Le monde d'avant

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Mais pour comprendre un peu mieux le système de recrutement actuel, il faut d’abord retourner à la source du problème et comprendre comment cela se passait avant…
Il est prouvé que par le passé les anciens on trop fais les frais d’une main d’œuvre, sous-qualifié, malheureuse et qui effectuais son dur labeur à contre cœur.
À cette période, on essayait de caser les gens n’importe où dans l’unique but de faire reculer « la courbe du chômage » et créer de la richesse, les humains de cette époque ne se souciait ni de la personne en question, ni de son employeur.
On se comportait comme si la vie et l’emploi de toute une vie pouvait simplement se résumer à une courbe qu’il fallait absolument inverser.
Cette situation créait des désastres, les gens travaillaient de plus en plus mal, se désintéressant de plus en plus de leurs travails et n’effectuant leurs dures besognes que pour boucler leurs fins de mois ou pour s’enrichir.
L’argent créait un environnement de travail néfaste…
Pour résumer simplement, ceux qui en manquaient avaient tendance à faire tout et n’importe quoi pour en avoir, et ceux qui en avaient trop, essayaient de dominer ceux qui n’en avaient pas !
Sans parler du fait que certains léguaient toutes leurs richesses à leurs descendances qui pour le coup, n’avaient nullement besoin de travailler, et passaient leurs temps à se pavaner telle de vulgaires insectes exhibant fièrement l’argent de leurs alleux.
Ce n’était clairement pas une situation humainement équitable, on pourrait apparenter ce système à la carotte qui ferait avancer un âne, tant que cette carotte se trouve sous son nez l’équidé avance dès qu’elle disparaît, il s’arrête tout simplement. En l’occurrence, nous ne sommes pas des ânes et eux non plus ne l’était pas…
Donc comment expliquez-vous que nos anciens, les créateurs de la Tour Eiffel, du vaccin contre la rage, tous ses grands révolutionnaires et ses hommes de lettres en passant de Maupassant à Jean de la Fontaine, qui pour le coup n’étaient clairement pas des abrutis, ont il fait pour baser tous leurs systèmes économiques sur quelques choses de si dérisoire qu’est l’argent ?
C’est là une question à laquelle je ne peux répondre…
Par contre ce que je peux vous affirmer de sources sures, c’est ce qui a changé depuis cette époque !
Première chose et non des moindres, nous nous sommes tout simplement débarrasser de cette ignominie que représente l’argent !
Oui, il nous aura fallu, plus de deux mille ans pour ça, c’est un peu long. Je vous l’accorde ! Mais nous vivons maintenant dans un système qui je l’ose espérer, ce souci beaucoup plus de l’humain.
Comment faire pour s’habiller et se nourrir sans argent, me direz-vous ?
Dans notre société, les travailleurs, disposent tous les jours de points caloriques, ses points sont calculés en rapport avec les tâches effectuées, la corpulence de la personne.
Tout le monde peut d’ailleurs se nourrir comme bon lui semble dans la limite des points qui lui sont attribués…
Seule contrainte nous devons porter en permanence un bracelet, qui calcule en temps réel notre dépense énergétique, il en existe de différentes formes et couleurs, et en plus, il donne l’heure.
Un petit bracelet autour du poignet, ce n’est en fin de compte, pas cher payé, quand on voit le gâchis que ça évite !
Celui-ci analyse même les battements de cœurs, et permet de prévenir les secours, au cas où quelques choses se produiraient, si vous êtes perdu, c’est pareil, il ne suffit que d’appuyer sur un bouton et il vous indiquera le bon chemin, j’avoue m’en être servi quelques fois durant mes escapades.
Le temps des documents en pagaille dans votre portefeuille est aussi révolu, tout est numérisé, il suffit de passer le bracelet dans l’appareil prévu à cet effet, tout s’y trouve, numéro de sécurité sociale, et toutes les informations vous concernant…

Pour tout ce qui est habillement, c’est sensiblement pareil, sauf que le choix d’habits a été restreint, avant certains s’en servaient comme d’un signe extérieur de richesse, ou pour exhiber leur fausse excentricité.
