Maman, je t'aime
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Maman,
Je t’appelle peut-être trop souvent
Mais c’est parce que tu es dans mon sang
N’oublies pas comment en vrai on s’entend
Notre relation est si fusionnelle et bienveillante
On réfléchi, ri et marche en avant
Loin de nos souffrances, nos pas suivent le vent
Vers une colline suisse, au sursaut puissant
Le passé a trop donné, temps au présent
Qui est si prometteur et rayonnant
Tu as vaincu ta dépression, c’est grand
Je vais vaincre mes addictions, oui c’est lent
Tu l’avais dit : laisser le temps au temps
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