.

_ Malgré votre inexpérience je dois reconnaître que cela changera la donne d'un corps encore capable de tant de vitalité, qui fatiguera moins vite à ma fougue ! Sans compter sur votre jeunesse. Je pourrai revoir à la baisse mes exigences, afin d’en profiter quand même, et que l’on ne vous ramasse pas à la petite cuillère dès mon départ.

Ça y-est, il s'agissait d'un digue qui n'avait besoin que de satisfaire son appétit sexuel.

Un corps intouché valait son poids en or, et Sou-Ann allait le confier à ses soins, ceci pour libérer sa mère d'être tombée dans son piège, et idem pour elle.

_ Je doute que cela fasse la différence que vous m'épargnez de certaines de vos exigences, car il y aura la même finalité, mais je vous en remercie de votre sollicitude. Puis avant que cela ne commence, je vous demanderai un accord écrit signé vous engageant à ne plus accepter ses avances. Nous pourrons enchaîner ensuite, quand bon vous semblera. Je me tiendrai prête.

Une fois qu'il eut rédiger son contrat qu'elle vérifia avant qu'ils le signent, puis le cachetta d'un sceau de cire pour le sceller, et elle le mit dans un étui étanche lui donnant la possibilité de lui rappeler leur accord. 

Baptiste se rapprocha dangereusement d'elle triomphant, et il savait quoi faire pour qu'elle demande d'y mettre fin elle-même, à donner des ordres.

_ Je veux que de votre propre volonté vous m'embrassiez. Dès que je me mettrais à vous toucher, vous devriez posez vos mains autour de mon cou. Il me faut pouvoir vous entendre, et que vous répondiez à mes caresses en vous laissant aller à ce que vous ressentez. Vous pourrez quand vous prendrez l'habitude d'y ajouter des mots ou m'appeler. Tel est ce qu'est d'être un adulte se laissant prendre dans les affres du plaisirs. Et je conçois que vous y trouviez votre compte !

Il lui dit ce qu'il attendait plus ou moins d'elle pour pouvoir déjà y faire démarrer leur accord. Chaque fois qu'elle viendra à la tour ou cela n'aura aucun intérêt et prendra fin de l'accord. Puis à ses caresses, devoir mettre ses bras autour de son cou, et expliquer qu'il tenait à ceci pour se sentir avec quelqu'un de vivante, tout en se laissant s’exprimer.

Pour le reste, cela sera-t-il possible s'il n'y a pas de sentiments pour elle ?

Malgré leur accord il la voulait pleinement consentante, alors que les hommes étaient plus physique que les femmes d’époques étaient plus sentimentaliste.

_ A partir de ce soir, je vous fais le serment de vous donner mon corps consentant à une distraction à sa juste valeur.

À cela s'ajoutait la non-violence de l'acte, et qu'il la faudra éperdue de lui pour avancer plus loin...

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