Cette dérive n’est maintenant plus possible, la seule chose qui change d’une chemise à l’autre, c’est son modèle et sa couleur…
De toute façon, pourquoi vouloir s’impressionner les uns les autres ? Avoir des milliers de choses, qui finissent à la déchetterie, si c’est n’est pas là un signe de faiblesse, alors je ne m’y connais pas…
Nous nos habits, ont les gardes et on en prend soins !

L’heure n’est plus aux gaspillages d’antan, nous nous devons de reconstruire un monde meilleur, si nous voulons survivre. Nous avons appris des erreurs du passé et en avons fait une force, en même temps nous n’avons pas réellement eu le choix, nous n’avons plus les moyens matériels pour jeter les choses inconsciemment sans penser aux conséquences…
Que pourrions-nous faire ? Le monde d’autrefois a laissé certaines séquelles indélébiles !
Nous sommes en constantes pénuries de tout…
Nous replantons difficilement les arbres qui ont étés coupés, le papier est devenu un objet de luxe, il est produit en très petite quantité, et n’est distribué qu’à certains écrivains qui l’utilisent pour prendre des notes…
Ces écrivains écrivent pour la grande majorité d’entre eux sur les bienfaits de notre système ou sur les problématiques à venir, le papier est aussi utilisé pour imprimer les tracts distribués à l’entrée de nos bureaux qui nous annoncent les nouvelles décisions prise par l’entreprise.
Et dire que dans le monde d’autrefois ce même papier était utilisé, pour s’essuyer après avoir fait ses besoins.
Les saisons en ont souffert, il n’est pas rare qu’il neige en plein mois d’aout, le rendement des terres agricoles s’en trouve grandement amoindris voir quasiment inexistant.
Là ou avant sur les images d’archives, nous pouvions voir des hectares de maïs à perte de vue, pratiquement plus rien ne pousse, le sol est devenu comme stérile…
L’herbe si verte d’avant a laissé place à une herbe jaune brûlés par les rayons du soleil.
Nous n’avons pas eu d’autres choix que de nous adapter, maintenant les cultures se font hors-sol dans ses grands bâtiments maraîchers comme on les appels.
Et puis même si le sol était fertile de toute façon, nous n’aurions absolument pas de quoi l’arroser, l’eau est une denrée précieuse, qui est devenue de moins en moins potable, les pluies sont de plus en plus acides, les restrictions sont fréquentes, la douche ne se prend plus tous les jours et hors de questions d’avoir chez soit des plantes, qui servent de décorations.
Et dire qu’avant cette même douche étaient prise deux fois par jour, quel gaspillage !
Ce même soleil autrefois si bénéfique pour les cultures est devenu pour nous, une abomination, impossible de sortir dehors pendant les fortes chaleurs, le soleil nous brûle la peau. Nous avons maintenant compris à nos dépens qu’il ne fallait pas se jouer de Mère nature, et qu'elle ferait payer au centuple, le prix de la souffrance que nous lui avons fait enduré. La société d’avant, vivait comme si demain n’existait pas, il ne se souciait absolument de rien, vivait au jour le jour, se berçant d’illusions, pensant à tort que la sacro-sainte technologie allait les sauver de l’anéantissement…
Je peux maintenant l’affirmer haut et fort, la technologie n’a sauvé, personnes, bien au contraire, au lieu de se satisfaire de ce qu’ils avaient, les anciens s’imaginais allez coloniser l’espace, ils voyaient sûrement dans leurs imaginaires, leurs descendances aller anéantir d’autres planètes, à la recherche de ressources qu’ils auraient auparavant gaspillées. Non toute les technologies n’étaient pas bonnes à prendre et ils l’ont compris à leurs dépens. Vous vous imaginez dans le monde d’autrefois, les gens avaient des magazines, recevaient des centaines de pub dans leurs boites aux lettres à longueur de temps, toutes, c’est choses inutiles qui n’ont plus raisons d’être aujourd’hui, quand je vois toutes les avancés qui ont étés faites depuis cette époque, je me dis qu’on avance vraiment dans le droit chemin, tout est numérisés à sa place, sans fioritures aucunes…
Ils avaient le choix pour tout et s’encombraient la tête d’un rien !
