Chapitre 20 - Mickaël

12 minutes de lecture

Bordel ce jeu m’a foutu dans une forme olympique. Elle a joué à merveille et je n’en ai rien à foutre d’avoir perdu vu ce que j’ai gagné d’elle. Ce soir elle va dormir nue contre moi et je vais pouvoir me branler sur elle, ça vaut bien une défaite.

- Je te rappelle qu’on a 2h à étudier, me rappelle t’elle.

Et merde. J’avais oublié ça. On se met tous les 4 autour de la table comme de bons petits élèves. Je grogne mais je me réconforte avec mes souvenirs de branlette. Je la regarde studieuse, son pull tombant sur son épaule, le crayon dans la bouche, ses cheveux sur le coté, putain mais elle n’a pas idée à quel point elle est sexy.

- Parker on travaille là. Me lance Julie qui vient de capter mon regard sur sa copine.

Je lui fais un doigt d’honneur et me remet à bosser. « Qu’est ce que mourir ? 6 pages » il est sérieux là Zacaro !!! 6 pages pour parler de la mort, bah putain génial. Je dois mettre mes idées là-dessus, ok…la petite mort, mourir entre les cuisses d’Anna, la faire mourir de plaisir, mourir de faim car je passe mon temps à la baiser…

- Putain ça soule je ne comprends rien !!! S’énerve-t-elle à coté de moi devant ses exercices de Maths.

- Tu sais plus compter ?

- Très drôle, tu ne connais même pas tes tables de multiplications je suis sure.

- Pourquoi les apprendre alors qu’on a la calculatrice ? Bon montre moi ça.

Je tire son classeur et lis son exercice.

- T’es sérieuse là ? Tu galères là-dessus ? Dis-je en ma marrant.

- Je n’ai pas redoublé deux fois moi.

- C’est archi simple regarde.

Je lui explique et elle finit par comprendre son cours. Les mathématiques n’ont jamais été un problème pour moi et au bac je m’en suis sorti avec un 16/20.

- Bon bah moi du coup j’ai perdu mon temps à t’aider, j’ai même pas pu bosser, merci Marie hein. Dis-je pour la faire culpabiliser.

Elle me regarde avec une mou qui me fait fondre sur ses lèvres. J’aime l’embrasser, sentir sa salive se mélanger à la mienne, son souffle contre le mien, bordel j’ai tellement envie d’elle, ce soir ça va être de la torture même si j’ai hâte de la sentir nue contre moi. Ma bite en peut plus.

Calme-toi, elle va juste dormir nue avec toi.

Et me laisser me branler sur elle.

Tu espères que ça dérape mais tu sais aussi qu’il ne faut pas.

Je sais, ça va être une épreuve difficile.

Le temps se fout de ma gueule et passe lentement. On mange et je regarde l’heure…21h12, bordel ça passe pas !!!

- On fait quoi ? Demande Julie

- On va se coucher. Dis-je

- A 9 et demi ? Jamais de la vie, tu vas devoir attendre Parker. Me lance-t-elle

Bordel pourquoi ça ne passe pas !!! On se décide sur un film et je profite pour l’attirer contre moi. Elle ne me jette pas, c’est plutôt bon signe. Elle mange des bonbons les yeux plantés dans le film que je ne suis que vite fait tellement je la regarde. Je passe mes mains sous son pull et lui caresse le ventre, elle ne me repousse pas. Je veux me faufiler sous son jean mais elle me lance un regard noir. Ok pas sous le jean, je m’en tape ce soir elle sera à poil. Je remonte au dessus de son nombril et remonte mais là encore elle me stoppe.

Elle a plutôt été claire je crois.

Je ne peux pas m’empêcher.

T’es lourd.

Je m’en fous.

Je ne lâche pas l’affaire, je recommence, je sens son nombril s’affaisser et elle se contracte sous mes caresses. Je glisse mon autre main dans celle qui ne plonge pas dans la boite de friandise pendant que l’autre remonte encore. Ses doigts se serrent entre les miens lorsque je touche le dessous de son soutien gorge du dos de ma main. Je redescends jusqu’au bord de son pantalon sentant sa respiration s’accélérer.

- Pause pipi !!! Crie la casse couille de reine des neiges.