Ils choisissaient ce qu’il voulait manger, comment s’habiller, ce qu’ils voulaient regarder à la télévision, ils s’engraissaient jour après jour, ingurgitant frénétiquement leurs nourritures reconditionnées, auxquels ils ajoutaient à outrance, du sucre, des conservateurs et des exhausteurs de goûts par milliers.
Ils se gavaient tel des porcs, et avaient de la nourriture à profusion, tellement qu’ils ne savaient absolument pas quoi en faire, tous les jours, ils en jetaient des tonnes, ces aliments régurgités par leur société finissait à la déchetterie…
Tu en as d’autres qui étaient si obèse qu’ils n’arrivaient pratiquement plus à marcher, aujourd’hui en 2189, nous sommes douze milliards d’humains.
Que se passerait-il si tout le monde faisait comme bon lui semble ? Je vais vous le dire !
Certains d’entre eux possédaient même différentes paires de chaussures par milliers, qu’ils leur auraient bien fallu au minimum dix vies pour pouvoir toutes les user.
Ils les collectionnaient, les exhibaient dans leurs placards, les admiraient, ils faisaient comme s’il s’agissait là d’œuvres d’art se les échangeais et les vendais à prix d’or…
Ils voulaient tous avoir le dernier portable à la mode, être au volant de la dernière voiture sportive, fenêtre ouverte, cheveux au vent, et coude à la portière…
Leurs portables s’usaient généralement au bout de deux ans à tout casser, tout comme leurs voitures de sport.
Et je vous laisse devinez ce qu’ils en faisaient quand cela arrivait ?
Ils les jetaient et en rachetaient d’autres tout simplement, car tous ces objets étaient devenus obsolètes, plus du tout à la mode ou dépassés technologiquement…
Leurs vies étaient devenues vaines, et ne représentaient plus qu’un éternel cycle… Ils s’étaient pour la plupart éloignés des choses essentiels, ils voyaient en cette consommation boulimique leurs saluts, le seul moyen pour eux de satisfaire leurs misérables egos et d’exister un tant soit peu.
Ils n’étaient plus, ils paraissaient être ! Photographiant au passage compulsivement leurs nourritures et s’exhibant le plus possible sur les réseaux sociaux, ils cherchaient à impressionner leurs congénères, à jouir d’une pseudo-notoriété, qui n’était que virtuelle.
Cette consommation commençait même peu à peu à régir tous leurs codes sociaux, telle des moutons guidés par leur berger, ils se devaient d’avoir tous, les dernières baskets aux pieds, les plus beaux habits, la plus belle voiture.
Dans le cas contraire, ils avaient tout simplement l’impression de ne rien valoir et d’être rejeté, ils se devaient d’être uniformisés, ils se sont d’ailleurs tous mis à écouter les mêmes choses, regarder les mêmes choses.
En d’autres mots, à faire exactement ce que l’on attendait d’eux…
Ceux qui étaient différents et qui réfléchissaient un tant soit peu, étaient moqués, dénigrés, ils étaient en quelques sortes mis à l’écart de cette société, soit disant ultra ouverte…
Et je ne parle pas des différences superficielles qui elles étaient exhibées à outrance…
Il n’était d’ailleurs plus rare de voir des gens s’habiller en dehors des codes de l’époque, cela ne choquait plus grand monde, ils utilisaient habilement c’est personnes afin de se donner l’image d’un monde en mutation.
Mais dans la réalité des faits, rien ne changeait, la seule différence d’une personne à l’autre se trouvait uniquement dans son apparence.
Ces humains, qui pour la plupart se trouvaient en pleine crise identitaires, essayaient tant bien que mal de se raccrocher à une identité inventée de toute pièce, des sous-cultures voyaient le jour constamment, se pensant chacune plus différente les unes que les autres.
Comme si nous pouvions baser toute une culture sur des choses si futile qu’un style vestimentaire, ou sur une taille de barbe !
A la télévision, devant les arrêts de bus et partout où ils allaient, ont leurs martelait des images de choses qu’ils ne pourraient jamais s’offrir, on suscitait chez eux l’envie, leurs faisant miroiter une réussite inatteignable, ils étaient en quelques sortes maintenu captif par eux même…
Quelques fois ont leurs mettaient en scène la réussite des autres, leurs faisant croire que s’ils travaillaient dur, tout serait alors possible, la réussite, l’argent, et j’en passe…
La télévision et les tabloïds exhibaient fièrement toute cette démesure, et ce luxe encore une fois si inatteignable pour le commun des mortels !
Mais comme vous l’aurez deviné tout ceci n’était qu’un leurre, devant eux se dressait la montagne infranchissable de la « réalité », cette « réalité » crée de toutes pièces par leurs tous puissants.
Qui vous l’aurez compris faisaient tout ce qui était en leurs possibles afin que cet idéal ne puisse jamais être atteint…
Le capital les avait consumés, les gens voulaient posséder à tout prix, leurs appartements et leurs voitures, s’endettant pour certains à vie, ils se retrouvaient pris à la gorge, obligée de travailler coûte que coûte.
Dès qu’ils avaient des enfants cela s’empirais encore, l’instinct parental étant plus fort que tout, ils ne vivaient maintenant plus seulement pour eux, mais aussi pour leur progéniture.
Et malgré toute la bonne volonté des parents, les horaires de travail commençaient à s’allonger de plus en plus, dans la grande majorité des cas, certains par obligations, d’autres par facilité, laissais tout simplement cette progéniture à l’abandon devant la télévision, qui devait à elle seule vaquer à son éducation.
De toute façon, il le fallait bien, ils n’avaient absolument plus le temps de rien. Et vous voulez savoir la plus grande des aberrations de leurs mondes d’autrefois ?
Ce sont justement ces élu ! Les anciens avaient un système de gestion du pouvoir bien particulier, ils élisaient un Président.
Quelle idiotie ! Comme si un humain lambda pouvait savoir pour tous les autres ce qui était bien pour eux !
Ils appelaient cela la démocratie ! Ils avaient des élus du peuple, ils appelaient cela l’assemblée !
il y a d’ailleurs de vieilles images d’archives qui circulent ou on peut les voir débattre entre eux, votant des lois, tapant sur leurs tables tel des enfants qui se chamaillent, ils hurlaient, criaient même, n’hésitant pas parfois à en venir aux mains, c’est vraiment hilarant à voir, quelle efficacité pour imposer des idées !
Vous l’aurez compris dans la grande majorité des cas, tous ses débats étaient stériles et ne démontraient que la nature humaine dans toute sa splendeur…
En fin de compte, ces prisonniers choisissaient eux-mêmes leurs bourreaux, les politiques de l’époque étaient tous corrompus et profitaient de leurs mandats afin de s’en mettre pleins les poches et s’assurer une belle vie au soleil, ils étaient vendus à ce système, et ne dirigeaient en réalité plus grand choses…
Laissant les choses se faire, ils se contentaient d’être présent, de faire bonne figure, votant les lois qui arrangeaient ceux qui leur avaient permis de se hisser au pouvoir.
Ils étaient devenus de simples marionnettes vendus au plus offrants…
Ils n’écoutaient plus le peuple, leur belle démocratie commençais peu à peu à se changer en une sorte d’autocratie malsaine, dérégulant les lois concernant le travail, créant de plus en plus d’inégalités sociale, et appauvrissant de plus en plus la classe moyenne. Ils finirent par précariser le travail de millions de personnes.