Elle veut pas aller se pendre sérieux !

- Putain mais t’as la vessie d’une gamine toi. Dis-je en grognant.

- Je t’emmerde Parker, j’ai le droit d’aller faire pipi quand même.

Marie se lève et me sourit tendrement et va se chercher de quoi boire. Lorsqu’elle revient je lui ouvre mes bras et elle se remet contre moi, parfait.

- C’est les bonbons qui te donnent soif ou moi qui te donne chaud bébé ?

- Les bonbons.

- Menteuse.

Je lui pose un baiser sur ses cheveux que je remets sur le coté et ma main se repose sur son ventre mais l’autre viens se balader dans son dos.

- Mick’ non. Arrête fais pas ça !!! Ce débat t’elle alors qu’en un claquement de doigt je fais sauter la fermeture de son soutif.

- Ce soir tu dors à poil de toute façon.

Elle soupire et je lui fais retirer par ses manches. La reine des neiges revient contre son mec et on peut continuer le film et moi mes caresses. Je pose mes deux mains sur son ventre et retente de me glisser dans son pantalon mais elle me stoppe m’envoyant un regard d’avertissement. Ok ok, pas touche en dessous la ceinture roooo. Je remonte une main le long de son ventre puis redescend, dessine des petits cercles et monte toujours un peu plus jusqu’à sentir le galbe de son sein. Bordel qu’elle est douce !!! Pendant ce temps là mon autre main descend dangereusement sous son pantalon pendant que l’autre remonte. Elle se retrouve piégée et préfère stopper celle qui descend vers le pantalon, profitant de ça pour remonter sur son sein. Elle me regarde pour dire quelque chose mais je l’embrasse pour la faire taire. Ma main appuie légèrement sur son ventre pour la maintenir contre moi alors que de l’autre je lui caresse son sein, frôlant son téton pour la faire pointer. Je la sens se contracter sous mes doigts et j’aspire son gémissement dans ma bouche. Lorsque j’ouvre mes yeux les siens sont encore fermés puis s’ouvrent pour me fixer, son regard est rempli d’excitation et je lui souris alors que j’emprisonne son téton entre mes doigts.

- Chuttt…Dis-je doucement sur sa bouche qui s’ouvre.

Elle sent à peine ma main se glisser dans son pantalon et m’arrête lorsque je touche le bord de sa culotte. Elle regarde nos potes à coté qui sont dans un lavage de glotte. Elle m’embrasse de nouveau mais pose sa main sur la mienne qui est en bas mais me laisse celle d’en haut qui la fait pointer grave. Je passe à l’autre sein qui est déjà au garde à vous, un peu comme ma bite. Elle se tourne de plus en plus pour amplifier nos baisers et je finis par la mettre sur moi. Putain si elle continue comme ça, je vais lui faire sa première fois sur le canapé devant Jack et sa pote. Je ralentis doucement nos baisers et lâche son sein pour la calmer. Elle me regarde, essouflée et surprise d’elle-même. Ses lèvres sont roses foncées tellement notre baiser à été intense. Je lui caresse sa nuque et son dos. Elle est sueur et je n’ose même pas imaginer l’état de sa petite culotte. Lorsqu’on sort de notre bulle, on s’aperçoit que Jack et Julie sont même plus là.

- Ils sont où ? Me demande-t-elle

- En haut, surement en train de vider leur boite de capotes.

Elle s’éloigne de moi et se lève, elle à l’air un peu sonnée et gênée. Je me lève à mon tour.

- Tu veux prendre un peu l’air ? Dis-je en l’invitant à me suivre dehors pendant ma pause clope.

- Non c’est bon, je vais plutôt aller me coucher.

Ok, donc comme ça elle va se déshabiller et se cacher sous la couette. Tant pis j’aurais d’autres occasions de la déshabiller. Lorsque je monte, elle est dans le lit, emmitouflée dans la couette comme je l’avais prévu. Je vais à la salle de bain puis me déshabille, elle ne dit rien, recroquevillée dans son coin. Je me faufile dans les draps et éteins la lumière pour pas la mettre plus mal à l’aise qu’elle ne l’est. J’entends un soupire lui échapper. Elle est flippée ça se sent et je ne veux pas qu’elle le soit.