Ceux qui étaient broyés par de ce système dormait dans les rues, d’autres mettaient fin à leurs jours, les étudiants se jetaient par les fenêtres…
Par manque de moyens, et probablement par envie, le système éducatif était de plus en plus pauvre intellectuellement, il ne fallait absolument pas que ces enfants puissent penser par eux-mêmes, ils étaient en quelques sortes dès leurs plus jeunes âges mis en condition à être des citoyens modèle…
Les politiques n’étant satisfaits de n’être que les bourreaux des humains, commençais peu à peu à devenir les bourreaux de la nature, ils autorisaient les pesticides qui auparavant étaient interdits, asséchaient tout sur leurs passages, et faisaient disparaître des milliers d’espèces les unes après les autres… Comment pouvait-il avoir de la considération pour les animaux, qui d’après leurs visions des choses étaient clairement inférieur à nous ?
Ils étaient vendus aux chiffres, et ne prenais même plus l’humain en compte dans leurs équations, la justice ne les concernais plus. Ils étaient maintenant bien au-dessus de cela, et n’avaient clairement ni à se justifier ni à répondre de leurs actes devant quiconque…
Ils contrôlaient secrètement tous les médias, journaux, télévisions, et presses écrites, maquillant leurs actions et s’échangeant le pouvoir entre eux, leur pseudo-démocratie si utopique et bien-pensante soit elles n’étaient plus en réalité qu’une vulgaire mascarade, ils avaient réussi à tout rendre sale et écœurant, faisant des économies de bouts de chandelles sur tout…
Les grands bâtiments délabrés se dressaient en plein milieu des ghettos qu’ils avaient, eux même crées… Ils parquaient les gens à l’intérieur, leurs offrants toutes commodités à proximités, il ne fallait absolument pas qu’ils en sortent…
Ils étaient devenus si malins qu’ils appliquaient à la lettre le célèbre dicton du « divisée pour mieux régner. »
Maitrisant à la perfection les mécanismes de l’humain, ils arrivaient habilement à maintenir museler la population grâce à la télévision, qui diffusait en continu une propagande abrutissante remplis de programmes télévisés, tous plus débile les uns que les autres…
Les programmes culturels qui auparavant parlaient d’histoire, d’avancer médical, d’écologie, de philosophies, et de vies alternatives, n’intéressaient plus grand monde et ont étés remplacés par d’autres programmes, qui ne portaient plus en réalité que sur des faits d’actualité divers.
Les images étaient martelées à outrance, on voyait diffusés sur toutes les chaînes en continue, des policiers en train de démanteler des trafics de drogues, d’arrêter des délinquants et chasser des fraudeurs…
Créant un sentiment d’insécurité permanente, toute cette mise en scène n’avait en réalité qu’un seul et unique but, monter les Français les uns contre les autres, stigmatisant tout simplement une partie de la population, et créant une fracture sociale.
Leur plan machiavélique fonctionnait à la perfection les gens commençait tout simplement à se détester les uns les autres, impossibles dans ces conditions pour eux de s’unir la dureté de la vie faisait que chacun restait centré sur soi, plus d’entraides, plus aucune unité ne pouvait exister, hormis celle de l’hypocrisie de cette fausse bienveillance et des fausses valeurs promulgués par les grandes entreprises, qui contrôlaient tout ce système…
Toutes manifestations étaient sévèrement réprimées, discréditées, par les médias, plus personne n’avait le droit à la parole et les seules à qui ont laissais placer quelques mots durant les heures de grande écoute étaient de connivence avec ce système et en tirais un quelconque avantage…
Voilà ce qu’était le monde d’avant… Et dire qu’il y en a encore des pays vendus à ce système dégradant…
On pourrait facilement accuser les anciens des torts qui nous accablent actuellement et nous aurions tout à fait raison !
Mais à quoi bon leur en vouloir ? Sont-ils en fin de compte les seuls coupables ?

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