- Eh miss, va te rhabiller.

- Pourquoi c’est le jeu, non ? Me lance-t-elle sèchement

- Un jeu c’est mieux à 2 Marie. C’est bon va enfiler un truc.

- Je n’ai pas l’habitude mais ça me déplait pas, c’est juste que…

Je la laisse parler mais plus aucun mot ne sort.

- Je ne veux pas te forcer à faire quelque chose que tu ne veux pas bébé.

Encore un silence. Puis je sens qu’elle se met sur le dos.

- J’ai peur Mick’.

- Je sais mais pourtant tu es vachement réactive quand je te touche alors je ne sais pas trop ce que tu veux. Tout à l’heure t’étais limite à jouir sur le canapé et là t’es flippée. C’est quoi le problème ? Ta nudité ?

- Je ne sais pas. T’as tellement l’habitude d’avoir des femmes que…si faut je ne vais pas te convenir et…

Pas me convenir ? Bordel elle déconne là ! Je me redresse sur mon coude et pose ma main sur son ventre, je sais que cette zone ne l’effraie pas.

- T’es magnifique bébé, et c’est normal que tu flippes.

- Je sais pas ce que tu attends de moi Mick’.

- Rien, je me pose pas de question Marie, j’ai envie de toi mais je sais aussi que t’as pas d’expérience alors je ne vais pas y aller comme avec une meuf qui a déjà baisé. Mais tu me plais grave et ton corps est très agréable à regarder et encore plus à caresser.

Elle ne dit rien alors je tente d’en savoir plus sur sa confiance en elle.

- Toi, tu te trouves comment ? Dis-je

- Je…je me trouve plutôt jolie.

- T’es en dessous de la vérité ma belle, t’es canon.

Elle émet un petit rire moqueur.

- Tu dois dire ça à toutes les filles avec qui tu couches.

- Ouais.

Elle ricane de plus belle.

- Mais toi c’est vrai. Dis-je

- Charmeur.

- On fait quoi Marie ?

- Je ne sais pas. Je…

- Alors on va y aller en douceur et découvrir ça ensemble, ok ?

- D’accord.

Elle me fait confiance c’est déjà un bon début et je me sens presque honoré qu’elle m’ait choisi pour sa découverte.

- Mets toi sur le ventre, tu te sentiras moins mal à l’aise déjà.

- Pourquoi !!! Euh…tu ne vas pas…

- T’enculer ?! Non !!! Enfin sauf si t’en as envie mais on a dit en douceur alors je ne pensais pas à ce genre de chose.

Quelle coquine quand même !!!

- Non non pas ça.

- Relaxe bébé, la sodo ça ne sera pas pour tout de suite. Dis-je en m’allongeant sur elle.

Son cul se cambre contre moi et je pose mon érection dessus. Elle ne serait pas vierge je prendrais ça pour une proposition de défonçage de rondelle.

Calme-toi.

Je dépose mes lèvres sur son dos que je caresse pour bien mettre ses cheveux sur la moitié de son corps.

- T’es magnifique bébé.

- Merci. Dit-elle d’une petite voix.

Ses mains sont posées à plat de chaque coté de son oreiller et je l’entends déglutir lorsque je pose les miennes dessus.

- Un jour, je te baiserai comme ça mais pas ce soir.

- Mick’…

Son corps se soulève, putain elle est si excitée que j’en suis sur qu’elle mouille. Je resserre mes mains sur les siennes pour m’empêcher d’aller vérifier. Je la couvre de baiser et parfois laisse mes dents frôler sa peau. Je lâche ses doigts pour poser une main sur sa hanche. Je me fais un lit douillet avec ses cheveux sur son cul et commence à me frotter dessus. Je lui maintien sa hanche pour être sur qu’on ne dérape pas car vu la raideur de ma queue, je pourrais bien la dépuceler accidentellement tellement elle bouge.

- Mick’…

- Tu veux que j’arrête ?

- Non !!!

- Tu veux plus bébé ?

- Je ne sais pas.

Ahah la voilà excitée, perdue dans ses sensations, un combat se fait entre son cerveau et son corps. Son corps réclame plus mais sa tête n’est pas encore prête. Un jour bébé tu le seras et ce jour là, ça sera moi qui prendra possession de ton corps. Je m’excite sur elle, je râle à son oreille le plaisir qu’elle me laisse prendre sur son corps. Ma bite se frotte à son cul et ses cheveux. Je suis fou d’eux, je veux jouir, je veux lui gicler mon plaisir dessus. Ouiiii putain c’est bon !!! Je sens mes jets sortir de moi, comme une délivrance. Je me pose sur son dos en retenant quand même mon poids. Je caresse ses doigts qu’on pas bougé.

- Ca va ? Dis-je

- Oui. Dit-elle presque à bout de souffle tellement elle en a oublié de respirer.

- Retourne-toi bébé.

Elle s’exécute et je peux enfin retrouver ses lèvres. Je l’embrasse et je sens encore son corps me réclamer, je ne peux pas la laisser comme ça, pas après le plaisir que je viens de m’offrir sur elle. Je dévie la trajectoire de mes baisers le long de son cou, puis sur ses seins, bordel ce qu’elle bande des seins !!! Deux belles pointes bien dures que je lape. Son corps ondule et elle se cramponne à son oreiller. Je lui suce et je fais glisser ma main le long de son corps pour caresser encore ses fesses. Je bande déjà pas mal et si on continue, ça va mal finir. Je décide de mettre de la distance entre sa chatte et ma bite et descend ma bouche le long de son ventre.

- Oh Mick’ !!!

- Profite ma belle.

Enfin je découvre son intimité, une belle petite touffe tondue formant un petit V sur son pubis m’indique la voie de son plaisir. Je pose un baiser dessus et va chercher plus bas sa moiteur. Mon nez plonge dans ses poils et son bassin se soulève. Je la respire, lui embrasse le creux de ses cuisses pour qu’elle les écarte puis quelques baisers sur son abricot semi ouvert. Voyons ce qu’il se cache là-dessous. A mon premier coup de langue, elle se redresse et je la recouche.

- Sois sage bébé.

Je pose mes mains sur ses cuisses et avec mes pouces ouvrent ses lèvres pour y découvre son clitoris qui se met à grossir sous ma langue, elle se tortille en gémissant contre son oreiller et je dois poser mes mains sur son bas ventre pour l’immobiliser un peu. Elle pose les siennes dessus et j’ai l’impression de la rendre dingue. Je m’amuse avec cette zone de jeu descend le long de sa fente et goute sa mouille déjà bien présente. Putain ce qu’elle est délicieuse.

- Oh mon dieu !!! Crie-t-elle

Ouais c’est mon nom bébé. Je suis un dieu du sexe, celui qui va lui donner son premier orgasme qui la guette. Elle sursaute quand je reviens sur son clitoris puis j’accélère ma langue. Je veux son orgasme et je ne la lâcherai pas avant de l’avoir. Elle ne serait pas vierge, je lui mettrais mes doigts au fond de sa chatte mais là je veux la préserver alors je vais seulement la faire jouir avec ma langue et vu comment elle aime ça, elle ne va pas le regretter. Elle ne dit plus rien, juste gémit de plus en plus vite et de plus en plus fort, jusqu’au moment où elle se met à crier en tremblant de partout. Je ne la lâche pas jusqu’à la fin de son orgasme.

(hoc) …(hoc)

Putain elle a le hoquet. Je remonte sur elle alors que je la sens encore tremblante.

- Ca va bébé ?

- Oui (hoc) Pardon (hoc)

J’en ai fais jouir un paquet de meuf mais jamais aucune n’a eu le hoquet après l’orgasme. Elle est adorable.

- T’es trop belle.

- Arrête (hoc) ce n’est pas drôle (hoc)

J’éclate de rire. Je la trouve trop mignonne.

- Te moque pas (hoc)

- Je me moque pas, c’est mignon je trouve.

- C’est ridicule surtout (hoc)

- Inspire profondément par le nez.

(hoc)

Je lui masse son diaphragme et elle finit par s’endormir dans mes bras avec son hoquet qui finit par passer. Je ne tarde pas à m’endormir et je ne me réveille pas en sueur comme les autres nuits. Non là je dors profondément contre elle d’un sommeil paisible.

Annotations

Vous aimez lire Jessie Auryann ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0